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Affaire Steffon Armitage: L’avocate du plaignant s’est exprimée

Affaire Steffon Armitage: L’avocate du plaignant s’est exprimée

Le mardi 10 février 2015 à 14:16 par David Demri

3 Commentaires

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Après Steffon Armitage et le plaignant, La Provence nous rapporte que c’est au tour de l’avocate du plaignant de s’exprimer au cours de cette séance d’audience.

Selon elle, le joueur Varois a reconnu les faits sans en prendre conscience. Extrait:

« Lors de sa déposition en garde à vue, monsieur Armitage a indiqué : ‘On m’a séparé et personne d’autre n’a porté des coups.’ C’est suffisamment éloquent, non ?… C’est une façon de reconnaître les faits. De plus, il est venu voir mon client juste après les faits en lui intimant de ne surtout pas porter plainte. Dès lors, si cela n’est pas reconnaître les faits, ce n’est plus rien à comprendre. »

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3 Commentaires

  1. Milhouse83 10 février 2015 at 14h- Répondre

    Oh pauvre qu’est ce que c’est que cette défense.

    Pour ne pas s’exposer STEFFON aurait dû allonger la caillasse pour que le plaignant retire sa plainte, un accord préalable lui aurait évité tous ses soucis.

    C’est Dallas ma parole !

    • Flow 10 février 2015 at 14h- Répondre

      Impossible, même en retirant sa plainte, le ministère public aurait poursuivi Armitage quand même. Il aurait fallu payer la victime avant qu’elle porte plainte, une fois que le parquet est saisi c’est mort.

    • jak84 10 février 2015 at 15h- Répondre

      On est en France, pas aux US.
      Une fois que l’infraction est constater, il n’est plus question de retirer sa plainte ou pas, la justice a constaté une infraction et elle ira au bout. En France, on considère que ce genre d’action n’est pas uniquement une affaire entre deux personne mais plus généralement qu’un tel comportement est dangereux pour la société dans son ensemble et que ce n’est donc pas la justice qui poursuit mais l’avocat général qui représente la société. La victime est ‘juste’ partie civile: la victime de demande pas de peine réprimant l’acte en question: elle demande une réparation financière pour les dommages subis.
      De plus, vu qu’il y a eu des intervention chirurgicales, en toute logique, la sécu est partie civile dans l’affaire et voudra absolument d’un procès et d’un remboursement des frais de celui qui éventuellement serait tenu responsable de dégâts physiques occasionnés.