Toulon et le « modèle économique exceptionnel » de Boudjellal

Toulon et le « modèle économique exceptionnel » de Boudjellal

27 août 2012 - 20:03

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Dans un entretien accordé à la Provence, le président Mourad Boudjellal, est revenu sur le modèle économique de Toulon. Un modèle fondé « sur le traitement du RCT comme une marque et une philosophie » qui n’a « aucun équivalent ».

Michalak, Mermoz, Masoe, Sheridan, Jenkins, Armitage… Le Rugby Club Toulonnais a bâti cette saison une véritable « Dream Team ». Une équipe de rêve qui a déjà remporté deux succès probants face à Perpignan et au Racing-Métro. Un recrutement « cinq étoiles » qui a aussi un prix mais qui, pour la première fois depuis son arrivée à la tête du RCT, n’a pourtant n’a rien coûté à Mourad Boudjellal. La raison ? Le président du club varois a mis en place un modèle économique qui a fini par porter ses fruits. « On n’est pas dans une région très riche. On n’a pas un grand bassin d’entreprises, a confié l’homme d’affaires dans un entretien à La Provence. On n’a pas non plus un grand stade, alors qu’aujourd’hui, beaucoup de clubs ont élaboré leur modèle économique à partir de ce paramètre-là. J’ai fondé le mien sur le traitement du RCT comme une marque et une philosophie. Je veux que les gens s’identifient à travers des images, des joueurs, une forme de communication. Dans cet ordre d’idées, on a réussi un gros pari économique qui a consisté à multiplier la portée du partenariat par cinq. »

Mais pour en arriver là, Mourad Boudjellal, devenu président du club en 2006, a d’abord dû mettre beaucoup d’argent pour permettre à son club de prendre une nouvelle dimension : « En tout, j’ai investi 7 M€ dans ce club, dont 75 % sur les trois premières années. » Un lourd investissement qui avait permis d recruter les premières stars de Toulon (Umaga, Luger, Delaigue, Quesada puis Gregan, Matfield, Mehrtens…). » Avec un retour sur investissement qui n’a pas tarder à ses faire sentir : « J’ai compris que j’étais coincé à Toulon et que je n’aurais jamais le bassin économique de Paris ou de Toulouse. Alors, je me suis dit :  »Je dirigerai le premier club français à avoir une notoriété mondiale.  » D’où le choix de joueurs qui font que le RCT est beaucoup plus connu que le Stade Toulousain à Auckland, par exemple. »

Fier de son projet, Boudjellal estime qu’il a réussit à prendre un temps d’avance sur tous les autres clubs français : « À mon sens, le RCT a un potentiel de développement plus fort que tous les autres. De par le modèle économique que j’ai créé, et ce, sans avoir encore actionné le levier  »grand stade » ni augmenté la contribution des collectivités locales, on a réussi à faire passer le budget de 6 à 25 M€ en six ans. » De coup, le président toulonnais invite ses homologues du championnat de France à lui emboîter le pas. « Aujourd’hui, je n’ai rien à voir avec un mécène, mais, c’est vrai, moi, je me suis mis en danger économiquement. Avec tout le respect que j’ai pour les 29 autres présidents (de Top 14 et de Pro D2), je mets au défi d’en trouver un qui a fait la même chose sans mettre d’argent. Le RCT, c’est avant tout un modèle économique exceptionnel qui a été créé dans le rugby et qui n’a aucun équivalent. »

Source: rugby365.fr

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  1. Turbo poulet 27 août 2012 à 21h

    CQFD

  2. San Nari 27 août 2012 à 21h

    Il oublie juste une chose importante, il n'a pas pris n'importe quel club, un club de village… il a pris un club avec une histoire et surtout un peuple derrière lui et pas uniquement à Toulon. C'est surtout ce peuple là, prêt à payer cher pour des places en populaires dans un stade vétuste ou un demi-bras pour des maillots pas forcément très beaux, qui lui ont permis de réussir dans la mise en oeuvre de ce système là…

  3. Gino 83 27 août 2012 à 21h

    Saluons quand mm les efforts fait cette année pour nous les abonnés j au eu droit ce matin à une place de ciné 20 e pour le Rct café et 50 e en bon d achat pour le Rct store il n était pas obligé il sait nous gâter allez toulon

  4. San Nari 27 août 2012 à 21h

    exact, moi-même j'ai été surpris par les cadeaux aux abonnés. Finalement l'abonnement ne revient pas si cher avec le bon d'achat de 70euros dans les boutiques RCT, les réductions à l'année (rct café et boutique) le billet de cinéma et divers avantages…

  5. mvert 27 août 2012 à 22h

    Salut San Nari le bon d'achat de 70euros offert avec l'abonnement est sous quelle forme ? (minimum d'achat ….?) merci.

