La composition probable du Stade-Toulousain pour affronter Toulon

La composition probable du Stade-Toulousain pour affronter Toulon

25 décembre 2015 - 17:40

3 Commentaires

Publicité

toulouseDans son édition de jeudi, le Midi Olympique dévoile la composition probable du Stade-Toulousain qui affrontera le Rugby Club Toulonnais, dimanche soir au Stadium à l’occasion de la 11ème journée du Top 14.

Voici la composition probable du Stade-Toulousain:

15. Médard
14. Clerc
13. Fickou
12. Flood ou Fritz
11. Palisson
10. Doussain
9. Bezy
7. Harinordoquy ou Camara
8. Picamoles
6. Dusautoir (cap.)
5. Maestri
4. Albacete ou Millo-Chluski
3. Johnston ou Muller
2. Marchand
1. Kakovin

Les remplaçants probables:

16. Tolofua
17. Baille
18. Tekori
19. Camara ou Harinordoquy
20. Galan ou Mélé
21. McALister
22. Fritz ou Flood
23. Aldegheri.

Publicité

3 Commentaires

  1. lolo1963 25 décembre 2015 at 21h- Répondre

    Même probable c’est une belle équipe :yes:
    Il faudra à NOS rouge & noir faire une belle performance si on gagne celui la je pense que nous serons BIEN . 😛 .
    battre le Racing chez eux aussi me ferai plaisir encore plus je crois 😮

    GO TOULON

  2. liberty83 26 décembre 2015 at 00h- Répondre

    Article que je trouve intéressant sur le ST dans le Figaro : « Pour la troisième fois en quatre ans, le Stade Toulousain a échoué à se qualifier pour les quarts de finale de la coupe d’Europe. La conséquence d’un lent déclin.

    En 2010, Toulouse se coiffait d’une quatrième couronne européenne. Devenant le club le plus titré dans cette compétition. Deux boucliers de Brennus en 2011 et 2012. Et depuis, plus rien ou presque. Deux demi-finales du Top 14 (2013 et 2015). Et un quart de finale européen sous forme de déroute sur le terrain du Munster en 2014 (47-23). «On ne peut plus dire qu’on est proches des meilleurs», déplorait le capitaine toulousain, Thierry Dusautoir, dimanche après le nouveau revers, cette fois à domicile, face aux Irlandais de l’Ulster. Un constat qui n’est pas nouveau.
    Toulouse dépassé par la concurrence
    Il y a dix ans, les meilleurs joueurs ralliaient le Stade Toulousain, quitte à consentir un effort financier. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Les stars choisissent Toulon ou le Racing, Clermont et même Montpellier. Si venir à Toulouse n’est plus gage de titres, c’est surtout financièrement que le club de la Ville rose ne parvient plus à rivaliser face à la concurrence des riches présidents ou des multinationales aisées. Longtemps vertueux, le modèle économique toulousain ne parvient plus à suivre l’envol des salaires. Depuis trois ans, le budget finit dans le rouge avec près d’1,5 million d’euros de déficit en fin de saison dernière. Les recettes manquantes – moins d’affiches de phases finales, plus de délocalisation au Stadium pendant les travaux, pas de primes liées aux titres – ont fait mal. Un coup d’œil sur le recrutement de l’été dernier suffit à s’en convaincre. Que des seconds couteaux. Le demi de mêlée David Mélé a cumulé 19 minutes de jeu en trois apparitions. Le pilier Gert Müller, en provenance de Bayonne, a fait trois apparitions comme remplaçant. Le centre fidjien, venu du VII, Sei Kunatani, a disputé deux bouts de match. Quant à l’Argentin Tomas Leonardi, arraché à Edimbourg, il n’a pas encore joué. La meilleure recrue ? Le troisième-ligne australien Talalelei Gray, neuf feuilles de match. Aucun grand nom… Plus grave encore, l’exode a débuté. Avec le départ de Louis Picamoles, la saison prochaine, chez les Anglais de Northampton. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, l’entraîneur Ugo Mola tient à souligner le positif. «Son départ nous positionne pour recruter un gros joueur.»
    Un effectif vieillissant
    Ne parvenant plus à recruter, le Stade multiplie les prolongations de contrat. Pour un effectif qui prend de l’âge. Pas moins de 17 joueurs, soit la moitié du groupe, affichent plus de 30 ans sur leur carte d’identité. Problématique. Certes expérimentés, ils pâtissent cependant physiquement des années passées à batailler sur les terrains. Usés, ils ne tiennent plus les cadences imposées et connaissent des passages à vide lors de la saison. Sans parler des blessures. Un constat validé en creux par Ugo Mola dimanche. «Pour rivaliser en Champions Cup, il faudrait être en mesure d’y mettre une intensité énorme. Mais le Top 14 nous demande beaucoup d’énergie.» La relève existe, même si la plus sérieuse révélation, Gaël Fickou, a été formée à… Toulon. Les Espoirs toulousains sont allés en finale de leur championnat la saison dernière. Bonneval, Marchand, Ramos et quelques autres pointent leur nez. Mais, à l’inverse, eux ont besoin de temps pour s’aguerrir. Pour s’imposer.
    Une identité à retrouver
    Ces dernières saisons, sous les ordres de Guy Novès, son équipe avait réduit la voilure en termes de jeu. A la place un gros pack, des centres costauds. Pour un bénéfice douteux. Si, en 2011 et 2012, Toulouse a dominé physiquement, depuis les adversaires en ont fait autant. Résultat, Ugo Mola a annoncé son intention de renouer avec la philosophie passée. Un retour vers le futur qui ne se passe pas sans heurts. Parfois, son équipe joue trop, s’essouffle, au détriment de l’efficacité et du réalisme. L’entraîneur en est le premier conscient. «C’est une année de transition. Il faut passer par cet écueil.» Mais pas question de faire marche arrière. Le salut du Stade passe par un retour au jeu. Avec certes des adaptions, des habitudes à retrouver, mais le cap a été fixé et ne changera pas.
    La Coupe du monde a fait mal
    En début de saison, Toulouse était à la lutte pour la première place du Top 14. Avant que la longue trêve liée au Mondial – un mois sans championnat – ne brise cet élan. «Ça a été compliqué, physiquement, de réamorcer derrière», reconnaît Ugo Mola. Une préparation physique mal ajustée. Et des retours qui n’ont pas apporté la plus-value espérée. Entre des internationaux rincés par la longue préparation à la Coupe du monde et des Bleus la tête dans le seau après leur sévère humiliation en quart de finale par les All Blacks (62-13). «On a récupéré des internationaux impacts mentalement», confirme l’entraîneur en chef. »

    • Dav4RCT 26 décembre 2015 at 14h- Répondre

      Merci 😉

      Évidemment ce n’est pas sur Rugbyrama que l’on peut lire ce genre d’article critique sur le grand ST….

      Comme Clermont ce club est trop « humain » et ne sait pas se séparer de joueur/staf historique qui ne sont plus au niveau nécessaire…