Laurent Marti : « On avait peur des Toulonnais »

Laurent Marti : « On avait peur des Toulonnais »

Le lundi 23 juin 2025 à 13:58 par David Demri

6 Commentaires

Publicité

Le président de l’UBB, Laurent Marti s’est confié via Ici Gironde suite à la victoire de son équipe remportée contre Toulon, samedi soir, en demi-finale du Top 14.

Il ne le cache pas : Bordeaux avait très peur de l’équipe Toulonnaise. Extrait:

On a gagné une demi-finale comme l’année dernière mais l’année dernière on sait comment ça s’est conclu. Très heureux parce qu’on avait peur des Toulonnais. C’est vrai qu’on n’a pas trop tremblé en deuxième mi-temps, c’est agréable pour le cœur mais on sait que le plus dur commence.

Il faut reconnaître que cette fois c’est nous qui n’avions pas joué de barrage. Toulon avait dû comme nous l’année dernière batailler jusqu’au bout pour espérer finir dans les deux premiers et peut-être même pour le barrage à domicile. On voit bien que ce Top 14 ne pardonne pas l’accumulation des matches.

Il se projette ensuite sur la finale à venir contre Toulouse. Extrait:

Pour nous c’est toujours pareil. C’est un club qui a un plus gros budget que nous, qui a un autre palmarès que nous, qui a la plus grosse masse salariale du Top 14. On le sait tout ça. C’est un club qui travaille super bien, qui a l’humilité, la combativité. Ce sont des compétiteurs, des champions dans l’âme. Nous on essaie de devenir ça donc on va y aller pour se battre à fond.

Concernant l’éventuel doublé, il réagit. Extrait:

Là maintenant il ne reste plus qu’un match. Donc c’est doublé ou pas doublé. Au moment de Cardiff, ça me semblait encore un petit peu loin. On n’était pas encore certain de finir deuxième donc je n’avais pas envie de parler de ça. Maintenant, on y est. Victoire ou défaite. On vit ou on meurt.

Pour conclure, il se dire fier de son équipe et de son staff. Extrait:

Oui. Et au-delà du fait que l’équipe grandit, ce qui me fait plaisir c’est qu’il y a un staff qui me plaît beaucoup, Yannick est un manageur avec qui je m’entends très bien et je trouve qu’on a ce luxe d’avoir un groupe de joueurs qui au-delà d’être de très bons joueurs sont quand même des mecs supers. Ça rend la victoire encore plus agréable.

Publicité

6 Commentaires

  1. jean pierre 23 juin 2025 at 14h- Répondre

    Les défaites de l’UBB , auraient dû nous permettre de finir deuxième . Malheureusement les défaites contre Toulouse et Vannes ont plombé cette perspective !
    l’UBB a toutes les chances maintenant de faire un doublé , je leur souhaite le meilleur!

    J'aime 21
    J'aime pas 1
  2. Rahan 23 juin 2025 at 15h- Répondre

    On joue les barrages et notre daube de coach au lieu de reposer les cadres contre Bayonne, il les aligne pour rien.
    Resultat une equipe à l’agonie en deuxieme mi-temps. Plus de fraicheur car un match de plus
    Il merite bien son surnom: d’ Iznogoud de Mayol.

    J'aime 8
    J'aime pas 19
    • Ernest Wallon 23 juin 2025 at 18h- Répondre

      Pauvre type, des supporters comme toi n’ont rien à faire au rugby…

      J'aime 7
      J'aime pas 2
    • Guilhem 23 juin 2025 at 19h- Répondre

      Ok on peut être déçu par la défaite mais de là à insulter le coach il y a des limites. Vous voulez que le staff et les joueurs vous respectent en gagnant mais vous n’êtes pas capables d’en montrer une once dans vos commentaires outrageants, injurieux…
      Les vrais supporters soutiennent leur équipe dans les bons et les mauvais jours.

  3. Bougnatix 23 juin 2025 at 19h- Répondre

    Sans insulter Mignoni comme Rahan , et en traduisant ces propos de manière humaine , je pense qu’il a raison . Le match de Bayonne n’a pas permis de maintenir une dynamique , il a plombé physiquement les cadres du RCT … enfin maintenant on le sait , c’est un pari perdu.

    J'aime 6
    J'aime pas 1
  4. Lm83 24 juin 2025 at 16h- Répondre

    Pour être honnête, on a deux équipes au dessus du lot depuis) le début, les voilà en finale. Reste à bosser pour les surpasser l’an prochain, pas de regrets à avoir. Les vrais supporters seront là pour vous. Les autres grincheux, on s’en fout