Louis Bielle-Biarrey tire la sonnette d’alarme avant de défier l’USAP

Louis Bielle-Biarrey tire la sonnette d’alarme avant de défier l’USAP

Le samedi 18 octobre 2025 à 11:15 par David Demri

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Ce samedi, Bordeaux-Bègles défie Perpignan au Stade Aimé-Giral, à l’occasion de la 7ème journée du Top 14.

A l’approche de cette rencontre, l’ailier Bordelais Louis Bielle-Biarrey s’est confié via Midi Olympique.

Dans un premier temps, il rappelle que l’UBB a pris une fessée à Toulouse, le week-end dernier. Extrait:

Le maître mot de cette semaine, c’était qu’à Toulouse, on a pris une petite fessée on va dire, et que si ce n’était pas la fin du monde, mais par contre, il faudrait rebondir. Notamment en termes d’attitude, de comportement, d’état d’esprit. Pour ça, Perpignan, c’est le match parfait.

Il l’affirme : l’UBB doit absolument se réveiller ce samedi. Extrait:

On a vu qu’on a fait trois déplacements, on a pris deux fois 40 points, une fois près d 60. Donc voilà, à un moment, il faudra qu’on se réveille, il faudra qu’on fasse des meilleures performances. Il n’y a pas de raison qu’on soit meilleurs à chaque banque qu’à l’extérieur. L’année dernière, on avait réussi à le faire. Donc non, c’est juste nous, préparer peut-être les matchs avec plus de sérieux, être plus concentrés et faire ce qu’on a dit durant la semaine, ce qu’on n’arrive pas à faire quand on joue à l’extérieur.

Il confirme que, pour le moment, l’UBB n’est pas à sa place. Extrait:

Après six journées, on est dixième ou je ne sais plus combien de championnats, donc évidemment qu’on n’est pas là où on voudrait. Après, on n’est qu’à la J6, donc il n’y a pas non plus le feu au lac, mais à un moment, il va falloir marquer des points. On sait que si on laisse trop le wagon partir, ça va être très très dur de pouvoir recoller. Donc, il n’y a pas d’urgence en soi. Ce n’est pas la fin de la saison si on perd ce week-end, mais par contre, on veut vraiment gagner.

Il sait très bien que l’USAP est dans l’urgence également. Extrait:

Perpignan a vraiment besoin de gagner contre nous samedi. Donc on sait que ça va être dur. Dès qu’on joue à Perpignan, on sait que c’est dur. On sait que si on n’est pas présent en défense et surtout dans le combat, ça peut être très long. Donc nous, on s’est préparé là-dessus. Après, ce qu’on fait les autres auparavant, ce n’est pas un problème.

Il précise n’avoir jamais gagné à Aimé-Giral. Extrait:

Eh bien, oui, c’est particulier. Moi, je crois que je n’ai jamais gagné là-bas. C’est que surtout, quand ils le décident, ils ont beaucoup de caractère. Ils ont un bel état d’esprit. C’est quand même une équipe avec des gros porteurs de balle qui jouent bien au rugby. Donc, quand ils sont en forme et dans un grand jour, ils sont vraiment difficiles à manœuvrer. (NDLR : l’an passé, Louis Bielle-Biarrey était avec l’équipe de France quand l’UBB s’était imposée à Aimé-Giral 29-17, il a perdu les deux autres matchs qu’il a joués en Catalogne en 22-23 et en 23-24).

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