Affaire Narjissi : Nouvelle polémique concernant l’état de santé du médecin de l’équipe U18 !
Affaire Narjissi : Nouvelle polémique concernant l’état de santé du médecin de l’équipe U18 !
Le vendredi 1 août 2025 à 11:47 par David Demri
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Un an après le drame survenu en Afrique du Sud, de nouvelles zones d’ombre émergent autour des conditions d’encadrement de la sélection française U18.
Le père de Mehdi Narjissi, disparu tragiquement durant un séjour de l’équipe en juillet 2023, ne décolère pas face à l’attitude de la Fédération française de rugby.
Lors d’un échange avec les journalistes de L’équipe, Jalil Narjissi a exprimé son incompréhension et sa douleur, en particulier à l’égard du staff médical.
Il a notamment indiqué que le médecin de l’équipe U18 n’était même pas en mesure de descendre les escaliers qui mènent à la plage en raison d’un handicap moteur.
« Le docteur, s’il n’est pas capable de descendre deux escaliers, il reste chez lui », a-t-il lancé, avant d’ajouter : « Il se serait passé quoi si un enfant avait fait un malaise ou s’il avait fallu réanimer notre fils ? C’est incroyable. »
Ce témoignage révèle un élément jusqu’ici inédit dans cette affaire. Devant les enquêteurs, le médecin de la délégation, aujourd’hui âgé de 56 ans, a admis le 28 novembre 2024 qu’il ne s’était pas rendu sur la plage au moment du drame.
« Il n’y a que 6 personnes qui ne sont pas descendues, 3 joueurs dont je ne me rappelle plus et 3 membres du staff dont moi-même en raison d’un problème physique lié à un handicap », a-t-il déclaré.
Selon le rapport remis par l’inspection générale, ce médecin possède une carte mobilité inclusion, reconnaissant un handicap moteur.
Fait étonnant : aucun autre membre de l’encadrement n’aurait été informé de cette situation.
Interrogé via L’équipe, le docteur Pradier n’a pas souhaité s’exprimer directement.
Son avocat, Me Laurent Sabounji, a précisé que son client « n’avait pas à descendre sur la plage ce jour-là. C’était une journée off, sous la responsabilité des préparateurs physiques. Cela ne rentrait pas dans ses prérogatives. Il a un problème à une cheville à la suite d’un accident de moto mais il est totalement apte à effectuer son travail. »
Alors que les parents de Mehdi réclament toujours la vérité, ces nouvelles révélations pourraient relancer les débats sur la gestion des responsabilités au sein des équipes de France jeunes.
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Je reste coi …………
Quelle honte. Ce médecin est en tort et aurait du déclaré son handicap et aucune préparation phyisque n’aurait du se tenir dans un endroit inaccessible pour le médecin.
Quant à l’avocat qui dit que le médecin de la tournée n’a pas à intervenir en cas de blessures/malaise pendant une préparation physique en cours!!
Son handicap, il a dû le déclarer, il n’est pas sorti de nulle part, il était sans doute connu et reconnu pour ses compétences… en suite, attention à ne pas confondre médecin et secouriste…
C’est l’article lui même qui dit que le handicap du médecin n’était connu de personne dans l’encadrement.
Le médecin de la tournée a probablement comme responsabilité d’intervenir en 1er secours en cas de malaise ou blessures lors des entrainements et préparations physiques.
Il a été dit par plusieurs fois que cette préparation physique à la plage a été improvisée à la dernière minute, mais si elle avait été prévu à l’avance, le médecin aurait probablement été mobilisé.
Il me semble que cette famille a bel et bien raison d’insister et qu’elle ne se trompe pas de combat. Courage à elle.
Quel est le but de tirer sur tout le monde ?
Que le médecin soit présent n’aurais malheureusement pas changer l’issue…
C’est un drame mais je
C’est pas ce qu’il aurait pu faire ou ne pas faire qui pose question mais son recrutement sans connaissance de son invalidité. Ça met en évidence des failles dans la constitution de l’encadrement des jeunes. C’est là le problème.
Ce n’est pas son invalidité le problème, car un médecin n’est pas forcément un secouriste. Là où il y a un défaut d’encadrement, c’est qu’il aurait fallu au moins un secouriste, type pompier, dans le staff
Je répète, vu que ça n’a pas été compris la première fois, c’est le fait que ça ne soit pas su qui montre le défaillance lors de la constitution de l’encadrement.
On a compris TOF mais qu’est ce que cela change à la finalité qu’il soit considéré comme
Handicapé ou pas.
Cela montre un manque de transparence mais après il faut d’après moi se recentrer sur les décideurs et organisateurs de cette sortie et ce qui s’est passé pendant.
Le rugby ne sort pas grandi de ce drame
Il y a d’énormes manquements à tous les niveaux
Que chacun prenne ses responsabilités
Ce n’est pas le rugby lui même qui est en cause mais l’organisation de ce déplacement , la composition de l’encadrement , l’attribution des responsabilités , le programme , le journal de bord etc ….
Pas d »écrits , pas de comptes rendus des réunions , des résultats obtenus , de l »ambiance , de votes quand désaccords , …
Dans ces conditions chacun rejette la faute sur l’autre quitte à mentir honteusement pour sauver sa peau ..la parole de l’un contre la parole de l’autre …
Et on découvre que le médecin était resté à l’hotel ou faire des courses avec son handicap , comment l’avoir sélectionné blessé , un comble ( les copains d’abord ) ,
Pas de vérification quant à la pratique de la natation et le niveau des jeunes 00
Et l’on découvre que dans des conditions dantesques aucune , aucune sécurité , aucun moyen mis en place ..que seul un courageux et exemplaire joueur a tenté de sauver le jeune Medhi ( à qui les parents ne pourront pas donner de sépulture ) ..
et c’est sans honte que chacun tire la couverture à soi , quel spectacle …tous coupables pour avoir laisser exposer ces jeunes à des risques inconsjdérés et mortels .Ils n’ont plus leur place dans une instance du rugby et qu’ils aillent se reconvertir ailleurs