Encore une grosse déception pour ce joueur Toulousain qui s’est encore blessé et qui va encore manquer un match du XV de France
Encore une grosse déception pour ce joueur Toulousain qui s’est encore blessé et qui va encore manquer un match du XV de France
Le mardi 15 juillet 2025 à 10:27 par David Demri
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La dernière étape de la tournée néo-zélandaise du XV de France se jouera sans plusieurs de ses soldats. À l’approche du troisième test face aux All Blacks, programmé samedi 19 juillet à Hamilton, le staff tricolore a acté les forfaits de Pierre-Louis Barassi, Cameron Woki et Régis Montagne.
Arrivé en Nouvelle-Zélande sur le fil après avoir disputé — et remporté — la finale du Top 14 avec le Stade Toulousain, Pierre-Louis Barassi n’aura finalement porté le maillot bleu qu’une seule fois sur cette tournée.
Le centre de Toulouse, auteur d’une saison solide avec 26 apparitions, est victime d’une blessure au mollet. Déjà absent lors du premier test à Dunedin, il ne sera pas non plus sur la feuille pour la clôture à Hamilton.
Une décision de prudence que William Servat, entraîneur des avants du XV de France, a justifiée ce mardi :
« Ce sont des blessures qui ne sont pas très graves. Et si on jouait une finale d’une compétition, ce seraient des joueurs qui postuleraient. Mais aujourd’hui, il est hors de question de prendre des risques sur le groupe. »
Il s’agit forcément d’une grosse désillusion pour le joueur Toulousain qui avait effectué une grosse prestation samedi dernier, contre les Blacks.
Régulièrement blessé au cours de sa jeune carrière, le centre Toulousain l’est encore une fois en pleine Tournée estivale.
Barassi ne sera pas le seul à manquer à l’appel. Le troisième ligne Cameron Woki, touché au genou lors du deuxième test à Wellington, est également contraint de rester en tribunes. Même sort pour le jeune pilier Régis Montagne, blessé à une cheville. Tous deux avaient participé à la dernière rencontre, conclue sur une lourde défaite des Bleus.
Dans un contexte de fin de saison éprouvante et d’enchaînements intenses, le staff français privilégie donc la précaution à la relance à tout prix. L’heure est désormais aux ajustements pour composer un groupe capable de rivaliser une dernière fois avec la machine néo-zélandaise.
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