Frédéric Michalak : « Il y a toujours le logo et l’engouement autour du RCT mais le fonctionnement a bien changé »

Frédéric Michalak : « Il y a toujours le logo et l’engouement autour du RCT mais le fonctionnement a bien changé »

4 février 2022 - 16:06

13 Commentaires

Publicité

Arrivé au Rugby Club Toulonnais il y a quelques semaines pour prendre en charge le développement individuel des joueurs, l’ancien ouvreur ou demi-de-mêlée international Français Frédéric Michalak a redécouvert le club de Toulon, un club qu’il connait bien pour y avoir évolué entre 2012 et 2016.

Interrogé via l’AFP, Frédéric Michalak explique qu’énormément de choses ont changé au Rugby Club Toulonnais.

Selon lui, il ne reste plus que le logo et l’engouement par rapport au moment où il a quitté les bords de la Rade, en 2016.

Frédéric Michalak explique ainsi quel est son travail, trois jours par semaine, au sein du staff Varois. Extrait:

« J’ai découvert l’équipe et le staff. C’est un club que je connaissais déjà mais qui a bien changé depuis, avec une manière de fonctionner qui a aussi évolué. Il y a toujours le logo et l’engouement autour du club mais le fonctionnement a bien changé. J’apprends donc de jour en jour à connaître ce club. Le plus important pour nous, c’est d’amener de la rigueur, de la discipline dans ce que l’on veut faire, y croire pour avoir un maximum de confiance sur la fin de la saison.

J’essaie d’être en support du staff et de partager les contenus que j’ai pu découvrir dans différents endroits où j’ai été. Je ne suis à Toulon que deux ou trois jours par semaine. J’essaie de beaucoup échanger avec l’entraîneur des trois-quarts Julien Dupuy, l’entraîneur du jeu au pied Maxime Petitjean, James Coughlan et même Sergio Parisse, qui gère la touche, ainsi qu’avec Franck Azéma qui arrive avec son expérience aussi. J’essaie de comprendre les joueurs, leur qualité, leur façon de penser… et de partager un maximum.

Après, on essaie de travailler tout ce qui est autour du rugby, du jeu au pied, si des mecs sont demandeurs. On partage tout. S’il y a des exercices de défense, je participe aussi. On établit le travail sur plein de choses pour impliquer tout le monde autour du projet. Nous essayons d’amener de la clarté: pour cela, il faut y croire et il faut s’engager derrière. »

Publicité

13 Commentaires

  1. Airct 4 février 2022 à 16h- Répondre

    Bonsoir. L’engouement il y a longtemps qu’il a disparu, vous verrez demain soir l’affluence à Mayol et vous comprendrez. Payer pour s’emmerder non, plus pour moi.

    J'aime 10
    J'aime pas 68
  2. VARiations 4 février 2022 à 16h- Répondre

    airsupporter…

    J'aime 17
    J'aime pas 1
  3. yann 4 février 2022 à 17h- Répondre

    et le classement aussi a changé….

    J'aime 14
    J'aime pas 1
  4. 16ème homme Corrèze 4 février 2022 à 18h- Répondre

    Lui aussi il à changé
    Allez le STADE

    J'aime 4
    J'aime pas 20
    • Pgougne 4 février 2022 à 19h- Répondre

      Vous n’avez pas de blog à Toulouse pour venir commenter ici ?

      J'aime 25
      J'aime pas 5
      • 16ème homme Corrèze 4 février 2022 à 19h- Répondre

        Ça te pause un problème
        Allez le STADE

        J'aime 5
        J'aime pas 31
      • Sng83 4 février 2022 à 20h- Répondre

        C est surtout que certains n ont pas d amis…

        J'aime 10
  5. ttoutou5 4 février 2022 à 19h- Répondre

    le ST s’emmerde en interne, la consanguinité les pousse à s’expatrier vers d’autres horizons, d’autres civilisations pour se rassurer sur leur existence et la reconnaissance de leurs pairs… ils ont besoin de communiquer quitte à brancher pour être sûrs d’avoir un retour… A ignorer donc

    J'aime 25
    J'aime pas 7
    • Ysembe 5 février 2022 à 13h- Répondre

      La consanguinité dans une ville de 500 000 habitants sans compter l’agglo, je ne pense pas que cette remarque soit appropriée.

      • ttoutou5 6 février 2022 à 05h- Répondre

        Il fallait bien sûr être capable de comprendre consanguinité mentale…