    • Gino 83 27 août 2012 à 22h

      Non c des chèques cadeau de 5 e pour le resto et de 10 e pour la boutique par contre le ciné c du lundi au vendredi pathe Toulon ou la garde allez toulon

      • Jean-No 27 août 2012 à 23h

        Je suppose qu'ils ne sont pas cumulables ?

        Si la réponse est oui, c'est une nouvelle fois bien calculé de la part de MB; car on va être "obligé" de dépenser dans la boutique pour utiliser les bons; donc à moins d'acheter que des trucs à 10€, on va encore se vider les poches :mrgreen:

  6. mvert 27 août 2012 à 22h

    merci Gino

  7. Chris 27 août 2012 à 23h

    Dans les boutiques des autres clubs les maillot sont au même prix. Les place en populaire c vrai elle coûte une vingtaine d euros mais on a la chance d être assis alors que dans pas mal de stade tu es debout ou assis sur de la ferraille. Moi je dis Parce que Toulon.

  8. Philippe de Cuers 27 août 2012 à 23h

    Arrétons de ne voir que le verre à moitié vide !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Nous avons la chance d avoir un club avec une stabilité financiére et un budget plus important chaque année,une équipe meilleure aux fils des ans,de supers supporters(ca c est pour nous),un beau stade,plus tout jeune certe mais avec une grande histoire,une ame,une superbe région,ALLEZ TOULON !!!!!!!!!!!!!!!!

  9. PatCracker 28 août 2012 à 00h

    il faut se rendre compte aussi, de ce que représente maintenant le RCT au niveau mondial, et ça ne s'est fait que depuis 6 ans, avant Toulon était en partie méconnu, là dans toutes les fédérations "around the world", Mayol, le Faron, la rade, le pilou pilou et parce que Toulon représentent quelque chose. Si des joueurs de calibre mondial viennent à Besagne et bien ce n'est pas que pour la monnaie, il doit y avoir autre chose qui les attire et les retient dans le Var maritime, non ?

    Et c'est cela que les radsocs repliés sur eux même du sud ouest nous jalousent, eux sont depuis toujours en état confidentiel dans leurs pampas, dans leur club, et dans leur fédération de piques assiettes, ils étaient et sont restés nombrilistes car ne comprennent pas que maintenant le rugby est planétaire.

    Si les projets de MB et Bernie se concrétisent, le centre vivant car viable et fiable du rugby Français ne sera plus au coeur du système garbure/irouléguy.

    Rien que ça je veux le voir avant de claquer.

  10. Jay-b 28 août 2012 à 00h

    @PatCracker: Amen !

  11. chris83 28 août 2012 à 01h

    l'article complet source LAPROVENCE

    RCT : tout sur la méthode Boudjellal

    Le président du RCT a créé un modèle économique qui permet à son club de viser clairement le titre de champion de France

    Photo Frédéric Speich

    Armée, armada, dream team,… Les expressions s'empilent pour qualifier le RCT version 2012-2013. Cet été, les Michalak, Mermoz, Masoe, Sheridan, Jenkins et autres Delon Armitage ont rejoint un groupe déjà composé de Wilkinson, Giteau, Botha, Hayman, Van Niekerk, Shaw, Palisson ou encore Bastareaud.

    Opéré entre 2009 et cette année, ce recrutement titanesque a naturellement un coût fort conséquent. Aujourd'hui, la masse salariale du RCT s'élève à 8,5 M€, soit près du tiers du budget global du club varois. Si ce dernier est en mesure de bâtir un effectif de Galactiques, il le doit ainsi à un modèle économique savamment façonné par un homme : le président Mourad Boudjellal.

