Alban Placines : « Quand Toulouse m’a appelé… »

Alban Placines : « Quand Toulouse m’a appelé… »

Le jeudi 18 septembre 2025 à 23:43 par David Demri

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Le troisième ligne Alban Placines a quitté Toulouse pour rejoindre le Biarritz Olympique, cet été.

Interrogé via Midi Olympique, Alban Placines ne cache pas que le fait de pouvoir signer à Toulouse était un véritable rêve, pour lui. Extrait:

Bien sûr ! Même si ce n’était pas mon premier rêve de gosse, le Stade toulousain est depuis toujours un club emblématique, place forte du rugby en France. Quand ils m’ont appelé, ça a d’abord été une surprise, puis une envie de jouer là-bas.

Il revient sur ses années passées à Toulouse. Extrait:

Les saisons sont longues, mais au final, quand on lève la tête, ça passe hyper vite… Il y a eu cinq Brennus, deux coupes d’Europe, j’ai joué de nombreux matchs. L’aventure a été superbe et c’est passé assez vite.

Il explique être arrivé à Biarritz très simplement. Sa volonté ? Transmettre. Extrait:

Très simplement. J’arrive avec cette expérience-là pour m’intégrer dans un Biarritz olympique qui est différent de celui que j’ai quitté il y a sept ans. Je veux essayer de transmettre, car il y a beaucoup de jeunes dans l’effectif. Je veux aussi essayer d’amener la vitesse et la rigueur qu’il y a au Stade.

Concernant sa santé physique, il indique se sentir très bien. Extrait:

Non. Je me sens très bien dans mon corps. À 32 ans, on n’est pas fini ! On a de très bons exemples, dans l’équipe, comme Piula Faasalele et Mathieu Acebes, qui sont encore en pleine forme. Avec le temps, on ajuste les choses, on a une sensibilité plus particulière à notre corps. On sait ce qu’il faut faire et ne pas faire, ou comment mieux récupérer. Il y a une récupération particulière avec les retours en bus. Ce sont des ajustements à avoir.

Pour conclure, il évoque sa vie hors rugby. Extrait:

Elle est concentrée sur la vie de papa, avec un petit garçon qui est rentré à l’école cette année. Ce sont beaucoup de changements pour lui. J’essaye d’être le plus présent pour son évolution. À trois ans, il ne joue pas encore au rugby, mais il a déjà ça dans le sang et on va bientôt l’y mettre.

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