Les confidences de Mathieu Bastareaud sur la Nouvelle-Zélande et sa jeunesse

Les confidences de Mathieu Bastareaud sur la Nouvelle-Zélande et sa jeunesse

22 juin 2018 - 8:52

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Actuellement en tournée en Nouvelle-Zélande avec le XV de France, le trois-quarts centre du Rugby Club Toulonnais, Mathieu Bastareaud s’est confié via le quotidien sportif L’équipe.

Ce-dernier évoque ce voyage en Nouvelle-Zélande et répond également à des questions un peu plus personnelles. Extrait:

Que regardes-tu en premier dans une photo de toi ?

J’essaie de me resituer dans l’action, à quel moment du match ça s’est passé, dans quel contexte. Mais je n’aime pas trop me voir en photo ou même en vidéo.

Que t’évoquent tes photos de jeunesse ?

Ce sont des souvenirs, ça me fait rire. Ce n’était pas il y a si longtemps et pourtant j’ai l’impression que c’était il y a des années. Le crâne rasé, ça me fait une tête de bébé, donc c’est plutôt marrant.

Peux-tu nous parler du mur de photos que tu as chez toi ?

C’est un mur avec plusieurs sportifs et chanteurs qui me parlent beaucoup. Il y a Bob Marley que j’aime bien. J’aime bien sa musique et j’aimais bien le message qu’il essayait de faire passer. Puis il y a des sportifs un peu rebelles, un peu grandes gueules comme Mohamed Ali ou Eric Cantona que je bade comme pas possible, ou encore Mike Tyson. Après, il y a des monstres comme Mickaël Jordan ou Jonah Lomu, des joueurs qui ont vraiment marqué leur sport de leur empreinte.

Avais-tu des posters dans ta chambre d’enfant ?

J’étais très Jonah Lomu. Je pense que ça a été la première méga-star du rugby. Pour moi, c’était la première personne à qui je me suis identifié et dont je me suis inspiré. Je me souviens que je faisais la même coupe de cheveux que lui quand j’étais jeune, en poussin, je devais avoir 7 ou 8 ans.

La Nouvelle-Zélande, ça représente quoi pour toi ?

Pour m’être beaucoup baladé lors de cette tournée, c’est un mélange de cultures. On le voit à Auckland, il y a beaucoup de mélanges, plus qu’à Wellington. Il y a la culture maorie qui est très présente, il y a les Kiwis, les descendants d’Anglais. Il y a les Samoans, la communauté Samoane, Tongienne, Fidjienne, Japonaise, Indienne. C’est beaucoup de mélange et tout se marie bien en tout cas à Auckland.

Que retiens-tu de ta visite à l’école de Mickael Jones ?

J’ai toujours voulu découvrir cette culture. Le fait d’être dans une école avec des enfants avec des chants traditionnels, les danses, tout cela nous a été expliqué en plus. C’était vraiment sympa. Et on sentait vraiment qu’il y avait de l’amour, même si on venait ici pour jouer les All-Blacks.

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