    Flash-back. Lorsque ce patron d'éditions (Soleil Productions) est arrivé aux commandes du RCT, au printemps 2006, à la demande d'un Éric Champ désireux de passer la main, le budget du club était de 6 M €. Un montant établi à partir de subventions institutionnelles (35 %), des recettes de la billetterie du stade Mayol et d'une structure partenariale qui réunissait, elle, 2,3 M €. En début d'exercice, le club avait retrouvé l'élite après un purgatoire de cinq ans lié à des déboires financiers.

    "J'avais trouvé des comptes très sains, fruits d'une gestion de bon père de famille, se souvient Boudjellal. C'était compréhensible, car le club sortait quasiment d'un dépôt de bilan et les dirigeants avaient mis des années à payer des échéances en retard. Ce n'était pas de la prudence ni de l'incompétence. Il y avait simplement eu une vraie volonté pour que cette remontée en Top 14 ne débouche pas sur un nouveau gouffre financier. En revanche, on peut être en bonne santé financière mais en mauvaise forme quand même. Au sortir de la Pro D2, le club n'avait pas été lancé pour affronter le monde professionnel. Il manquait de structures. Une deuxième saison en Top 14 devait permettre de pallier ces lacunes."

    Il a investi 7 M€ dont 75 % entre 2006 et 2009

    Or, le RCT allait faire l'ascenseur en cette année 2006. "Je ne connaissais pas du tout l'économie du rugby, ne cache pas le président, mais j'avais un objectif bien précis, celui de remonter immédiatement en Top 14 en recrutant des joueurs qui avaient, justement, ce niveau-là." Pour cela, il n'y a pas de véritable secret. "J'ai mis de l'argent, beaucoup même, pour monter le budget à 10,5 M €." D'emblée, le Pdg de Soleil Productions(*) et actionnaire unique de sa société d'éditions (45 M€ de chiffre d'affaires) a ainsi injecté 3 M€ issus de ses deniers personnels, en plus des "quelques centaines de milliers d'euros" de Stéphane Lelièvre, son associé alors.

    Malgré ce premier investissement et le recrutement de joueurs majeurs (Umaga, Luger, Delaigue, Quesada,…), le RCT allait cependant rater la montée en Top 14. Loin de renoncer, Boudjellal a, alors, passé la vitesse supérieure et bâti "une équipe de rêve" avec les venues de Gregan, Matfield et Mehrtens. Le budget a évidemment grimpé, lui aussi : 12,5 M €, dont 1,5 M € supplémentaires provenant des fonds propres du président. "À cette époque-là, note ce dernier, j'étais le président mécène, médiatique et sportif, voilà. Je ne m'intéressais pas à l'économie du club. Comme je m'occupais beaucoup de mes affaires à côté, je déléguais tout à l'intérieur du club."

    Mais au bout du compte, le pari fut réussi, puisque le RCT accéda en Top 14. L'intersaison allait être marquée par un autre flot de recrues (Van Niekerk, Sonny Bill Williams, Collins,…) et une nouvelle augmentation du budget (16,5 M €) à laquelle Boudjellal a encore personnellement pris part. "En tout, calcule-t-il aujourd'hui, j'ai investi 7 M€ dans ce club, dont 75 % sur les trois premières années."

    Un club, une marque

    Mais sa méthode ne se résume pas seulement à sortir de l'argent de son coffre. Ce n'est même plus le cas, d'ailleurs. Pour expliquer l'évolution d'un budget, qui s'élève cette saison à 25 M€, il faut aller chercher autre part que dans les poches du patron, désormais."On n'est pas dans une région très riche. On n'a pas un grand bassin d'entreprises, énumère Boudjellal. On n'a pas non plus un grand stade, alors qu'aujourd'hui, beaucoup de clubs ont élaboré leur modèle économique à partir de ce paramètre-là. J'ai fondé le mien sur le traitement du RCT comme une marque et une philosophie. Je veux que les gens s'identifient à travers des images, des joueurs, une forme de communication. Dans cet ordre d'idées, on a réussi un gros pari économique qui a consisté à multiplier la portée du partenariat par cinq."

