Ils ont kiffé Mayol

Ils ont kiffé Mayol

15 décembre 2011 - 11:14

Publicité

Alors que la mi-saison interviendra la semaine prochaine (13e journée), pas moins de quatre joueurs ont découvert le chaudron de Mayol dans la peau des terribles guerriers qui descendent de la montagne. Et du car. Là, à l’angle de la mer et du Faron, aux frontières de l’air conditionné et de l’air surchauffé.
«Ça fait bizarre, ça crie fort ! Je ne m’attendais pas à ça et puis la traversée de la foule est vachement longue ! Je pensais qu’il n’y avait que cinquante mètres(80 tout au plus, Ndlr),mais c’est génial », jubile Alexis Palisson, finaliste de la dernière Coupe du monde, des étoiles sur le bras et dans les yeux.
« Tant que tu ne l’as pas vécu, tu ne peux pas comprendre »
« C’est énormément d’émotion. Je n’oublierai jamais ce moment et cette première à Mayol ! », avance Leonardo Senatore, l’amateur argentin devenu joker plein aux as. De cœur.
« C’est très impressionnant !abonde Matt Giteau avec un sourire merveilleux. Mes coéquipiers m’en avaient parlé, mais tant que tu ne l’as pas vécu, tu ne peux pas vraiment comprendre ce que c’est. Quand tu descends du car, tu réalises à ce moment-là l’importance de bien jouer et de gagner. » L’Australien aux 92 sélections a tenu parole.
Dans cette belle soirée, un quatrième homme découvrait, lui aussi, Mayol. Du haut de ses vingt printemps et d’un « franglais » approximatif, le deuxième ligne géorgien Konstantin Mikautadze digérait sa première en Top 14 et son premier essai : « J’ai ressenti du stress avant d’entrer en jeu, mais après deux à trois minutes, plus de stress. En Top 14, les contacts sont plus durs, mais le Challenge européen m’a permis de progresser. »
L’accueil des supporters, l’ambiance, les chants… Nos quatre bleus évoquent tour à tour le décorum toulonnais. : « La ferveur qu’il y a autour du club est exceptionnelle, résume Palisson.Le pilou-pilou, la pluie de journaux…, c’est top. Dans les moments difficiles, le public porte énormément son équipe ».
La semaine prochaine face à Lyon, ce devrait être au tour de Simon Shaw de tremper dans le bain bouillonnant de Mayol. Il n’en restera alors plus qu’un. Un certain Bakkies Botha. On en frémit par avance…

Alors que la mi-saison interviendra la semaine prochaine (13e journée), pas moins de quatre joueurs ont découvert le chaudron de Mayol dans la peau des terribles guerriers qui descendent de la montagne. Et du car. Là, à l’angle de la mer et du Faron, aux frontières de l’air conditionné et de l’air surchauffé.

«Ça fait bizarre, ça crie fort ! Je ne m’attendais pas à ça et puis la traversée de la foule est vachement longue ! Je pensais qu’il n’y avait que cinquante mètres(80 tout au plus, Ndlr),mais c’est génial », jubile Alexis Palisson, finaliste de la dernière Coupe du monde, des étoiles sur le bras et dans les yeux.

« Tant que tu ne l’as pas vécu, tu ne peux pas comprendre »

« C’est énormément d’émotion. Je n’oublierai jamais ce moment et cette première à Mayol ! », avance Leonardo Senatore, l’amateur argentin devenu joker plein aux as. De cœur.

« C’est très impressionnant !abonde Matt Giteau avec un sourire merveilleux. Mes coéquipiers m’en avaient parlé, mais tant que tu ne l’as pas vécu, tu ne peux pas vraiment comprendre ce que c’est. Quand tu descends du car, tu réalises à ce moment-là l’importance de bien jouer et de gagner. » L’Australien aux 92 sélections a tenu parole.

Dans cette belle soirée, un quatrième homme découvrait, lui aussi, Mayol. Du haut de ses vingt printemps et d’un « franglais » approximatif, le deuxième ligne géorgien Konstantin Mikautadze digérait sa première en Top 14 et son premier essai : « J’ai ressenti du stress avant d’entrer en jeu, mais après deux à trois minutes, plus de stress. En Top 14, les contacts sont plus durs, mais le Challenge européen m’a permis de progresser. »

L’accueil des supporters, l’ambiance, les chants… Nos quatre bleus évoquent tour à tour le décorum toulonnais. : « La ferveur qu’il y a autour du club est exceptionnelle, résume Palisson.Le pilou-pilou, la pluie de journaux…, c’est top. Dans les moments difficiles, le public porte énormément son équipe ».

