Henson, drôle de joker (lequipe.fr)

Henson, drôle de joker (lequipe.fr)

11 mars 2011 - 19:24

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Quand le groupe de Toulon a été communiqué, on a eu beau chercher son nom, Gavin Henson n’était toujours pas présent dans la liste. Il faut dire que le Gallois traîne une blessure au mollet. Un comble pour un joker médical. L’histoire pourrait être drôle si elle n’était ridicule. Arrivé sur la Rade le 2 février, Henson ne s’est toujours pas entraîné avec le RCT, se contentant de tours de terrain et de musculation. Tu parles d’un joker…
Saint-André n’était pas partant pour l’accueillir
Malgré son passé d’enfant terrible, une absence de près de deux ans et une propension à truster les pages people bien plus souvent que les pages sportives, l’arrivée de Gavin Henson avait été favorablement accueillie par les supporters varois, bien plus que par Philippe Saint-André qui voyait en cette recrue « du président » un possible élément perturbateur dans un groupe déjà bien fourni en ego. Il faut dire que quand il se décide à jouer au rugby plitôt que peaufiner sa mèche rebelle, Henson en impose. En 2005, c’est lui qui offre le Grand Chelem au pays de Galles, après une pénalité magistrale. A cette époque, il danse sur le toit du monde et se croit tout permis. 2005… Autant dire une éternité.
La recrue du président
Depuis, la célébrité est passée par là. L’enfant de Bridgend a quitté les quartiers populaires pour les carrés VIP. Sa vie privée a été jetée en pâture aux Tabloïds, notamment la rupture avec la mère de ses enfants. Et le joueur s’est perdu en route. Une grave blessure aux ischio-jambiers l’a tenu éloigné des terrains (mais pas des plateaux de télévision) et lui a fait comprendre à quel point il voulait redevenir un simple joueur de rugby. Voeu pieux mais encore à l’état de projet. Après un bras de fer avec son club des Ospreys, il a réussi à avoir son bon de sortie. Direction les Saracens avec lesquels il a renoué à la compétition le 26 décembre 2010. Une poignée de matches plus tard, il arrivait à Toulon en déclarant que ce n’était pas pour travailler son bronzage. Pour l’instant, on demande à voir.

Gavin Henson est arrivé à Toulon le 2 février en tant que joker médical. Blessé au mollet, il ne s’est toujours pas entraîné avec le groupe toulonnais.

Quand le groupe de Toulon a été communiqué, on a eu beau chercher son nom, Gavin Henson n’était toujours pas présent dans la liste. Il faut dire que le Gallois traîne une blessure au mollet. Un comble pour un joker médical. L’histoire pourrait être drôle si elle n’était ridicule. Arrivé sur la Rade le 2 février, Henson ne s’est toujours pas entraîné avec le RCT, se contentant de tours de terrain et de musculation. Tu parles d’un joker…

Saint-André n’était pas partant pour l’accueillir

Malgré son passé d’enfant terrible, une absence de près de deux ans et une propension à truster les pages people bien plus souvent que les pages sportives, l’arrivée de Gavin Henson avait été favorablement accueillie par les supporters varois, bien plus que par Philippe Saint-André qui voyait en cette recrue « du président » un possible élément perturbateur dans un groupe déjà bien fourni en ego. Il faut dire que quand il se décide à jouer au rugby plitôt que peaufiner sa mèche rebelle, Henson en impose. En 2005, c’est lui qui offre le Grand Chelem au pays de Galles, après une pénalité magistrale. A cette époque, il danse sur le toit du monde et se croit tout permis. 2005… Autant dire une éternité.

