Gethin Jenkins forfait avec le Pays-de-Galles
Gethin Jenkins forfait avec le Pays-de-Galles
Le mardi 5 mars 2013 à 18:02 par David Demri
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Victime d’une déchirure au mollet avec le Pays-de-Galles lors de la troisième journée du Tournoi des Six-Nations contre l’Italie, le pilier Toulonnais Gethin Jenkins va finalement déclarer forfait et ne prendra pas part au match contre l’Ecosse, ce week-end.
Pour rappel, le sélectionneur Gallois avait pour espoir de voir son joueur récupérer plus tôt que prévu afin de l’aligner contre l’Ecosse.
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C’est qui ?
Ghostkins
Arrière en concurrence avec Rooney
Lui aussi il veut partir, comme David Smith ?
Qui a dit que SMITH voulait partir?
Personne
Attends des nouvelles de BB
Ben… Y’a rien à comprendre…
Schéma habituel : un joueur marque des essais, devient le meilleur marqueur du club,
alors on le prolonge, puis il est mit au placard parce qu’on découvre étrangement sur le tard qu’il ne défend pas assez bien !
(ce qui est normal chez les attaquants… Personne ne reproche aux défenseurs de ne pas marquer d’essais…. Mais bref…)
Du coup bah il finit par demander à partir puisqu’on lui fait comprendre qu’on ne veut pas de lui…
A Toulon on appelle ça la jurisprudence Dominici-Jagr-Sinoti-Ai’i-Sackey.
C’est une tradition chez nous…
Donc on le voit venir !
Tu as oubliés LAPEYRE
Et Andreu…
En fait, JENKINS a fait un super coup. Il s’est BIEN payé une année sabbatique à TOULON. Il sera « tout neuf » pour retourner à CARDIFF, l’année prochaine. Moi je l’appelle PÉTER BRADY l’acteur de » l’homme invisible »!!!
Bernard Laporte : « On n’est plus dans le rugby cassoulet » source LAPROVENCE
La victoire du RC Toulon contre Toulouse a peut-être mis fin à une période compliquée sur laquelle Bernard Laporte a accepté de revenir
Malmenée, méconnaissable, au mieux laborieuse durant de longues semaines, l’équipe toulonnaise a de nouveau marqué les esprits, samedi dernier, en maîtrisant un Stade Toulousain qui n’avait rien d’une pâle copie de l’original, malgré les absences de Picamoles, Maestri ou Dusautoir.
Hier, « La Provence » s’est entretenue avec un Bernard Laporte qui n’a pas changé d’attitude : avec lui, la mesure est de rigueur. Serein au plus fort de la mauvaise passe toulonnaise, il reste pondéré après ce probant succès.
Avec un peu de recul maintenant, que s’est-il réellement passé au sein de votre équipe pour que celle-ci ait pu être aussi souvent méconnaissable entre janvier et février ?
Bernard Laporte : Attention, l’équipe a été en baisse de régime sur deux matches seulement. On a été nuls et inefficaces à Montpellier (23-3) puis à Bordeaux (41-0) où les joueurs rentraient de dix jours de repos et n’avaient repris l’entraînement que l’avant-veille de ce déplacement. Je suis ainsi convaincu que beaucoup d’entre eux avaient décroché. Dès lors, ceux-là – cinq ou six mecs, dont les ailiers – ont été amorphes. Ils étaient sur le terrain sans y être. Mais bon, cela me servira de leçon, pour la suite.
Certes, mais s’agit-il vraiment de la seule explication ?
B.L. : Les joueurs n’étaient tout de même pas devenus mauvais du jour au lendemain ! D’autres paramètres sont entrés en ligne de compte, comme ces nombreux pépins de santé (grippe) au niveau du pack, à un moment. Dans ces conditions, les entraînements furent moins consistants.
SUITE
Cela aussi, ça se comprend. Mais bon, un groupe tel que celui du RCT, malgré les explications et les impondérables que vous rappelez, ne peut pas passer au travers comme il l’a fait, cet hiver !
B.L. : Bien sûr et c’est pour ça que ce groupe a bien réagi, depuis lors. Il a montré qu’il s’agissait seulement d’un moment d’égarement. Mais dans ce Top 14, aucune équipe n’est à l’abri de tels passages à vide.
Quand on dit que votre mode de management et de gestion d’effectif – resserrement d’un groupe, rotation relativement limitée, joueurs définitivement écartés ou presque – a peut-être montré ses limites sur la période en question, que répondez-vous ?
