Gabiriele Lovobalavu revient sur son expérience au sein du Rugby Club Toulonnais
Gabiriele Lovobalavu revient sur son expérience au sein du Rugby Club Toulonnais
Le jeudi 22 septembre 2016 à 17:07 par David Demri
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Lors d’un entretien accordé au quotidien sportif L’équipe, le trois-quarts centre de l’Aviron Bayonnais, Gabiriele Lovobalavu est revenu sur son passage au sein du Rugby Club Toulonnais, en 2008.
Ce-dernier avoue que ses débuts à Toulon ont vraiment été compliqués à cause notamment de la barrière de la langue. Extrait:
« Je suis arrivé en 2008 à Toulon ; en Pro D 2 mais dans un grand club. J’avais vingt-deux ans. Au début, plusieurs fois j’ai regretté d’être venu. La barrière de la langue était difficile mais bon, il y avait pas mal d’étrangers à Toulon. C’était surtout beaucoup de changements d’un seul coup. Par exemple, je ne savais pas quoi manger. J’allais au supermarché mais je ne savais pas quoi acheter parce que je ne reconnaissais pas les produits et ne savais pas lire les étiquettes. C’était pas présenté comme chez nous. Je ne mangeais que des œufs et des nouilles. Je reconnaissais aussi le poulet. C’était la seule viande que je mangeais. »
Pour autant, Gabiriele Lovobalavu ne regrette rien. Il a notamment rencontré sa femme à Toulon. Extrait:
« C’était mon rêve. J’avais été choisi, j’avais eu cette chance. Beaucoup de joueurs fidjiens auraient voulu être à ma place. Je me rappelle qu’au début, à Toulon, je dormais énormément. Après l’entraînement du matin, je pouvais faire des siestes de trois à quatre heures l’après-midi. C’est pas facile la solitude quand tu as toujours vécu en communauté. J’étais tout seul dans un appartement, je ne comprenais rien à ce que disait la télé (rire). Ici, en France, ça bouge vite. Tout est carré. Aux Fidji, on est plus cool, plus tranquilles. Heureusement, à Toulon j’ai rencontré ma femme qui m’a beaucoup aidé. Je me dis que ça doit être compliqué pour ceux qui, aujourd’hui, ont dix-sept ans quand ils débarquent. »
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Respire un coup
Il a eu de bon match avec TOULON il était puissant et rapide en bref , un bon joueur
J’aimerai voir certain partir dans un pays à l’autre bout du monde. Je pense que certains repères leur manquerait. Je comprends le ressenti de Gabriele. Je suis fils d’immigré Sarde, mon père est arrivé à Marseille en 1925, dans une société inconnue, sans savoir lire et écrire même l’italien. Tout lui était démesuré.
Cette ligne de 3/4 que nous avions quand meme … Mis a part les 10 pas trop a la hauteur avant wilko, mais les kefu sbw lovobalavu auelua aii pisi jagger wulf avant son premier retour, meme rooney, un 15 d une lenteure mais qu es que ça jouait bien. Et contomi aussi … Putin c etait bon quand meme.
Oui, des 10 pas à la hauteur ? Je me souviens d’une charnière Gregan – Merthens et je ne suis pas sûr que l’on ait eu mieux depuis, en tout cas sur le plan de l’offensive. La balle arrivait vraiment vite aux centres.
Je voulais dire sans les citer Pez et .. La Fauque … Celui qui loupé des 22 face aux perches, et passait de 45 en angle.
tu as tout à fait raison Niedda car il faut savoir que dans un pays étranger les marques ,les embalages sont complètement différents Pour anecdote j’ ai fait l’ armée en Allemagne 1975 , nous avions la télé dans la chambre mais tout était en allemand , a part les film X (ya ya , nicht nicht)vous comprenez le problème, c’ était épouvantable à vivre c’est pourquoi je comprend LOVOBALAVU maintenant il est facile de se moquer de quelqun quand on est jamais sorti de son trou.
C’était quand même assez spectaculaire, les offloads de SBW suivi des déboulés de Lovobalavu avec ses changements d’appuis.
C’est une équipe qui nous a aussi régalé et qu’il ne faut pas oublier.
La close tu veux toujours taper tout le monde lol
non le rouge seulement sur des cons qui me manque de respect en m’ insultant Quand je répond aux blogeurs qui parle de rugby tout se passe trés bien et j’ ai de trés bon contacts avec un bon nombre mais que l’ on vienne me dire que je suis un vieux et que j’ ai raté ma vie , là ja te promet que je suis comme le vésuve voilà l’ ami c’ est tout