Lors d’un entretien accordé à La Dépêche, l’arrière international Italien Ange Capuozzo s’est confié sur son aventure avec le Stade-Toulousain.

Ce-dernier indique être très excité à l’idée de découvrir la Champions Cup, lui qui s’apprête à défier le Munster avec Toulouse ce week-end.

Il l’affirme : tout le groupe Toulousain est désormais 100% concentré sur le match contre le Munster. Extrait:

« Bien sûr, il y a une forme d’excitation que j’avais quand j’ai découvert le Top 14, les matchs internationaux et quelque part, ces matchs de Coupe d’Europe, ce sont des matchs internationaux avec une très forte intensité. Donc il y a forcément beaucoup d’excitation et d’appréhension sur un niveau qu’on ne connaît pas.

Il y a une forte histoire entre le club et cette compétition. Avec tout le passé qu’il y a eu, j’ai envie de faire partie d’une page de ce club dans cette compétition. Donc j’espère qu’on va démarrer de la meilleure des façons.

À partir du coup de sifflet final face à Perpignan, où on avait la tête vraiment au Top 14, on a compris qu’il fallait récupérer, qu’il fallait simplement se mettre en mode Munster. C’est une atmosphère générale qu’on ressent au sein du club sous la forme de nos entraînements, de nos réunions. Le mot d’ordre est clair, on passe à un niveau supérieur en termes de préparation. On le ressent très vite. »

Dans la foulée, Ange Capuozzo ne manque pas de déclarer sa flamme au Stade-Toulousain. Extrait:

« Je suis épanoui, heureux. Dans les meilleurs moments comme dans les moments compliqués. Moi je suis très heureux car je sens que je progresse. Je sens également que j’ai passé un palier dans ma préparation et je découvre avec tout ce groupe qui est d’un niveau exceptionnel une nouvelle façon de bosser, une nouvelle façon de voir le rugby. Et après quatre saisons professionnelles, cela me fait du bien aussi de découvrir cet envers du décor. C’est juste du positif pour moi depuis quatre mois.

Chaque semaine, c’est un gros combat en Top 14. On a un calendrier totalement différent de la Pro D2 où toutes les cinq semaines, on a un week-end de repos. Le rythme est complètement différent. Effectivement je ne suis pas déçu du challenge qui a tenu ses promesses. »