Les révélations de l’arbitre sur l’arrêt cardiaque du jeune Espoirs du Stade-Français
Les révélations de l’arbitre sur l’arrêt cardiaque du jeune Espoirs du Stade-Français
10 décembre 2018 - 16:43
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Nicolas Chauvin, joueur des Espoirs du Stade Français (19 ans), a été hospitalisé à Bordeaux après avoir été victime d’un arrêt cardiaque ce dimanche lors du match face à l’UBB. RMC Sport a recueilli le témoignage de l’arbitre de la rencontre, Adrien Marbot, qui a participé aux premiers secours.
Forte inquiétude pour Nicolas Chauvin. Le 3e aile des Espoirs du Stade Français (19 ans) a été victime d’un arrêt cardiaque ce dimanche lors d’un match du championnat de France de cette catégorie sur le terrain de l’Union Bordeaux-Bègles, au stade Moga. Inconscient, avec un pouls qui avait repris, il a été transporté au CHU de Bordeaux. RMC Sport a recueilli le témoignage de l’arbitre de la rencontre, Adrien Marbot (36 ans), qui a participé aux premiers secours.
Les circonstances
« Il y a eu un double plaquage, explique-t-il. J’ai arrêté immédiatement le jeu pour que les médecins et kinés puissent entrer sur la pelouse. Ils se sont occupés de lui. En dix secondes, ils étaient auprès de lui. Au moment de l’impact, la défense est montée. Je suis légèrement caché par un joueur de la défense. Je vois qu’il y a un plaquage avec de la vitesse. J’arrive dans la seconde qui suit sur la zone de plaquage. Je vois tout de suite que ça ne va pas. En revoyant la vidéo, ce sont deux joueurs qui viennent pour plaquer en faisant l’effort de mettre les bras. Au même moment, le joueur porteur du ballon se baisse. »
L’inquiétude
« Quand j’arrive sur la zone de plaquage, je vois que le joueur a des attitudes qui nous ont été présentées lors des stages de rentrée, avec des médecins qui interviennent pour nous expliquer ce qu’est une commotion, etc., et les signes. J’ai vu immédiatement qu’on était dans ce cas-là, avec une perte de connaissance. »
Les premiers secours
« On essayait de le stimuler par la voix, pour voir s’il reprenait conscience. Au fur et à mesure, on s’est rendu compte que son pouls était de moins en moins perceptible donc le médecin a préféré anticiper et a fait venir le défibrillateur, au cas où. On s’est rendu compte, au bout d’un moment, qu’il n’y avait plus de pouls. Donc s’est lancée la suite avec le massage cardiaque, la pose du défibrillateur, jusqu’à ce que les secours arrivent. »
« Le médecin a installé une canule. Ils ont tourné à trois pour faire le message. Moi, je m’occupais des insufflations. On a essayé de se répartir les rôles pour que ça se passe au mieux. Dans le cadre de mon métier (professeur d’EPS, ndlr), on est formé aux premiers secours. J’ai aussi été maitre-nageur. J’avais participé à des formations de secours en équipe. »
« Ensuite, Il est parti avec le SAMU. L’un des entraîneurs du Stade Français était avec lui. Les médecins ne souhaitent s’adresser qu’à la famille. »
Source: rmcsport.com
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5 Commentaires
Moi je ne connais rien mais je constate combien de mort ou d’arrét cardiaque?a une époque ex: Bernard Herrero joue tout un match contre Béziers avec une cote cassé ce n’est qu’un exemple mais combien d’autres a une époque ou le rugby ce joué a 15 et pas a 25 ou la vidéo n’avait pas rendu notre sport un jeu de tafiole a oui c’est vrai a l’époque ils ce shootés au pastaqua ,a l’aioli ,aux pieds paquets le tout arrosé de rosé de provence et les Dauga,Spanguéro,Rives,Bonniface eux c’était plus cassoulet et foie gras. Chercher l’erreur
Ils ne tournaient pas qu’à l’aïoli dans les années 70. Et puis c’était André Herrero et non Bernard qui joua 10 min avec les côtes cassées… Mais il est vite sorti car il n’arrivait plus à jouer… Avant… C’était pas forcément mieux…
En espérant que ce gosse se sorte de la avec le moins de séquelles possibles.
GO Nicolas .
Tout le monde et d’accord peuchére qu’il s’en sorte c’est sur car ça peut étre le miens ou le tiens . C’est pas ça le probléme c’est pourquoi il en arrivé la .Ho les gars c’est la qu’il faut posé les bonnes questions et notre président avec son émission médiatisé plus tot que de faire du buzz comme on dit maintenant c ‘est ces questions qu’il faut qu’il pose et pas on est beau on est jolie
sur une page facebook,je me suis fait allumer parce que j’ai osé critiqué un président d’un club de fédéral qui a dit à tenu des propos chocs:
« le rugby c’est un sport d’hommes,sinon tu vas jouer au Badmington ou au golf »,je me suis fais massacré et menacé de mort pas les « fans » de ce groupe de supporters toulonnais.Faut SURTOUT arrêter avec le « c’était mieux avant »,prends un joueur des années 70 il se fait massacré par un joueur de maintenant.