    Une notoriété mondiale

    Une évolution déterminante. "Il n'y a pas de profit, car tout est réinvesti dans le club, insiste encore le président. Les recettes des boutiques et des partenariats, par exemple, servent à entretenir la structure, à payer les charges et à acheter l'image des joueurs." Des joueurs de dimension internationale de surcroît. "J'ai compris que j'étais coincé à Toulon et que je n'aurais jamais le bassin économique de Paris ou de Toulouse, souligne Boudjellal. Alors, je me suis dit : 'Je dirigerai le premier club français à avoir une notoriété mondiale.' D'où le choix de joueurs qui font que le RCT est beaucoup plus connu que le Stade Toulousain à Auckland, par exemple."

    Ce n'est visiblement pas fini. "À mon sens, le RCT a un potentiel de développement plus fort que tous les autres, assure-t-il. De par le modèle économique que j'ai créé, et ce, sans avoir encore actionné le levier 'grand stade' ni augmenté la contribution des collectivités locales, on a réussi à faire passer le budget de 6 à 25 M€ en six ans."

    Mourad Boudjellal tient également à la singularité de son mode de fonctionnement dans le rugby. "Cette saison, c'est la première fois que j'investis zéro centime dans le club, précise-t-il. Aujourd'hui, je n'ai donc rien à voir avec un mécène, mais, c'est vrai, moi, je me suis mis en danger économiquement. Avec tout le respect que j'ai pour les 29 autres présidents (de Top 14 et de Pro D2), je mets au défi d'en trouver un qui a fait la même chose sans mettre d'argent. Le RCT, c'est avant tout un modèle économique exceptionnel qui a été créé dans le rugby et qui n'a aucun équivalent."

    (*) Il a vendu sa maison d'éditions en 2011.

  12. ovalie. 28 août 2012 à 01h

    bien sur comme le dit San Nari MB n'a pas pris n'importe quel club, il a prit le RCt avec toute son histoire mais faut pas oublier ou était notre RCT quand il l'a prit et hélas la grandeur du club et son histoire ne font pas tout et ne suffise pas. regardez ou en sont les Lourdes les Tarbes les Béziers, eux aussi sont des clubs avec une belle et grande histoire. Donc je trouve injuste de minimiser le travail qu'a effectuer MB à la tète du RCT sans pour autant être toujours en accord avec ses propos il faut reconnaître qu'il a donné à notre RCT l'arme économique qui lui permet de combattre les st ou ASM

  13. chris83 28 août 2012 à 01h

    Racing-Métro-RCT: Novès interpellé par l’intrusion de Laporte dans le vestiaire de l'arbitre
    http://www.varmatin.com/rct/racing-metro-rct-nove

    L’intrusion de Bernard Laporte dans le vestiaire de l’arbitre M. Raynal à la mi-temps du match Racing-Métro – Toulon suscite de nombreuses réactions dans le milieu de l’ovalie.

    Guy Novès, manageur du Stade toulousain, a livré son avis sur la question : « A partir du moment où je ne m’autorise pas à aller mettre une forme de pression sur l’arbitre, si l’entraineur adverse se le permet, ça m’interpelle. On doit tous faire les mêmes efforts, même si pour l’entraineur c’est toujours très, très dur d’accepter certaines décisions. »

    Bernard Laporte, manager de Toulon,invité du Moscato Show ce lundi s’est expliqué sur cette intrusion : « Quand j’ai vu l’oreille de Chris Masoe, j’ai failli vomir tellement c’était affreux, raconte Laporte. Et ça m’a agacé. On s’est un peu énervé pour rien mais je ne suis pas allé voir l’arbitre pour lui parler de technique ou de fautes. J’ai été le voir pour lui dire qu’on allait porter réclamation. »

    Malgré cet incident, le RCT a remporté son deuxième match de la saison.

  14. chris83 28 août 2012 à 01h

    info d'un ex Toulonnais

    SBW vient d'avoir la garantie de la fédé nz d'etre sélectionné pour l'équipe NZ a 7 qui jouera les jeux olympiques de 2016 en contre partie d'un retour au rugby a XV et de rejouer avec les blacks !!!!

