Jacques Delmas: « Le mois de novembre ne m’a pas souvent été favorable »
Jacques Delmas: « Le mois de novembre ne m’a pas souvent été favorable »
28 octobre 2016 - 17:33
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Le co-entraîneur des avants du Rugby Club Toulonnais, Jacques Delmas s’est confié dans les colonnes du quotidien L’équipe pour évoquer la mise à pied de Diego Dominguez.
Dans un premier temps, le spécialiste de la touche Varoise affirme être conscient que dans le monde professionnel, les présidents sont amenés à prendre des décisions si les résultats ne sont pas au rendez-vous. Extrait:
« Quand tu ne parviens pas à atteindre les objectifs qu’ils ont fixés, tu ressens la pression. A Toulon, elle est forte, mais ce n’est pas propre à ce club. Quand tu es dans la difficulté, les présidents n’attendent pas le mois de mars ou d’avril pour changer quelque chose. Ils savent que ce sera trop tard. Vous savez, depuis que j’exerce ce métier, j’ai constaté que le mois de novembre ne m’était pas propice… Au sein d’un staff technique, on se doit fidélité et loyauté. Mais il y a des cycles. Il ne faut pas faire l’année de trop. On croit qu’on maîtrise son sujet et une lassitude se crée. C’est insidieux. On est dans le monde professionnel de l’entreprise. Il y a des enjeux économiques. Le patron coupe des têtes. Et ce phénomène va s’accentuer. »
Jacques Delmas revient ensuite sur sa situation personnelle à Toulon. Il précise également que Mourad Boudjellal ne s’attendait pas au si fort caractère de Diego Dominguez. Extrait:
« On m’a enlevé la mêlée, puis la défense. Désormais, je partage le jeu d’avants avec Marc Dal Maso et je m’occupe de la touche… A Toulon, Bernard Laporte a tout gagné et marché sur l’eau mais il n’a jamais été dans l’affrontement avec Mourad. Il sait être persuasif et c’est son charme. Diego a pris sa succession sans jamais avoir occupé ce poste. Là, il faut être couillu. Diego, c’est un mec entier, qui croit en son étoile et s’est jeté dans la bataille. On a été derrière lui. Mais après, dans sa relation d’homme avec Mourad, ça a clashé. C’est un divorce. Mourad ne pensait pas que Diego avait un caractère aussi fort, qu’il pouvait lui tenir tête. »
Pour conclure, Jacques Delmas laisser présager un départ du RCT lors du mois de novembre. Extrait:
« Mike Ford, je ne le connais pas. Je ne peux pas me permettre de porter de jugement. Je pense que je peux fonctionner avec lui. Mais je vous le répète, le mois de novembre ne m’a pas souvent été favorable… »
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quand il est arrive la majorite lui a taille un costard
force est de constater que dans l ensemble il s implique enormement et a l aval des joueurs.en un mot tres bon entraineur qui malheureusement est oblige d avaler des couleuvres suite aux decisions de mourad
En tout cas ce qu’il a fait, qu’on soit d’accord ou pas avec lui on pourra pas lui enlever !!
Manque de recul à l’embauche et même manque de recul pour le virer .
Pauvre Diego !!!!
C’est vrai finalement , que pourrait on effectivement pour finir reprocher à JACQUES , sinon vraiment pas GRAND CHOSE . A part qu’il aura participer , et ce avec beaucoup d’engouement et de passion venant de lui , à la réalisation des tout de même quatre derniers gros trophée de ce CLUB . 3 fois Champion d’Europe , 1 fois Champion de France , joli palmarès , BRAVO Mr Jacques Delmas !.. . Et comme il le relate entre autre très très bien ci dessus , et à , je le comprends très fortement aussi , * Ne pas faire l’année de trop !.. * Et OUI !.. tellement vrai en plus . Et je pense que celle ci pour moi perso , il l’a déjà entamé notre JACQUES . Et ce malheureusement pour lui . Pour finir , il est entrain me semble t il de nous fournir actuellement tout simplement ses premiers regrets en voulant souhaiter rapidement de sa part , un éventuel et rapide départ . Si celui ci venait à se réaliser , alors moi je veux de suite lui offrir toute ma plus profonde reconnaissance , pour absolument tout ce qu’il aura effectuer tout au long de sa présence au RCT durant toutes ces dernières années . JE LUI DIS UN GRAND MERCI , JACQUES !!.. MERCI COACH !!..
☺⚫
Nous devons bp aussi à ce Mr, que sommes nous à côté de lui question rugby à lui reprcher et à lui apprendre. Depuis le début de ce championnat il n’y a que lui pour hurler au bord de la touche, car Dal Maso est presque muet à cause de sa maladie. Ce n’est pas malin de le mettre au placard il a tant à nous apporter notamment encore un trophée.