L’ancien ouvreur international Français, Frédéric Michalak est arrivé à Toulon la semaine dernière afin de débuter sa nouvelle mission au sein du club Varois.

Il sera en charge du développement des joueurs, aussi bien chez les pros que chez les jeunes.

Lors d’un entretien accordé au Midi Olympique de ce lundi, Frédéric Michalak l’affirme : il savait qu’il allait travailler avec Franck Azéma un jour.

Il l’avait annoncé à sa femme en début d’année. Extrait: 

« Avec Franck on se découvre. J’avais dit à ma femme, au début de l’année, que je travaillerai un jour avec lui. J’en étais persuadé, j’avais ce pressentiment. Je ne pensais pas que ce serait si rapide, ni à Toulon malheureusement pour Patrice. Depuis mardi, on fait véritablement connaissance car à Canal, il était sur le terrain pour commenter les matchs et moi en plateau. On s’est parlé pour la première fois, ce mardi. »

Lorsque le journaliste lui rappelle que le métier d’entraineur possède un côté précaire car tous les techniciens sont sous la menace d’un licenciement en cas de mauvais résultats, Frédéric Michalak rappelle qu’il travaille dans sa passion et c’est déjà beaucoup. Extrait:

« Vous savez, mon papa est maçon et ce n’est pas évident. Il se lève le matin pour aller monter des murs, faire du ciment, par -5 degrés. Ce n’est pas un métier facile non plus. Entraîneur te permet quand même de rester dans ta passion. Tu es dans la relation humaine qui détermine une performance collective. Alors, oui, tu n’as pas le droit de te tromper, de rater le début du championnat mais il y a une dimension humaine importante qui m’attire. »