Les retrouvailles d’Anthony Belleau avec La Rochelle
Les retrouvailles d’Anthony Belleau avec La Rochelle
Le dimanche 25 février 2018 à 11:38 par David Demri
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Dans la courte carrière d’Anthony Belleau, les matchs face à La Rochelle ont à chaque fois ou presque marqué un moment charnière. Souvenez-vous : l’ouvreur avait connu sa première titularisation en Top 14, le 8 octobre 2016, sur la pelouse de Marcel-Deflandre. Un souvenir très contrasté : en difficulté, il avait été remplacé dès la mi-temps.
Sept mois plus tard, la demi-finale de championnat face aux Maritimes l’avait propulsé sous les projecteurs avec ce drop-goal inscrit dans le temps supplémentaire, au Vélodrome.
Cette fois, l’actualité d’Anthony Belleau est marquée par son retour sur les terrains, après sa participation à la troisième mi-temps d’Edimbourg, son éviction du groupe France puis sa suspension par Mourad Boudjellal pour la réception du Stade français.
Le Lot-et-Garonnais débutera la rencontre sur le banc. Mais quand il prendra le relais de Jonathan Wisniewski à l’ouverture, le moindre de ses faits et gestes sera inévitablement scruté, épié, décortiqué.
Source: Midi Olympique
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Bravo au Merdol de démontrer une nouvelle fois le principal problème du rugby français: les medias qui cherchent à détruire les jeunes.
Un an d’expérience, on fait tout un plat sur lui, on le défonce sous prétexte qu’il rate une pénalité, ce qui n’aide ni à la confiance, ni à la sérénité. Ce qui est peut-être ce qui a poussé certains joueurs à sortir pour évacuer la pression et l’acharnement des medias. Et on l’attend au tournant, flingue chargé, pour l’achever à la moindre ouverture. Parfait pour le développement d’un joueur.
A mon avis ce n’est pas une generation qui lit le midol. Un mauvais commentaire sur truiteur a plus d’impact.
Salut les varois !
Dommage de voir tout cet acharnement sur le minot… Surtout que nous (les français et surtout les journalistes) sommes les premiers à dire qu’il n’y a pas assez de talent au poste de demi d’ouverture et quand un jeunot perce on le flingue à la première occasion au lieu de l’encourager à mieux faire…
Vive le « merdol » comme a dit Marc.
Il a fait taire tout le monde.
La seule réponse valable à ce torchon !