Les confidences touchantes de Mickaël Ivaldi : « J’ai quitté le RCT en 2013, avec le cœur lourd »

Les confidences touchantes de Mickaël Ivaldi : « J’ai quitté le RCT en 2013, avec le cœur lourd »

Le jeudi 18 décembre 2025 à 0:00 par David Demri

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Le talonneur Mickaël Ivaldi a officiellement mis un terme à sa carrière sportive dimanche dernier.

Interrogé via Var-matin, ce-dernier est revenu sur les moments forts de sa carrière.

Il a notamment parlé de son départ du RCT en 2013, le coeur lourd. Extrait:

« J’ai quitté le RCT en 2013, avec le cœur lourd. C’était dur. Ma famille et ma région m’ont beaucoup manqué. Quand, fin 2024, Pierre Mignoni et Laurent Emmanuelli m’ont proposé de revenir, avec un projet derrière, je n’ai pas hésité une seconde.

J’avais la même opportunité au Stade français, où j’étais joueur à ce moment-là, avec le même projet derrière. Mais je les avais prévenus : si l’occasion de Toulon se présentait, je ne pouvais pas refuser. Parce que c’est chez moi. Tout le monde le savait. C’était naturel. Sinon, en ce moment, je fais une formation de deux ans avec le Creps de Montpellier. Et dans le même temps, j’interviens ici, avec “Brique”, au club. Que ce soit avec la une, avec les Espoirs… Je vais aussi une fois par semaine au RCTPM. Ça me plaît. »

C’est ainsi que Mickaël Ivaldi va désormais s’occuper de la mêlée Varoises. Extrait:

« J’ai toujours aimé ça. Au Stade français, je m’occupais du Centre de formation, où j’intervenais le matin sur la mêlée, la touche, les circuits etc. Je l’ai fait pendant deux ans, en plus de mes entraînements. Mais ça m’a toujours plu. Même avant ça, quand j’étais à Montpellier, j’allais entraîner à Nîmes, en Fédérale 1. »

Pour conclure, il dévoile quel type d’entraineur il sera. Extrait:

« Je suis un affectif. Je sais qu’avec moi, il n’y aura pas de barrière. Déjà, je n’arriverais pas à en mettre… et les mecs ne me comprendraient pas. Je veux du sérieux quand on bosse, mais aussi de la rigolade dans la vie de groupe. Il faut faire la différence entre les deux.

On fait un sport, on vit d’une passion. Si tu n’aimes pas le rugby, tu n’en fais pas. Si tu viens à l’entraînement en faisant la gueule, reste chez toi. Tout n’est pas beau dans la vie, mais tu fais du rugby. Il faut réaliser que c’est une chance. Ça a toujours été un sport de déconnade. Par contre, quand tu bosses, tu bosses. »

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