Gaël Arandiga: « Si le règlement JIFF n’existait pas, certains clubs n’auraient que des étrangers »

Gaël Arandiga: « Si le règlement JIFF n’existait pas, certains clubs n’auraient que des étrangers »

29 juillet 2017 - 15:47

3 Commentaires

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L’ancien président de Provale et désormais directeur général de Montauban, Gaël Arandiga s’est confié dans les colonnes du Midi Olympique au sujet de la réglementation JIFF mise en place par la Ligue Nationale de Rugby depuis plusieurs saisons désormais.

Selon lui, cette règle est primordiale pour le rugby Français, sans quoi certains clubs joueraient uniquement avec des étrangers. Extrait:

« Si les Jiff n’existaient pas, certains clubs n’auraient que des étrangers. Ce dispositif n’est pas totalement vain. Le 301e joueur sud-africain n’a pas de contrat chez lui et il joue en France parce qu’il est meilleur que le 600e français… Il faut respecter les règles communautaires et, autant que possible, durcir le dispositif. Mais ne nous leurrons pas, on doit améliorer notre capacité de production. Si on est capables de former uniquement 600 à 700 bons joueurs sur les 1 800 contrats pros que compte la France (soit 35 % de l’offre mondiale), il ne faut pas se plaindre de la présence de joueurs étrangers. »

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3 Commentaires

  1. Piacentino 29 juillet 2017 à 16h- Répondre

    Es t il au courant que l est JIFF peuvent être étrangers. Ex: Tuisova chez nous , ou encore Raka et Yato ou Ulugia à Clermont. Tu peux faire une équipe 100% JIFF, avec 100% d étrangers.

  2. PatCracker 29 juillet 2017 à 19h- Répondre

    Encore un nostalgique des derbies St Girons/Quillan Espéraza, il n’a pas compris qu’on est au 21ème siècle depuis 17 saisons déjà.

  3. Marc 29 juillet 2017 à 20h- Répondre

    Si on est capables de former uniquement 600 à 700 bons joueurs sur les 1 800 contrats pros que compte la France (soit 35 % de l’offre mondiale), il ne faut pas se plaindre de la présence de joueurs étrangers.

    Tout est dit, vous pouvez balancer le reste.