La Fédération française de rugby a lancé fin octobre le processus de recrutement pour désigner le ou la prochain(e) sélectionneur(se) du XV de France féminin, après le départ de Gaëlle Mignot et David Ortiz.

Le profil recherché est celui d’un(e) technicien(ne) titulaire du DESJEPS Rugby, fort(e) d’une solide expérience du haut niveau et idéalement familier(ère) du rugby féminin.

La mission s’annonce ambitieuse : replacer les Bleues parmi les meilleures nations mondiales après une saison conclue à la 4ᵉ place du classement mondial, loin derrière l’Angleterre (98 points), le Canada (91,5) et la Nouvelle-Zélande (89,8).

Le poste est proposé sous la forme d’un CDD de deux ans renouvelable, avec une possible prolongation de deux années supplémentaires. Les candidatures étaient ouvertes jusqu’au 3 novembre.

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Une trentaine de candidatures reçues

Selon les informations de Midi Olympique, la FFR aurait reçu près de 30 candidatures.

Les dirigeants de la Fédération auraient également approché Laurent Labit, tout juste nommé manager de l’USAP, pour lui proposer de prendre la tête du projet. Ce dernier a finalement choisi de se consacrer à son nouveau défi à Perpignan.

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Vers un retour à un organigramme plus classique

La FFR souhaiterait revenir à une structure plus traditionnelle, avec un seul sélectionneur épaulé par deux adjoints, qui pourront être proposés par la personne retenue. Ces propositions devront être validées par un comité de cinq experts, déjà chargé de l’étude des candidatures.

La décision finale est attendue d’ici la fin du mois de novembre, au terme d’un processus de sélection décisif pour l’avenir du XV de France féminin.

Affaire à suivre…