B.L. : (Il sourit) Je réponds qu’on est premiers avec le 5e budget du championnat ! C’est tout ! Je ne vais quand même pas expliquer l’inexplicable. Je ne fonctionne pas avec un groupe resserré. Il y a trente gars qui jouent en permanence. Regardez : sauf blessures, en 3e ou en 2e ligne, par exemple, la rotation est des plus effectives.
Au cours de ces deux mois délicats, « l’affaire des prolongations des deux entraîneurs adjoints » a-t-elle pu troubler vos joueurs ? Sincèrement, qu’en pensez-vous ?
B.L. : Je n’ai pas senti ça, parce que les joueurs ne m’en ont pas parlé. Mais, c’est sûr, l’incertitude liée à l’avenir de leurs entraîneurs a pu filer un coup à certains. Ceci étant, quand on est professionnel, si on n’est pas content, on en parle au président. Il ne faut pas dire : ‘Je ne joue pas.’ Ce n’est pas la meilleure des réponses.
Ce dossier a fait grand bruit, en tout cas. Beaucoup d’observateurs ont dit qu’il n’a pas été géré au mieux et l’ont reproché à Mourad Boudjellal, car cette période a laissé place à toutes les supputations. Pour l’entraîneur en chef que vous êtes, est-il difficile de travailler dans de telles conditions ?
B.L. : Pas du tout ! On est dans un monde professionnel. Il faut donc accepter tout ça et en faire abstraction. Cela fait partie des choses de la vie. On n’est plus dans le rugby cassoulet !
SUITE 2
Votre groupe, en tout cas, a donc parfaitement réagi contre le Stade Toulousain (35-16), samedi dernier…
B.L. : Il l’avait déjà fait contre Montpellier à Mayol (51-6), puis il avait accompli une très belle 2e mi-temps à Castres après une 1re période complètement loupée (20-25). Il a confirmé devant Toulouse. Mais sincèrement, on s’attendait à une telle réaction.
On a le sentiment que la dimension d’une affiche RCT – Toulouse a soudainement ranimé vos troupes. Sur certains matches, la question de la stimulation peut-elle se poser ?
B.L. : Mais il en fut de même, alors, contre Montpellier ! Non, la venue de Toulouse fut un match de championnat comme un autre.
Quoi qu’il en soit, on a véritablement vu de quoi était capable la machine toulonnaise. Dans ce genre de match, le RCT a du répondant. C’est plutôt rassurant dans l’optique des phases finales…
B.L. : Oui, on a du répondant, comme Montpellier, Castres, Toulouse ou Clermont en ont. Mais c’est vrai, on est dans le ton. Notre objectif consiste à faire du RCT un club d’élite. Rappelez-vous : quand je suis arrivé (en septembre 2011), le club avait fini 8e du précédent Top 14. À travers notre recrutement et notre organisation, nous oeuvrons pour installer le RCT au haut niveau.
Retrouvez dans La Provence de demain la seconde partie de l’interview de Bernard Laporte consacrée au XV de France
Laurent Blanchard
😳 😳 💡 …Gethin se réserve pour pousser nos prochaines mêlées………….
😈 Ahhhhhh, il y a une justice en ce bas monde, car ça me faisait chier, qu’avec nous il soit toujours blessé ou hors de forme, et qu’avec le PdG il soit frais comme un gardon!!!!
😉 Comptes là dessus Georges, et boit de l’eau !!!!!!
Attention, l’eau bue éclate !!!!!!
Ou est passé Rossow bordel il devait etre la mi fev on est en mars on nous dit probleme de pasport,plus personnene communique dessus il arrive quand et ou? c’est en train de tourner fiasco ce coup la pourtant il me tarde de le voir debarquer
Matchs amicaux – Les matchs de pré-saison commenceront le 6 juillet
Les matchs amicaux de préparation, préalables à la reprise du championnat dans sa version 2013-2014, pourront débuter à compter du 6 juillet 2013, ceci valant pour les 30 clubs professionnels que compte le rugby français.
Quelqu un ici a des news de Rossouw il arrive quand?
veuillez excusez les instances pour le retard de l’annonce sur le cas Bakkies Botha, ils en sont au dessert …
et ensuite la digestion…et ensuite faudra voter qui va aller bouger sa grosse graisse pour aller appuyer sur le bouton du fax/mail pour envoyer la news, si il arrive avant mercredi 07h00 du mat… nan ils ont encore tout leur temps là…
Il arrive aujourd’hui!!
Smith est a l abri i sera utilise pour les phases final