Bernard Laporte envoie valser le clan Grill

Bernard Laporte envoie valser le clan Grill

Le jeudi 20 août 2020 à 17:43 par David Demri

3 Commentaires

Publicité

Il y a quelques mois, Florian Grill a proposé à Bernard Laporte d’organiser un débat afin que chaque camp puisse exprimer ses idées à l’approche des élections à la présidence de la Fédération Française de Rugby.

Mais l’actuel patron du rugby français a refusé de débattre avec son opposant Florian Grill.

Interrogé à ce sujet dans les colonnes du journal Sud-Ouest, Bernard Laporte a expliqué qu’il ne souhaitait en aucun cas échanger avec ces gens-là. Extrait:

« On me dit qu’il faut débattre avec eux, mais je n’ai pas besoin de le faire. S’ils avaient gagné il y a quatre ans, on ne parlerait plus de rugby, on serait en faillite ! 600 millions d’euros pour la construction d’un stade. Mais comment ferait-on aujourd’hui ? »

Publicité

3 Commentaires

  1. Ritou du Pradet 20 août 2020 at 18h- Répondre

    Nanard peut-être cet endroit avec une âme aurait été un lieu de vie. Perso au sdf je n’y vais plus c’est morbide dans un quartier affreux. Je peux par contre consommer et arriver 6 heures avant dans un stade avec une adn. De plus il aurait été plus facile de partager avec les partenaires dans un vrai stade.

    Toi et ton équipe de petites frappes payées a prix d’or ne devrez pas donner de conseil. Ton lieutenant Simon aussi antipathique d’incompétent devrait être au SMIG. Mis à part menacer et manipuler c’est vide…
    Pourquoi Muri est parti si vite de ce panier de crabe lui qui connaît le rugby amateur, le vrai, pas celui qui est un simple client pour être élu, hein Nanard a la BMW qui a abandonné du coup l’edf…

    • Moïse 20 août 2020 at 19h- Répondre

      Thierry murie est parti simplement parce qu’il était pas d’accord avec certaines personnes. Mais il n’est en rien contre laporte, il avait été à fond derrière bernard,car Bernard lui donner les clés du monde amateur ,sauf que certaines personnes,qui veulent avoir le contrôle sur tout, lui ont mis des bâtons dans les roues et c’est pour cette raison qu’il est parti.