L’anecdote de Trevor Nyakane sur Castrogiovanni : « Je croyais que j’allais le déglinguer ! »

L’anecdote de Trevor Nyakane sur Castrogiovanni : « Je croyais que j’allais le déglinguer ! »

11 janvier 2022 - 10:55

3 Commentaires

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Le pilier international Sud-Africain Trevor Nyakane s’est récemment engagé en faveur du Racing 92.

Le Springbok est d’ailleurs d’ores et déjà arrivé au Plessis-Robinson et pourrait disputer son premier match sous ses nouvelles couleurs dès ce week-end contre les Ospreys, en Champions Cup.

Interrogé via le journal L’équipe, Trevor Nyakane n’a pas manqué de raconter une drôle d’anecdote concernant une bataille acharnée avec Martin Castrogiovanni, lors d’un match contre l’Italie.

Il avoue avoir été impressionné par ce pilier qui lui a donné une véritable leçon lors d’une mêlée fermée.

« Ah, Castro, Castro ! Ma première titularisation avec les Boks, c’était contre l’Italie et contre lui. Je jouais encore à gauche. Ce jour-là, il m’a donné une bonne leçon. Sur la première mêlée, j’ai voulu avancer ma jambe gauche et soudain j’ai vu du bleu partout. Le ciel était bleu ce jour-là (rire). Je me suis retrouvé sur le dos d’Eben Etzebeth qui était mon deuxième-ligne. Ça fait très bizarre.

Ce jour-là, j’ai compris qu’à ce niveau, contre des piliers comme Castro, la mêlée ce n’est pas que de la force brute mais énormément de technique, de subtilité. Je croyais que j’allais le déglinguer. Mais je n’ai pas bougé Castro. Il reste le pilier qui m’a fait passer le plus dur moment. C’était d’autant plus violent que le matin du match, dans les journaux sud-africains, les gros titres disaient : « Est-ce que Pumbaa va défoncer Castro ? » »

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3 Commentaires

  1. BonnusC 11 janvier 2022 à 13h- Répondre

    Lui il voit du bleu et Setiano il voit du vert sur chaque mêlée 🙂

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    • Dudu hyeres 12 janvier 2022 à 08h- Répondre

      Ta raison je me demande comment il a pu être international, incroyable
      Il y a des piliers bien meilleurs qui n’ont jamais eu de sélections

  2. loule 11 janvier 2022 à 13h- Répondre

    Voilà, on peut critiquer tous les joueurs du monde… tant qu’on ne joue pas contre eux

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