Interrogé en conférence de presse ce mardi matin, le nouvel entraîneur de la mêlée du Rugby Club Toulonnais, Marc Dal Maso a évoqué son arrivée au sein du RCT.

Pour débuter, il affirme avoir des objectifs assez élevés cette saison avec Toulon. Extrait:

« Je suis dans l’état d’esprit d’un entraîneur qui arrive avec des objectifs qui sont assez élevés. Donc on va essayer d’être le plus précis et travailler en staff pour que ça fonctionne du mieux possible. On se connaît avec le staff mais on n’a jamais travaillé ensemble donc on va essayer de fonctionner le plus simplement possible. Il faut d’abord définir les postes bien précis par rapport aux entraîneurs qu’il y a, sachant que moi, je suis entraîneur de la mêlée. Donc je vais m’occuper obligatoirement de la mêlée. »

Le technicien des avants rappelle que ce sera à Diego Dominguez de déterminer les rôles de chacun au sein du staff. Il ne cache pas que des tensions ont existé, mais celles-ci doivent désormais s’estomper pour le bien du club. Extrait:

« Après, c’est à Diego de définir chaque rôle dans le staff. On a encore une semaine de stabilisation pour voir comment ça fonctionne jusqu’à samedi. Après, progressivement, on va vraiment trouver nos marques et on va arriver à fonctionner très bien, moi avec Jacques, puis avec Diego, il n’y aura pas de problème, je pense. Si on fonctionne correctement au niveau du staff, je pense qu’il y a des choses à faire pour que ça fonctionne très bien cette année. J’espère qu’on sera assez intelligent pour que ça fonctionne bien. C’est sûr qu’il y a eu des tensions, mais il faut qu’elles s’estompent et il faut avancer pour que le RCT avance correctement dans ce championnat difficile. »

Pour conclure, Marc Dal Maso affirme qu’il ne voit aucun inconvénient sur le fait de travailler aux côtés de Jacques Delmas et de Diego Dominguez. Extrait:

« Je pense que la presse a souhaité qu’il y ait des vagues. Travailler avec Jacques Delmas ne me dérange pas et travailler avec Diego non plus. J’ai fonctionné en staff un peu plus complexe avec les Japonais puisqu’il y avait des Gallois, des Anglais, des Japonais et des Français. C’était déjà compliqué. Ici, on pense que ça peut-être compliqué, mais je pense que ça ne le sera pas en définitif. »