Découvrez les appréciations attribuées à Guilhem Guirado et Mathieu Bastareaud

Découvrez les appréciations attribuées à Guilhem Guirado et Mathieu Bastareaud

Le dimanche 24 février 2019 à 10:54 par David Demri

3 Commentaires

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Ce samedi après-midi, le XV de France s’est imposé au Stade de France contre l’Ecosse à l’occasion de la troisième journée du Tournoi des Six-Nations.

Dans son édition du jour, le quotidien L’équipe a attribué des appréciations a chaque joueur Tricolore.

Voici les appréciations attribuées aux deux joueurs du Rugby Club Toulonnais, à savoir Mathieu Bastareaud et Guilhem Guirado.

Mathieu Bastareaud:
Et soudain, Bastareaud a ressemblé à Dan Carter: petit coup de pied par-dessus, ballon récupéré, essai d’Huget au bout. L’action symbolise l’évolution technique du Toulonnais et donne de l’éclat à un match complet. Si son manque de vitesse a parfois été utilisé par les Écossais comme leur essai, il s’est battu pour ne pas trop subir et a beaucoup pesé par son impact, offensivement comme défensivement.

Guilhem Guirado:
On a vite compris l’envie qui animait le capitaine. Elle s’est mesurée à la virulence de ses plaquages, et notamment celui qui coupe une action écossaise dangereuse en prenant au buste Peter Horne. Sorti à la 70ème minute, il terminera le match à 17 plaquages. Dans la colonne des moins, deux pénalités concédées dès le coup d’envoi et une autre à 10 mètres de la ligne écossaise.

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3 Commentaires

  1. mazoil 24 février 2019 at 11h- Répondre

    mathieu retrouve la forme bon plan pour Toulon

  2. Miles 24 février 2019 at 12h- Répondre

    Sur l’essai écossais, je suis partagé. Il parle du manque de vitesse mais de mon point de vue c’est plus le joueur à son intérieur qui ne fait pas le job et glisse mal.
    Sinon, match complet de Basta. Je pense même qu’avec lui titulaire, on ne perd pas contre le Pays-de-Galles.

    D’ailleurs, quand on voit qu’on perd en donnant les essais aux Gallois et ce qu’ils font contre les Anglais hier, ça me confirme que la défaite contre les Anglais vient clairement de l’utilisation permanente de la faiblesse de nos ailiers. Si on joue avec des vrais ailiers de métiers, on sera nettement moins vulnérables et que dire si on voit un jour Raka en équipe de France, parce qu’un jeu au pied mal dosé et à tout moment, on le retrouve de l’autre coté du terrain. Pour le 10 adverse, ça change tout, c’est une pression constante alors qu’avec 2 centres aux ailes, il joue sur du velours.

  3. Cassandre 24 février 2019 at 19h- Répondre

    C’est le problème de l’EDF et du top14, Basta fait une passe au pied une fois, on entend dire qu’il devient un Wilkinson. Qui plus est dans un match au niveau assez minable il faut bien le dire. Pour ceux qui ont enchaîné avec Galles/Angleterre, ça faisait mal à la tête question vitesse globale.
    L’Ecosse était salement diminuée d’une part, et en plus sur un jour un peu sans. Alors c’est sûr l’EDF a un peu plus brillé que d’habitude. Mainteant y-a-t-il de quoi espérer pour la coupe du monde? Je ne crois pas, il faudra plus pour exister.
    Pour ceux qui ont regardé CO-Racing, cet après-midi, ça résumait parfaitement l’EDF et le top14, de la lenteur, 1 passe, du boum boum, des joueurs qui se traînent.