Le pilier droit du Rugby Club Toulonnais, Marcel Van der Merwe s’est confié dans les colonnes du Midi Olympique pour évoquer le début de saison très compliqué du XV de la Rade.

Le joueur Sud-Africain regrette bien évidemment la défaite contre Newcastle, dimanche dernier au Stade Mayol, à l’occasion de la première journée Européenne.

Selon lui, le RCT représente son propre ennemi. Il peste contre les imprécisions et le manque de concentration de l’équipe. Extrait:

« Je pense que nous avons bien débuté dans cette rencontre. Mais à ce stade de la saison, nous sommes nos propres ennemis. Nous ne parvenons pas à être précis comme nous devrions l’être, notamment dans les moments clés. Nous avons fait de grosses erreurs face à Newcastle sur des actions importantes du match. À mon sens, il s’agit principalement de problèmes de concentration. L’indiscipline a également été un gros souci. Avec trois cartons jaunes, ça devient compliqué de gagner un match même si, malgré tout, nous avons eu les opportunités de le faire. Nous devons faire beaucoup mieux que cela. »

Marcel Van der Merwe est extrêmement déterminé à l’approche du match contre Edimbourg. Il annonce un très gros match de la part du RCT. Extrait:

« Bien évidemment, ce sont des périodes difficiles. Mais je crois qu’il est temps pour nous d’élever notre niveau. Nous nous devons d’être meilleurs, plus impliqués, plus concentrés, afin de faire les choses proprement notamment sur les moments clés, je le répète. Nous devons faire un bon résultat ce weekend pour nous enlever la pression. Nous allons avoir un très gros match face à cette belle équipe d’Édimbourg qui est très solide. Mais si nous voulons garder un espoir dans cette compétition, il faut ramener un résultat. »

Pour conclure, le pilier Toulonnais a eu un petit mot pour son ancien entraîneur: Richard Cockerill, désormais manager d’Edimbourg. Extrait:

« Je pense que c’est un très bon coach. Il sait très bien manager son équipe et ses joueurs. Ce sera un gros challenge pour nous de jouer face à son équipe. D’autant plus que pour beaucoup d’entre nous, il nous connaît également bien. »