La recrue du président

Depuis, la célébrité est passée par là. L’enfant de Bridgend a quitté les quartiers populaires pour les carrés VIP. Sa vie privée a été jetée en pâture aux Tabloïds, notamment la rupture avec la mère de ses enfants. Et le joueur s’est perdu en route. Une grave blessure aux ischio-jambiers l’a tenu éloigné des terrains (mais pas des plateaux de télévision) et lui a fait comprendre à quel point il voulait redevenir un simple joueur de rugby. Voeu pieux mais encore à l’état de projet. Après un bras de fer avec son club des Ospreys, il a réussi à avoir son bon de sortie. Direction les Saracens avec lesquels il a renoué à la compétition le 26 décembre 2010. Une poignée de matches plus tard, il arrivait à Toulon en déclarant que ce n’était pas pour travailler son bronzage. Pour l’instant, on demande à voir.

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  1. 2NIS2CARNOULES 11 mars 2011 at 22h

    IL EST MALADE COMPLéTEMENT MALADE !!!!!!!! comme dit "serge lama"

  2. frazai 12 mars 2011 at 01h

    l'Equipe dit avec brio ce que nous avons tous plus ou moins maladroitement exprimé. En outre elle confirme ce que nous avions suggéré. Henson n'est jusqu'à présent qu'un élément perturbateur dont le staff et PSA le premier n'a rien à foutre. Mourad devrait revoir sa copie. Toulon n'est pas Las Végas. Il ne suffit pas de jouer à l'instinct sur un numéro, serait-il le 10 voire le 12 pour emporter la mise. Et en plus on court le risque de semer la merde dans une équipe dont chaque élément, faute de parvenir à participer à la constitution d'un groupe, tire la couverture à lui. Bonsoir Berthe. Le RCT 2010 2011 n'est pas un grand cru. Il a pourtant les moyens de se taper en quart de finale de la Hcup l'USAP qui nous a démontré ce soir qu'elle n'était plus une grande équipe. L'aviron avec ce brave Fauque dont nous ne voulions plus, aurait pu tout aussi bien l'emporter.

  3. Galinette 12 mars 2011 at 11h

    Dans son article ‘Henson, drôle de joker’ Bertrand LAGACHERIE fait un article à charge, non seulement, ouvertement contre le joueur mais plus sournoisement, contre le président du RCT.

    Il se réfugie pour ce faire derrière son experte connaissance dans le ‘people’ plutôt que d’apprécier la venue du joueur au RCT comme une opportunité saisie par MB.

    Ce journaliste en prêtant à PSA des intentions allégoriques veut étayer son propos.

    S’appuyer sur de telle supputation fait montre d’une honnêteté intellectuelle peu considérable.

    Si ce papier rejoint certes le ressenti de certains, je pense que le pari tenté par le Président valait la peine de l’être, tant la valeur du joueur vaut bien une seconde chance.

    Allez Toulon.

  4. nain 12 mars 2011 at 13h

    Encore un gratte cul qui ecrit un papier de m****

  5. Mimo83 12 mars 2011 at 13h

    Encore un article "donneur de leçon", complétement à charge.

    Le Gallois ne coûte rien au club. S'il renaît de ses cendres et se montre suffisament intelligent pour se fondre dans le collectif, apportant ainsi une vraie valeur ajoutée, on dira tous que MB est un génie. Dans le contraire, Henson rentrera chez lui, carrière terminée… Et certains s'en donneront à coeur joie pour dire que MB est allé trop loin et on critiquera sa politique. Comme d'hab…

    Je me rappelle encore des réactions de certains lors de l'annonce de la signature d'un autre "joueur du président", un certain Jonny… Attention, je n'affirme pas que l'on va forcément assister à une "Wilko bis". Mais laissons sa chance au "produit".

    Encore une fois, le joueur ne coûte rien au club tant qu'il ne joue pas. Son statut de joker médical ? Simplement une astuce pour le faire venir à Toulon. Donc quand je vois qu'un journaliste s'appuie là-dessus, sur ce statut de joker médical, pour se moquer ouvertement de notre club, j'ai du mal à croire que certains accordent du crédit à un tel article.

    Et si effectivement ça ne marche pas, que PSA estime qu'il n'a plus le niveau, ce sera simplement un pari perdu. Et on passera à autre chose…

    Allez tous au stade ou devant la télé pour les expatriés comme moi, pour supporter notre équipe !!! Parce que !!

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