La Ville rose ne veut pas lâcher Servat
La Ville rose ne veut pas lâcher Servat
Le mercredi 30 novembre 2011 à 9:23 par David Demri
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Talonneur emblématique du Stade Toulousain depuis 1999, William Servat pourrait partir à Toulon à la fin de la saison. Les supporters du Stade le regrettent déjà.
William Servat a tout connu avec le Stade. De son premier match dans l’équipe une des « rouge et noir » en 1999 aux multiples titres de champion de France et d’Europe en passant par ses premières armes chez les équipes de jeunes, le talonneur a grandi avec le Stade Toulousain. Mais s’il est encore lié avec le Stade jusqu’en juin 2013, William Servat pourrait bénéficier d’un bon de sortie un an avant le terme de son contrat comme cela avait été le cas pour Heymans la saison dernière. Il rejoindrait ainsi le Racing Club Toulonnais qui lui fait les yeux doux.
Attachés à « la Bûche »
Rien n’est encore fait mais le sujet fait déjà jaser. Côté supporters, Marie se refuse à envisager le natif du Comminges ailleurs qu’à Toulouse : « Non, je me refuse à croire qu’il va partir à Toulon. William, restez à Toulouse ! Vous n’avez pas le droit de partir, tout comme le club ne doit pas vous laisser partir. Loin de Salies, de Toulouse, je ne veux y penser ».
À La Cantina, le bar de Saint-Cyprien que « la Bûche » a ouvert avec Trevor Brennan et Salvatore Perugini, les amoureux du Stade ne manquent pas de venir interroger Bernard, le beau-père de William. Derrière le comptoir, il prévient : « Je ne sais rien ! » avant d’ajouter : « C’est sûr que ça intrigue les gens et c’est normal. William est au club depuis plus de quinze ans, alors plusieurs personnes me posent des questions, mais je n’en sais pas plus qu’eux ».
Il reste encore au moins une saison au talonneur du Stade sous le maillot rouge et noir mais si d’aventure il devait partir à Toulon… c’est bien Toulouse qui pourrait se retrouver en rade. Une seule certitude, William Servat gardera la cote, chez lui, en Haute-Garonne.
La Dépêche
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et un Racing club toulonnais, un!!! 👿
C'est maintenant que ça se complique!.
Je crois que tout est au conditionnel, et ce ne sont que des paroles d'intentions (ou du marketing)et rien n'est signé.
On met trop souvent la charrue avant les boeufs,……comme pour le Kube mais dans l'autre sens.
Le seul avantage c'est d'alimenter le débat!!
servat aura le dernier mot,il va être libre de faire son choix.
pour le racing,ça commence à être lourd, comment on peut être journaliste sportif dans une ville de rugby et ne pas savoir que notre R veut dire rugby. C EST LAMENTABLE.
😀 …et puis..comme les autres…ne résistera pas à un gros chèque..non plus au demeurant qu'aux…." deux mots les plus beaux de notre vocabulaire :chèque joint !"… 😆 😆 …ne connait plus le nom de l'auteur de cette citation ❓ 😳
Servat fera comme tous les toulousains et certains clermontois, il va faire monter les enchères pour finalement rester chez lui.
Toulouse ne lâche JAMAIS un de ses joueurs sauf lorsqu'ils sont vraiment en fin de carrière ou carbonisés…
Jamais !
Un an de contrat encore…W. Servat est loin d’être Toulonnais. A l’évidence la hauteur du chèque serait un élément très persuasif. Mais…Nous n’en sommes pas là.
Loin de dénigrer Willian il est quand même normal de s’interroger, du pourquoi, de sa progression… Souvenez-vous il était le remplaçant de Bru. Ancien troisième ligne, il a su apporter toute sa clairvoyance du jeu et son envie à ses sept collègues du pack Toulousain dont déjà cinq étaient internationaux. Ce rappel pour vous signifier qu’il est plus facile d’être bon quand vous jouez avec des bons plutôt que l’inverse.
Je suis persuadé qu’avec une mêlée qui avance constamment comme celle du Stade, nos trois jeunes ‘talons’ ont le sérieux et l’envie pour devenir aussi efficaces que William Servat.
Pour ce faire il faut comme je viens de dire une très grosse mêlée et surtout un jeu d’avant bien défini, ce qui malheureusement nous fait défaut et que les initiatives personnelles ne soient qu’épisodiques.
Je crois avoir lu ou entendu que Servat attendait une prolongation de 2 ans minimum, et que le Stade Toulousain ne serait enclin à lui accorder qu'un contrat d'une année supplémentaire. Si les Toulousains parviennent à attirer Szarzewsky dans leurs filets, Servat n'obtiendra a priori pas ce qu'il veut.
Il est peut-être là, le noeud de l'histoire, un peu comme un jeu de chaises musicales.
Et puis cet article repose sur des propos de supporters. A ce train là, au RCT, on aurait encore Umaga & cie, voire des internationaux originaire de la Valette ou de La Seyne, si on avait dû répondre aux attentes de beaucoup.
Si Toulouse, Toulon et Servat, qui est le principal intéressé, peuvent trouver un accord, ils trouveront un accord. Imaginons que Servat veuille partir car nous lui ferions une offre correspondant à ses attentes, et que dans le même temps, Szarzewsky vienne s'installer sur les bords de la Garonne, entre pros et personnes de bonne intelligence…
Maintenant, c'est certain, rien n'est fait. Wait & see…
il fait monté les enchères……………. et encore merci au journaliste en bois pour le racing ,il nous a pris pour une équipe de curling.
Encore un journaleux issu des faits divers qui s'improvise journaliste sportif …..
la ville rose fut moins moins regardante pour maestri bande de cassoulets de merde!!!!!
Le journaleux provoque (il sait très bien ce que veut dire RCT..), pour taquiner les peks! et Servat fait monter les enchères… même avec l'aide du Papa au bistrot! : on ne sait rien, on ne dit rien!
Après, on ferait pareil à sa place : Il ne lui reste que 3-4 années de contrats juteux. Je comprends qu'il essaie d'en tirer la quintessence … et son Agent … un peu aussi! 😉