Josaia Raisuqe et Vuidravuwalu Waisea, les deux joueurs fidjiens du Stade Français, feraient l’objet de plaintes pour violences volontaires et agression à caractère sexuel après une altercation près d’une discothèque parisienne dans la nuit de samedi à dimanche.

Josaia Raisuqe et Vuidravuwalu Waisea seraient visés par une plainte pour violences volontaires et l’un d’eux pour agression à caractère sexuel, après une altercation à Paris dans la nuit de samedi à dimanche. L’AFP, qui explique avoir consulté la plainte, explique que les joueurs fidjiens du Stade Français ont été interpellés près d’une discothèque du XIIIe arrondissement vers 3h du matin. Toujours selon l’AFP, ils se trouvaient toujours en cellule de dégrisement dimanche après-midi.

L’une des victimes, une jeune femme, a rapporté à la police que Josaia Raisuqe avait « touché (sa) poitrine de manière brutale ». Une alors opposé les deux sportifs aux deux amis de la jeune femme, qui affirment avoir alors reçu plusieurs coups de poing. Les trois victimes présumées devraient être confrontées aux deux sportifs lundi.

Le Stade Français réagit

Le Stade Français a appelé sur Twitter à « la prudence dans les commentaires », « en l’absence d’information officielle ». Le Stade Français dit condamner « avec la plus grande fermeté toute forme de violence et en particulier les violences faites aux femmes ». Le club « prendra, bien évidemment, les mesures appropriées » si les faits sont avérés.

Voici le communiqué du Stade-Français:

La direction du Stade Français Paris a pris connaissance des faits qui se seraient produits durant la nuit du 22 au 23 juillet et qui pourraient concerner deux de ses joueurs. 

En l’absence d’information officielle, le Stade Français Paris ne peut qu’appeler à la prudence dans les commentaires. Cependant, en vertu des valeurs qu’il défend, et notamment du respect dû à chacun, le Club de la capitale condamne avec la plus grande fermeté toute forme de violence et en particulier les violences faites aux femmes. Le Club prendra, bien évidemment, les mesures appropriées en fonction des faits s’ils étaient avérés.