  15. jacky le corse 28 août 2012 à 10h

    Certains me font bien rire , quand ils disent , "il a pas pris n'importe quel club ", Mourad a toujours été toulonnais depuis qu'il est minot . Plus que d'autres d'ailleurs qui passent leur temps à critiquer .La place de cinéma , c'est pas bonnard , les réductions , c'est pas bonnard ,la carte privilège , c'est pas bonnard , à la différence de beaucoup d'autres , lui, il s'est envoyé , il a mis sa monnaie , pour arriver à ce que nous sommes aujourd'hui . Maintenant il en retire les fruits , tant mieux .Fier d’être toulonnais .

  16. Andycore 28 août 2012 à 12h

    Franchement, je vous envie! Le monde de l'ovalie peut dire ce qu'il veut au sujet de votre président, mais les fait sont là.
    Alors bravo à lui! J'aimerai tellement que cette façon de penser l'économie du rugby fasse écho au sein de mon club de cœur (le CO).
    Profitez en bien les amis!

  17. Thierry Sydney 28 août 2012 à 14h

    Vivant a Sydney, en deplacement regulierement a Auckland, je confirme la notoriete du RCT dans la region!!!

  18. Georges 28 août 2012 à 15h

    😀 😀 …@ PATCRACKER…ton post numéro 11…je craque..on te verdit au maximun…comme toi sommes..anti-Sudouestique…..à tout le moins par réaction…avec tout ce qu'on subit depuis des générations….marre de voir l'Ovalie .." au coeur du système garbure-Ferrassien Sud ouestiste.."…comme depuis cinquante piges…nous nous élevons comme toi à l'endroit de ces "radsocs nombrilistes.."…comme tu le dis si bien…le rugby a évolué ..il est devenue mondialiste…et pas grâce à notre vieille Europe hexagonale…Té..te renvoie au chapitre sur notre blog.." les résultats de la deuxième journée du Top 14.."où un troll merdique..PAT 26…..post 13..aujourd'hui écarté après trois adresses IP et un nombre effarant de pseudos..se permettait d'outrager nos amis..je le cite..in-extenso..entre autres délicatesses…" il ne comprend rien ce pauvre GEORGES..à part agiter les drapeaux rouges prétendument de..l'ANTI-TOULONNIALISME !! "…sic…merci PAT CRACKER de notre communion osmotique d'esprit ….et à bientôt peut-être pour quelques mousses !!!! ALLEZ TOULON 😆 😆

  19. PatCracker 28 août 2012 à 18h

    Georges, pas de pet pour boire un coup, mais quand je passerai à Toulon, ce n'est d'ailleurs pas demain la veille, étant souvent aux USA, et ailleurs… La bière dommage, je n'aime pas et préfère l'eau gazeuse, déjà quand je jouais à Six Fours, les Paolino, Bonnus, Troin, Biaggi, me traitaient ironiquement de "mataf yaourt" ou "mataf Perrier", il faut dire qu'on avait quelques pilards qui s'envoyaient un plat de daube raviolis avant un match et qui avaient de la peine après à garder tout ça dans le bahut.

    Pour le sud ouest, je vous avais déjà raconté, que junior 1ère année au SU Agenais, j'avais été amené après avoir été mataf à signer en junior au RCT, pétan que n'avais je pas fait là, je me suis fait virer lors de ma 1ère permission à Agen, du couloir des vestiaires un soir d'hiver d'entrainement junior par des dirigeants dont le secrétaire général du club d'alors, je me suis fait insulter, etc, de traitre et là j'ai compris que Toulon ne serait jamais apprécié là bas.

    Depuis comme je le vaux bien, aussi je leur rends avec ma délicatesse de 3ème ligne.

  20. Georges 28 août 2012 à 19h

    😳 :mrgreen: Ah…pitin..AGEN…l'hégémonie du Sud Ouest…les prises de pouvoir des BASQUET…FERRASSE…..et LAPASSET……""si vous ne pensez pas comme eux,ils vous mènent la vie dure,si vous êtes contre eux , vous êtes morts.Le pouvoir est une drogue qui altère souvent la lucidité de celui qui y goûte…""…Daniel HERRERO..son dico amoureux du rugby…ALLEZ TOULON.. 😆

  21. San Nari 28 août 2012 à 21h

    jacky si tu parles de moi c'est que tu n'as vraiment rien compris à mon message…

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