La Facem s’explique…

La Facem s’explique…

15 juin 2011 - 14:54

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Interrogé par le quotidien de Toronto Globe and Mail, Job Ariste, le président de la Facem (Fondation pour l’amélioration des conditions de l’enfance dans le monde), nouvel actionnaire du Stade Français, a précisé le cadre de l’engagement de l’organisme au sein du club. Ariste explique que l’objectif est de dégager des profits, à long terme. «Nous allons chercher des gens qui ont de l’argent. (…) Nous demandons aux investisseurs de nous donner une part de leurs bénéfices futurs pour investir dans des prokets humanitaires. A long terme, nous espérons que le Stade Français fera des profits et une part de ces profits ira dans nos projets humanitaires.»
Le président de la fondation canadienne souligne également le fait que l’origine des fonds et leur traçabilité ne sont pas de sa responsabilité, mais de celle des institutions bancaires : «On est dans la légalité pure. On ne touche pas à des choses illicites. Ce sont des fonds qui ont été vérifiés.» Un élémént de réponse aux doutes de Mourad Boudjellal, président du RC Toulon. Présenté mardi dernier à la presse, le nouvel actionnaire est entré à hauteur de 66% dans le capital du club en injectant 12 millions d’euros.

Interrogé par le quotidien de Toronto Globe and Mail, Job Ariste, le président de la Facem (Fondation pour l’amélioration des conditions de l’enfance dans le monde), nouvel actionnaire du Stade Français, a précisé le cadre de l’engagement de l’organisme au sein du club. Ariste explique que l’objectif est de dégager des profits, à long terme. «Nous allons chercher des gens qui ont de l’argent. (…) Nous demandons aux investisseurs de nous donner une part de leurs bénéfices futurs pour investir dans des prokets humanitaires. A long terme, nous espérons que le Stade Français fera des profits et une part de ces profits ira dans nos projets humanitaires.»

Le président de la fondation canadienne souligne également le fait que l’origine des fonds et leur traçabilité ne sont pas de sa responsabilité, mais de celle des institutions bancaires : «On est dans la légalité pure. On ne touche pas à des choses illicites. Ce sont des fonds qui ont été vérifiés.» Un élémént de réponse aux doutes de Mourad Boudjellal, président du RC Toulon. Présenté mardi dernier à la presse, le nouvel actionnaire est entré à hauteur de 66% dans le capital du club en injectant 12 millions d’euros.

Source: lequipe.fr

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  1. Tof83 15 juin 2011 à 16h

    Euh!? Je ne trouve pas que cette déclaration réponde aux doutes soulevés ,au contraire ! Plus ça va,plus ça pue ! Il faut fermer Laporte !

  2. GIA83 15 juin 2011 à 16h

    sa sent le blanchiement tout ca allez la cours des compte verifier moi ca!!!!

    la porte au fond du trou

    le sf en prod2

    basta a toulon

  3. Lavaroise 15 juin 2011 à 16h

    Laporte à la porte du rugby ok mais ça me ferait mal au coeur que le SF se retrouve en Pro D2

    Et que Basta reste à Paris, pas envie de me retrouver sur la pelouse de Mayol… LoOoL

  4. GIA83 15 juin 2011 à 16h

    tu ferrai 15 000 heureux lol

  5. piednoiréroug 15 juin 2011 à 16h

    Et si je comprends bien, les 12.000.000 d'€ qui devaient aller aux enfants du monde vont au SF et les enfants devront attendre que le club fasse d'éventuels bénéfices pour espérer quelques avantages.A ce moment là,je crains qu'ils soient devenus adultes.Attention Bernard,à aller chercher des solutions dans la fosse à purin,tu risques d'y tomber et d'y entrainer le SF .Alors,tu deviendras infréquentable et le club regrettera de ne pas avoir été relégué en pro D2

  6. adrien2 15 juin 2011 à 21h

    L'explication est ailleurs, qu'ils arrêtent de nous prendre pour des cons. On sait bien qu'on peut pas gagner de pognon au rugby. Les clubs arrivent tous tout juste à équilibrer leurs comptes. Je vois pas quels benef ils vont pouvoir tirer du Stade français. Surtout que ce genre de fonds n'investit pas sur du long terme, ça me paraît évident. Dans 5 ans leur fondation elle existe plus !

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