La semaine prochaine face à Lyon, ce devrait être au tour de Simon Shaw de tremper dans le bain bouillonnant de Mayol. Il n’en restera alors plus qu’un. Un certain Bakkies Botha. On en frémit par avance…

Source: varmatin.com

Publicité

  1. Georges 15 décembre 2011 at 12h

    😀 😀 …A notre tour on kiffe leurs émotions avant qu'ils nous restituent par leurs actes sur le pré….notre quête du Graal !!!…"les mots manquent aux émotions"…Hugo… 😀

  2. Fadoli63 15 décembre 2011 at 12h

    Je suis depuis 50 ans supporteur du RCT

    Cela fait 20 ans que je suis expatrié à Clermont

    Ben j'ai le regret de vous dire qu'au Michelin

    l'ambiance est nettement supérieure Collins et récemment le capitaine de Leicester en ont été étourdis

    Tambour chants de la première à la dernière minute maillots jaune et bleu tiffo Impressionnant

  3. brunod'ollioule 15 décembre 2011 at 12h

    pourvu qu'il ne se pète pas le perronet !!

  4. fafane40 15 décembre 2011 at 13h

    OH QUE OUI, ON EN FREMIT !!!!!!!!!

  5. fafane40 15 décembre 2011 at 13h

    @ Bruno,

    c'est pour le péronnet des adversaires dont il faut s'inquiéter !!!!!!!!!!!!!!!

  6. Bony83 15 décembre 2011 at 13h

    kiffé=adoré

    à l'intention des joueurs qui viennent de débarquer dans la rade, sans dictionnaire!

    PS : Georges, nouvelles entrées dans le dico de l'Académie Française cette année : pompette et pastis ! Il était temps…

  7. Georges 15 décembre 2011 at 14h

    😳 😀 …aucune inquiétude..BONY…..mais n'oublie pas la mousse…on kiffe ces deux mots…surtout après victoires…vont entrer dans notre académie Ercétienne…des mordus s'entend…..tous diplomés de l'Institut…l'I.D.G.B.M….Institut Des Grands Buveurs de Mousses !!!! 😀 😀 😀 😆 😈 :mrgreen:

  8. Khazdhall 15 décembre 2011 at 15h

    botha et shaw, j'en frémis d'avance !

  9. Hellboy 15 décembre 2011 at 15h

    @ Fadoli63 :

    Le problème de Michelin,

    c'est qu'à part les tambours et les trompettes (et il y en a beaucoup là-bas !)

    y'a que dalle.

    Ah, si, des relents de xénophobie et l'arrogance auvergnate

    du haut de leurs 10 finales perdues, et de la 11ème pizza livrée gratos par le corps arbitral revolien,

    le néo-spectateur clermontois a oublié depuis bien longtemps ce qu'était l'AS Montferrandaise.

  10. pers@onne 15 décembre 2011 at 16h

    @ FADOLI63

    tes leçons de morale à 0,50 cts d'euro garde les pour tes pots jaunards, !! si tu en as ?? le samedi soir au comptoir à l'apéro

    :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  11. patrick 15 décembre 2011 at 18h

    Fadoli63 ,reste a michelin si tu croit que c'est supérieur a Mayol ,mais a Toulon on ne dit pas aux supporters adverse que la place de leur équipe est en Pro D 2 ,A bon entendeur .

  12. Fadoli63 16 décembre 2011 at 07h

    D'abord je ne donne pas de leçon de morale

    Je parle d'un exemple à suivre voire à amplifier avec notre "exubérance " qui fait notre merveilleuse particularité

    Ensuite oui j'ai beaucoup de potes auvergnats que je chambre volontiers d'autant qu'ils sont très tolérants

    Oui je vais et je vois l'ambiance de Mayol et persiste et signe: moins de maillots de tiffos de chants tout au long de la partie Par exemple pourquoi ne pas mobiliser les excellents musiciens de la Flotte pour constituer une banda exceptionnelle pour mettre l'ambiance

    Enfin je vous souhaite de faire la decouverted'une bien belle région et d'être au Michelin le 8 Janvier pour voir de vos propres yeux comment les Auvergnats savent recevoir

Comments are closed.