Le manager de l’Aviron Bayonnais, Grégory Patat a dit le plus grand bien d’un de ses joueurs, cette semaine, avant le match de Champions Cup contre les Harlequins programmé ce dimanche.

Le technicien Bayonnais évoque un joueur qui parle peu mais qui montre l’exemple sur le terrain : il s’agit du troisième ligne Alexandre Fischer.

Il explique via Ici Pays Basque à quel point Alexandre Fischer est devenu un joueur indispensable, à Bayonne.

A lire ci-dessous :

« Il communique peu, il parle peu. Il a besoin d’observer et de sonder le groupe pour se sentir à l’aise. Mais aujourd’hui, il a bien compris comment fonctionne son nouveau club. Il lui a fallu un temps d’adaptation. Il peut encore progresser dans le système, mais ce qui est sûr, c’est qu’il nous apporte cet impact physique. C’est quelque chose que j’attends un peu plus de certains autres joueurs, qui ne sont pas toujours au rendez-vous sur chaque match.

Fischer, lui, a cette capacité, tout comme Rodrigo Bruni, de mettre le tempo dans ses collisions. Si on le catalogue comme un pur défenseur, il a aussi de très bonnes courses et des angles intéressants lorsqu’il se propose. Je pense qu’avec plus de temps et une meilleure connaissance du système, il pourra encore mieux s’exprimer offensivement. »