Matthew Clarkin : « Si on peut éviter une guerre frontale contre Toulon… »
Matthew Clarkin : « Si on peut éviter une guerre frontale contre Toulon… »
Le vendredi 4 mars 2022 à 11:41 par David Demri
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L’entraineur du Biarritz Olympique, Matthew Clarkin s’est confié dans les colonnes du Midi Olympique pour évoquer le match à venir contre le Rugby Club Toulonnais, programmé samedi après-midi à Aguiléra.
Ce-dernier l’affirme : l’effectif Toulonnais est plus dense que celui du BO.
Matthew Clarkin explique clairement que ses joueurs devront éviter une guerre frontale contre Toulon et auront tout intérêt à envoyer du jeu. Extrait:
« De notre côté, nous savions que, pour exister et gagner des matches, il allait falloir envoyer du jeu. Comme la plupart des équipes dans ce championnat, les Toulonnais sont beaucoup plus denses que nous. Si on peut éviter une guerre frontale on va le faire. En utilisant du jeu au pied ou à la main, nous allons essayer de mettre un peu de vitesse et de volume, tout en gardant notre rigueur dans les rucks. »
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si on pouvait arrêter de galvauder le mot guerre. On voit un peu mieux ces derniers jours ce que ce mot signifie. Le sport n’a rien à voir avec la guerre. Le sport c’est la fraternité, le dépassement de soi.
alors Monsieur enlevez le mot guerre et dites plutôt un fort engagement physique…
merci pour ceux qui souffre
Oui, entièrement d’accord….
Ce n’est qu’un sport le rugby.
ITER à raison la guerre c’est un sale mot qui rend des personnes malheureuses, les privant de vivre dans la sérénité, l’amour et la joie.
Être sur un stade de sport c’est retrouver le plaisir de jouer suivant des règles bien précises pour évacuer ce trop plein d’énergie de la semaine, tout en ayant la fierté de représenter les couleurs d’un club, d’une ville ou d’une région.