L’ouvreur du Rugby Club Toulonnais, Jonathan Wisniewski a fait son retour à la compétition ce samedi après-midi au Stade Mayol.

En effet, le futur joueur du LOU a profité de la blessure de François Trinh-Duc pour refouler les pelouses du Top 14. Ce-dernier est entré en jeu à la 66ème minute afin de remplacer Anthony Belleau.

Interrogé dans les colonnes du quotidien Var-matin, Jonathan Wisniewski a expliqué être très heureux d’avoir pu participer à la fête. Extrait:

« On est content. Cette victoire fait du bien. On marque trois essais sur la fin, c’est bon pour la tête… Il y avait beaucoup d’envie. La fin de saison arrive avec des matches excitants, on a envie de croquer tout ce qu’on peut. J’étais vraiment content de rentrer… J’espère le maximum et une victoire au dernier surtout, ce serait le top. Celui-là nous fait du bien parce qu’il donne de l’allant, de la confiance. Il permet de garder la dynamique qu’on a depuis quelques semaines et puis, c’est bien parce qu’on va peut-être retrouver les Castrais plus tard et qu’on a un peu marqué notre territoire. »

S’il est conscient que tout n’a pas été parfait lors de cette rencontre, il ne souhaite pas non plus faire la fine bouche. Il savoure. Extrait:

« Il y a eu un peu de flottement à certains moments, c’est vrai. Mais on n’a pris qu’un seul essai, ce qui est positif. Dans un match à 60 points, il peut toujours y avoir un peu de relâchement. Dans l’ensemble, je crois qu’il ne faut pas faire la fine bouche, se satisfaire de ce
match, et vite basculer sur Pau. »

Pour conclure, Jonathan Wisniewski affirme avoir apprécié l’ambiance et la ferveur à Mayol. Il est heureux d’avoir vécu ce grand moment de communion. Extrait:

« Quand les beaux jours arrivent, tous ces grands joueurs ont envie d’y être, de vivre de grandes choses. On a vu l’ambiance aujourd’hui. La haie d’honneur était plus dense, il y avait plus de bruit, d’excitation. Castres venait avec des ambitions aussi. Tout était réuni pour un premier match un peu couperet et c’est bien d’avoir répondu présent. Espérons que c’est de bon augure pour la suite. Je suis venu pour vivre de grands moments. Comme je l’ai dit, le malheur des uns fait le bonheur des autres. Je m’en satisfais, je croque à pleines dents, et tout ce que je peux prendre, je le prendrai… »