Dal Maso dit non à regrets

Dal Maso dit non à regrets

Le vendredi 3 juin 2011 à 13:16 par David Demri

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Jamais deux sans trois. Après avoir essuyé les refus de Serge Milhas (parti vers Biarritz) et de Laurent Seigne (resté à Bourgoin), le RCT vient d’enregistrer une troisième défection pour occuper le poste d’entraîneur en charge des avants.
« C’est très durde refuser »
Marc Dal Maso, 44 ans, heureux « du contact et de l’accueil » lors de sa visite sur la rade, la semaine dernière, a rejeté l’offre toulonnaise à son tour, hier. Non sans un pincement au cœur : « Ce n’est pas dur de refuser. C’est très dur! C’est un privilège d’avoir reçu une si belle proposition. J’ai donc regardé le projet sportif du RCT, qui est exceptionnel, avec un engouement autour du club qui l’est tout autant. Je regrette de ne pas pouvoir honorer cette offre, mais comme j’avais donné ma parole à Mont-de-Marsan, je reste au club. » En février dernier, Dal Maso avait effectivement reçu une offre de prolongation de contrat de la direction du club, qui sera présidé la saison prochaine par Jean-Robert Cazeaux. Pourtant, quand l’offre toulonnaise s’est faite jour, aucun contrat n’avait encore été signé.
En début de semaine, l’ancien talonneur de l’équipe de France (33 sélections) a donc rencontré le futur président du club landais pour tenter de trouver un accord. Celui-ci a essuyé un refus catégorique. « Cela me paraissait compliqué de revenir en arrière par rapport aux engagements pris avec les dirigeants et les joueurs », argumente encore Marc Dal Maso. L’entraîneur des avants du Stade Montois a donc tenu parole, tout en prolongeant son bail d’une année supplémentaire. On ne peut que louer cette attitude, même si c’est aux dépens du club varois.
Voilà, en tout cas, le RCT revenu à la case départ. A dix jours de la reprise de l’entraînement, le club n’a toujours pas trouvé de successeur à Aubin Hueber. Le temps presse pour le duo Boudjellal-Saint-André, qui multiplie les notes de frais au RCT Café, mais pas les signatures de contrat. Sollicité pour livrer son sentiment, le président du RCT, apparemment contrarié, a renvoyé à lundi toute demande.
Reste Marc Raynaud
À ce jour, un nom reste pourtant d’actualité : celui du Montalbanais Marc Raynaud, qui avait pris du recul cette saison à la suite de la rétrogradation du club en Fédérale 1. Ce jeune entraîneur, qui avait réussi son passage immédiat du terrain au sifflet, souffre toutefois d’un manque certain d’expérience. Mais s’il n’en reste qu’un…

Jamais deux sans trois. Après avoir essuyé les refus de Serge Milhas (parti vers Biarritz) et de Laurent Seigne (resté à Bourgoin), le RCT vient d’enregistrer une troisième défection pour occuper le poste d’entraîneur en charge des avants.

« C’est très durde refuser »

Marc Dal Maso, 44 ans, heureux « du contact et de l’accueil » lors de sa visite sur la rade, la semaine dernière, a rejeté l’offre toulonnaise à son tour, hier. Non sans un pincement au cœur : « Ce n’est pas dur de refuser. C’est très dur! C’est un privilège d’avoir reçu une si belle proposition. J’ai donc regardé le projet sportif du RCT, qui est exceptionnel, avec un engouement autour du club qui l’est tout autant. Je regrette de ne pas pouvoir honorer cette offre, mais comme j’avais donné ma parole à Mont-de-Marsan, je reste au club. » En février dernier, Dal Maso avait effectivement reçu une offre de prolongation de contrat de la direction du club, qui sera présidé la saison prochaine par Jean-Robert Cazeaux. Pourtant, quand l’offre toulonnaise s’est faite jour, aucun contrat n’avait encore été signé.

