Immense soulagement pour l’Aviron Bayonnais
Immense soulagement pour l’Aviron Bayonnais
Le dimanche 28 décembre 2025 à 11:19 par David Demri
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L’Aviron Bayonnais s’est imposé contre le Stade-Français Paris grâce à un essai inscrit à la dernière seconde de jeu, ce samedi.
Interrogé via Sud-Ouest, le manager de Bayonne, Grégory Patat a exprimé son grand soulagement. Extrait:
« Ça fait beaucoup de bien car sur notre rugby, on est en difficulté. On a du mal à être régulier dans la performance. Il fallait du contenu aujourd’hui pour aller chercher la victoire. On a respecté le maillot avec beaucoup de fierté et de caractère. »
Le soulagement est le même pour le troisième ligne Baptiste Heguy. Extrait:
« C’était dans nos esprits de rester vainqueur à domicile, de tout faire jusqu’à la fin pour sauver l’honneur. Même à cinq minutes du terme et en étant menés de six points, on s’est dit que ce n’était pas fini. On a remonté le ballon. À la maison, on doit être intraitables. Il y a eu ce petit supplément d’âme, ce petit côté « chance » à la maison. Et c’est passé. Et on est allés chercher la victoire au plus profond de nos tripes. »
Le deuxième ligne Ewan Johnson savoure également cette victoire arraché sur le fil. Extrait:
« Les fins de match comme ça, je pense que c’est agréable à regarder pour le public mais en tant que joueur, ce n’est pas très agréable. Ça montre qu’on a un groupe très soudé, qui se bat vraiment jusqu’à la fin… mais aussi qu’il faut qu’on tue les matchs beaucoup plus tôt. Revenir dans ces conditions, à quatorze, c’est sûr que ça fait plaisir. Et gagner de cette manière, c’est super. C’est ma première année ici, et des fins de match comme ça, dans cette ambiance, ça marque. On a tous envie de gagner, mais surtout, on n’a pas envie de perdre devant notre public. »
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Les 10 dernières minutes ont été d’un très bon niveau de rugby, chaque équipe à son tour
Match magnifique.
Je me demande comment on peut se chamailler à Bayonne quand on a une équipe comme celle là.
Il suffit de voir comment Tayeb s’est énervé tout seul sur la touche en se fracassant le bras sur le mur pour komprendre qu’il est totalement cinglé ce zigue et dans la toute puissance. Pauvre Patat.
Ha bon ? J’ai manqué ça.
C’était en deuxième mi temps. Les bayonnais venaient de perdre le ballon dans le camp parisien. Il n’y avait pas de quoi se taper un délire. Je pense que canal va remontrer ça ce soir. Un vrai furieux dingo.