L’ouvreur du Rugby Club Toulonnais, Louis Carbonel s’est confié en conférence de presse ce jeudi après-midi pour évoquer la finale de Challenge Cup à venir contre Bristol, ce vendredi soir à Aix-en-Provence.

Ce-dernier indique être extrêmement heureux de pouvoir disputer sa première finale avec le XV de la Rade.

Il rappelle avoir vu toutes les précédentes finales devant sa télévision. Extrait:

« C’est sûr que pour les dernières finales du RCT, j’étais devant ma télé. J’ai donc à cœur que cette finale se passe bien car généralement, ces-dernières années, elles se sont bien passées. On espère faire les mêmes. Quand j’étais derrière la télé, j’étais super heureux et je prenais beaucoup de plaisir à les regarder. J’espère que l’on va faire pareil pour ceux qui vont la regarder. »

Il espère que tous les joueurs seront très concentrés durant cette rencontre pour réaliser une grosse prestation. Extrait:

« Il faudra garder la même concentration qu’en quart et en demie. Il faudra même être concentré encore plus car c’est encore plus important que les matches précédents. Ce sera donc au niveau de la concentration qu’il faudra essayer d’être le plus parfait possible. »

Selon lui, la deuxième mi-temps contre le Stade-Toulousain a été bénéfique au RCT. Extrait:

« Ce qui est fondateur, c’est la deuxième mi-temps contre Toulouse où on a vu qu’en imposant du jeu, on pouvait mettre à mal toutes les équipes et les meilleures équipes d’Europe comme Toulouse. »

Questionné sur les conditions climatiques, Louis Carbonel est conscient que le vent devrait souffler à Aix-en-Provence ce vendredi soir. Extrait:

« On ne s’est pas encore penché sur les conditions climatiques mais s’il y a beaucoup de vent, il y aura forcément une mi-temps où on aura le vent contre. Donc oui, ce vent va favoriser le jeu. Mais en Coupe d’Europe, c’est souvent le jeu qui est favorisé et on s’y est préparé. On va essayer de garder le ballon pour imposer notre jeu. »

Désormais, Louis Carbonel n’a qu’une envie : que le coup d’envoi du match soit donné car l’attente est longue. Extrait:

« C’est un peu long dans la tête. Du lundi au vendredi, tu ne penses qu’à ce match. Mais depuis que l’on est réunis, on essaie de faire des choses ensembles pour s’occuper. On compte chaque jour tout de même. »

Pour conclure, l’ouvreur Varois explique que le RCT possède une arme redoutable : la polyvalence de ses joueurs. Extrait:

« C’est toujours réconfortant de pouvoir alterner et de ne pas toujours être dans le même registre. Là, tu peux essayer de varier dans le jeu, en laissant l’adversaire sur certaines pistes et partir ailleurs. »