Le président Toulonnais Mourad Boudjellal a évoqué la victoire de ses joueurs contre le Stade-Français, dimanche après-midi à l’Allianz Riviera de Nice.

Le patron du RCT regrette que son équipe n’ait pas réussie à tuer le match plus tôt. Il estime que tout se joue toujours dans les cinq dernières minutes depuis plusieurs matches. Extrait:

« Nous, on a des situations de surnombre en première période, on en a eu plusieurs et on ne va pas à dame non plus. A la mi-temps ça aurait pu faire beaucoup plus cher que cinq points d’écart. On aurait dû tuer le match, mais on n’a pas réussi à le faire. Mais j’ai regardé le match jusqu’à la fin. J’ai eu envie de partir, notamment sur l’essai de Paris. En janvier, on n’a pas eu un match facile, c’est terrible. Les plus jeunes ne connaissent pas mais c’est l’inspecteur Bourrel, c’est « Les cinq dernières minutes », c’est un enfer. Il faudrait presque que l’on joue que les cinq dernières minutes car c’est là que tout se passe. »

Pour autant, il avoue être très satisfait des résultats du mois de janvier avec cinq victoires en cinq matches. Il espère que Bernard Laporte quittera le RCT avec au moins un titre. Extrait:

« Mais je rappelle qu’on est quand même invaincu sur le mois de janvier avec cinq matches et on n’a pas joué des trompettes. On a joué de gros matches. Neuf victoires en dix matches avec une seule défaite à Toulouse. Dans l’état actuel des choses, ce n’est pas mal. Donc on est toujours debout et toujours vivant. On a maintenant cinq mois pour essayer d’avoir un beau gâteau pour le départ de Bernard Laporte. Un beau gâteau avec une ou deux bougies, on verra bien. »