Cette fois-ci, c’est donc Toulon qui a hérité de la poule de la mort, et pas Clermont, plutôt épargné (opposé notamment à l’UBB, voir par ailleurs). Pour espérer un quadruplé historique à Lyon, désigné pour acceuillir la finale 2016, le RCT devra battre d’autres anciens vainqueurs dans une poule 5 qui cumule neuf sacres avec les trois du Leinster, les deux des Wasps et celui de Bath. Commentaire amusé du président Boudjellal : « On attaque la Coupe d’Europe en verlan. On commence directement par la phase finale. Maintenant on n’était pas dans le premier chapeau (seuls les champions nationaux étaient assurés d’être têtes de série, les autres ont été tirés au sort). Ce règlement, on l’a accepté. On a juste été trois fois champion d’Europe… Mais si cette poule est difficile, c’est aussi parce qu’il y a Toulon. C’est comme s’il y avait le Bayern, le Real, le Barça et Chelsea ensemble. »

Source: lequipe.fr