Le SU Agen le rappelle à la dernière minute alors qu’il ne devait pas être conservé : « Je ne devais pas rester, j’étais passé à autre chose »
Le SU Agen le rappelle à la dernière minute alors qu’il ne devait pas être conservé : « Je ne devais pas rester, j’étais passé à autre chose »
Le mardi 12 août 2025 à 12:12 par David Demri
0 Commentaire
Publicité
L’un des feuilletons marquants de l’intersaison au SU Agen a connu un dénouement inattendu : annoncé sur le départ en mai dernier, Théo Idjellidaine a finalement prolongé l’aventure.
Le 20 mai, après la victoire contre Mont-de-Marsan, le club avait officialisé plusieurs départs, parmi lesquels des cadres comme Vincent Farré, Thibaud Mazzoléni ou Jean-Marcellin Buttin… et le demi de mêlée toulousain.
Trois mois plus tard, sans qu’aucune annonce officielle de prolongation n’ait été faite, Idjellidaine a bien rechaussé les crampons à Armandie :
« Cela n’a pas été compliqué… J’avais gardé la maison, et tout était bon. Sur ce point-là, c’était nickel ! » a-t-il déclaré via La Dépêche.
Le déclic est venu d’un simple coup de fil :
« J’étais en vacances à l’hôtel. J’ai reçu un appel de Mauricio. Il comptait sur moi pour l’année prochaine, donc cela s’est fait assez rapidement. »
Cinq minutes d’échanges ont suffi, l’entraîneur souhaitant qu’il profite aussi de ses congés.
Une situation qui l’a « plus ou moins surpris » : « Je ne devais pas rester, et j’étais passé à autre chose. Mais quand Mauricio m’a appelé, cela a été assez simple de me convaincre. »
Sans rancune envers le club : « Je n’en veux à personne. L’année dernière, j’avais subi des blessures. L’équipe avait enchaîné. On sait toujours que c’est difficile de revenir dans une équipe quand elle est construite. »
Déterminé, il estime réaliser « une bonne présaison » et se fixe un objectif clair : « Jouer au maximum… montrer que je mérite ma place, m’imposer, et pourquoi pas rester au club ou ailleurs si on ouvre la porte. »
En fin de contrat l’été prochain, il espère éviter le traditionnel cadre offert aux partants :
« Le cadre, je l’ai ramené, et il est dans le vestiaire. J’ai écrit un petit mot dessus, et il est toujours là… »
Publicité
0 Commentaire