En début de semaine, l’ancien talonneur de l’équipe de France (33 sélections) a donc rencontré le futur président du club landais pour tenter de trouver un accord. Celui-ci a essuyé un refus catégorique. « Cela me paraissait compliqué de revenir en arrière par rapport aux engagements pris avec les dirigeants et les joueurs », argumente encore Marc Dal Maso. L’entraîneur des avants du Stade Montois a donc tenu parole, tout en prolongeant son bail d’une année supplémentaire. On ne peut que louer cette attitude, même si c’est aux dépens du club varois.

Voilà, en tout cas, le RCT revenu à la case départ. A dix jours de la reprise de l’entraînement, le club n’a toujours pas trouvé de successeur à Aubin Hueber. Le temps presse pour le duo Boudjellal-Saint-André, qui multiplie les notes de frais au RCT Café, mais pas les signatures de contrat. Sollicité pour livrer son sentiment, le président du RCT, apparemment contrarié, a renvoyé à lundi toute demande.

Reste Marc Raynaud

À ce jour, un nom reste pourtant d’actualité : celui du Montalbanais Marc Raynaud, qui avait pris du recul cette saison à la suite de la rétrogradation du club en Fédérale 1. Ce jeune entraîneur, qui avait réussi son passage immédiat du terrain au sifflet, souffre toutefois d’un manque certain d’expérience. Mais s’il n’en reste qu’un…

Source: varmatin.com

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  1. Shady83 3 juin 2011 at 14h

    Un homme de parole et y en as pas bcp…

    Pourquoi pas a la fin de son contrat s il est sincèrement intéresser …

  2. Mg83700 3 juin 2011 at 14h

    s'il avait donné sa parole, qu'est venu t-il faire à TOULON? En fait on ne lui proposait qu'un an de contrat dans l'immédiat et la vraie raison est certainement là.

  3. Mg83700 3 juin 2011 at 15h

    les médias s'en donnent à cœur joie de relater le turn over des prétendants au poste d'entraineur des avants…..le RCT c'est comme les galeries Lafayette il se passe toujours qq chose. Enfin c'est le résultat de l'annonce médiatique du grand coup de balai de fin de saison. Les mêmes décisions auraient pu être prises dans la réflexion et sans précipitation, pour un résultat certainement meilleur. Il faut que le RCT agisse avec le calme des vieilles troupes.

  4. boom09 3 juin 2011 at 16h

    le costume était -il trop grand pour lui ?

  5. brunod'ollioule 3 juin 2011 at 20h

    2 solutions soit c'est du pipeau soit y a un blème

    s'il y a un blème c'est que soit les prétendants ne croient pas au projet de PSA soit notre président leur fait peur même s'il est prêt à mettre le prix

  6. cicoudu83 3 juin 2011 at 21h

    LE BLEEEMMMME C KON LUI A PROPOSER UN CONTRAT D'1 AN DONC DEJA CA MONTRE D'ENTREE DU TRES COURT TERME ET UN MANQUE DE CONFIANCE A LA PLACE DE DAL MASO J'AURAIS FAIT PAREIL .

  7. Toupa83 3 juin 2011 at 22h

    Les blêmes ce sont : un président trop présent ds c qui ne le regarde pas….un PSA qui ne sait pas se positionner dans un club comme le notre….des joueurs ,branleurs trop payes pour leur prestation et des bourriques comme nous supporters qui payont un abonnement très cher pour vivre un peuple sportif….qui peut vouloir s emboucanner chez nous sauf un mercenaire…..???????

  8. brunod'ollioule 4 juin 2011 at 09h

    le blème c'est que notre président a misé sur PSA, parce qu'il avait soit disant réussi en angleterre

    il faut qu'on m'explique comment on peut réussir là-bas en parlant l'anglais niveau cours élémentaire, pour moi c'est un mystère

    donc c'est autre chose, charisme d'un joueur qui sait mobiliser les troupes comme a su certainement le faire chabal et qui a préféré suivre berbisier qu'il ne connaissait pas, plutôt que psa

  9. Arno 4 juin 2011 at 09h

    Qui c'est regrets?

    Si vous me cherchez je suis déjà parti…

  10. jerome36 4 juin 2011 at 13h

    moi je souhaite qu'on vire PSA et on le remplace par NICK MALETT qui est libre

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