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Réponse en décembre pour Wilkinson

Réponse en décembre pour Wilkinson

Le lundi 29 octobre 2012 à 10:19 par David Demri

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En fin de contrat à l’issue de la saison, Jonny Wilkinson hésite encore à poursuivre ou non sa carrière. Comme le rappelle ce lundi le Midi Olympique, l’ouvreur Anglais doit donner sa réponse aux dirigeants Toulonnais à la mi-décembre au plus tard.

Si Wilkinson décide de continuer son aventure sur la Rade, Mourad Boudjellal lui renouvellera immédiatement son contrat.

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  1. un vrai supporter 29 octobre 2012 at 11h

    Il avait dit que si il jouer,et que l équipe avais confiance en lui il rester donc il joue

  2. Khromm 29 octobre 2012 at 11h

    Le problème n'est pas le niveau de Jonny (on le connaît tous ) mais cet homme est tellement exigeant avec lui même que si il sent que son acharnement au travail ne suffira plus il préfèrera arrêter ….

    C'est aussi ça qui en fait un grand monsieur !!

    Et puis qui sait peut être Sir Jonny dans le staff toulonnais voire dans celui du centre de formation pour parachever son œuvre ?

  3. Garrigue83 29 octobre 2012 at 11h

    La question n'est pas celle de la forme physique de Jonny c'est pas encore un grand père il pète le feu !!

    La question est : gagnerons-nous un titre ou pas cette saison ??

    Si la réponse est oui alors je pense que le départ de Jonny sera inévitable et quel plus beau bal d'honneur pour lui que de soulever le bouclier avant de quitter la Rade (mais pourquoi pas intégrer le staff).

    Moi je pense que Mourad va rajouter cette petite clause au contrat et c'est en juin qu'on sera fixé !

  4. Mangi 29 octobre 2012 at 12h

    L'essentiel c'est qu'il ne parte pas dans un autre club 🙂

  5. Franken_RCT 29 octobre 2012 at 12h

    Je ne le vois pas comme entraîneur, trop perfectionniste

    Ou alors entraîneur des skills, mais dans l'ombre

    Après, être sous les ordres d'un Dieu du rugby, je pense qu'il y a des joueurs qui sacrifieraient beaucoup pour ne serait-ce qu'avoir 10% de son talent

  6. Gilles Technique 29 octobre 2012 at 12h

    Derrière moi samedi au stade, il y avait deux anglais (amis de la fratrie Armitage) qui ont hurlé tout le match des: Toulon, Toulon, Toulon!!!

    Des anglais qui crient Allez Toulon à Mayol, jamais je n'aurais pu l'imaginer!!

    Bref, ces anglais me disaient qu'ils n'avaient jamais vu Jonny aussi serein et envoyer autant de jeu!!

    A la mi-temps ils étaient déçus de le voir sortir, je leur ai dit, rassurez-vous, Jonny ne veut jamais sortir du jeu ou s’assoir sur le banc, ce sont des comportements qui ne sont pas programmés dans ses gènes !!

    Et même eux quand ils l’ont vu revenir ils étaient béats d’admiration !!

    Jonny ne décide rien en fonction des événements extérieurs: titre (de toute façon en décembre c'est impossible à prévoir, appel du pied d'autres clubs etc.

    Jonny décidera en fonction de son "état" ; s'il se sent compétitif il signera, s'il ne pense pas pouvoir apporter quelque chose de plus, il arrêtera de jouer!

    Le problème avec lui, c'est qu'il est extrêmement dur avec lui-même!!

    Ne nous trompons pas, Jonny c’est le Zidane du rugby, regardez ce qu’il a fait contra Bayonne c’est hallucinant de précision et de clairvoyance !!

    Un dix comme lui je n’en ai jamais vu, ni à Mayol ni ailleurs !!

    De note côté nous n'avons plus qu'à lancer un plébiscite pour lui, à la manière d'une pétition, que remettrions au club? Et lui dire que nous l’aimons !

    Qu'en pensez-vous?

  7. chris83 29 octobre 2012 at 13h

    GILLES tu es tellement dans le vrai

    pour moi le club doit lui mettre sur la table un contrat de Joueur / Entraîneur (spécialiste du jeu au pied et de formation de la filière) de 5 ans pour qu'il arrête progressivement

  8. Jeff 29 octobre 2012 at 13h

    Une pétition est une idée mais pourquoi pas un grand tifo à son honneur. Bon ok c'est bien plus dur à réaliser mais ça claquerait n'empêche

  9. Ron 29 octobre 2012 at 13h

    http://www.superrugbynews.fr/wp/2012/10/interview
    Interview Jonny Wilkinson : son avis sur les stars sudistes du RCT

    Publié par Jeremy le 29 octobre 2012 à 12 h 00 min

    Jonny Wilkinson, toujours en quête du geste parfait (Source: Stu Forster/Getty Images Europe)

    C’est une véritable légende vivante du rugby qui nous fait l’honneur, cette semaine, de répondre à nos quelques questions, en la personne de Sir Jonny Wilkinson ! « Sir » car l’ouvreur anglais est chevalier ; il a été anobli par la Reine Elisabeth II en tant qu’officier de l’Ordre de l’Empire britannique.

    Probablement l’un des joueurs les plus connus de la planète, Jonny Wilkinson a quasiment tout gagné au cours de sa brillante carrière : champion du monde en 2003 avec le Quinze de la Rose, quatre fois vainqueur du Tournoi des VI Nations (dont un Grand Chelem en 2003), champion d’Angleterre avec Newcastle (en 1998)… Ne manquent plus à son palmarès qu’un titre de champion de France et un titre de champion d’Europe. C’est ce qu’il s’efforce de faire avec le RC Toulon, un club dont le retour au sommet du rugby français n’est pas étranger à la forme étincelante du demi d’ouverture anglais. A 33 ans, Sir Jonny, féru d’entraînement et avide de perfectionnement, n’a peut-être jamais aussi bon ! (ce n’est certainement pas un hasard si son autobiographie, parue récemment, s’intitule « Mémoires d’un Perfectionniste »).

    Adulé sur la Rade et dans tout le Royaume-Uni, souvent détesté par les publics adverses (souvenez-vous, il n’y a pas si longtemps, lorsque les Anglais de Wilkinson défiaient notre Quinze de France…), Jonny Wilkinson est avant tout un joueur dont le comportement est toujours exemplaire, quelles que soient les circonstances. Le croiser derrière les travées de Mayol est toujours un plaisir – Sir Jonny s’arrête, pose pour des photos, et n’hésite pas à échanger deux ou trois mots délicieux avec ses supporters – en français s’il vous plaît !

    Véritable gentleman, tant sur le terrain qu’en dehors, Wilkinson reste un modèle pour tous les jeunes qui veulent commencer à pratiquer ce sport.

    Pour Super Rugby News, le néo-retraité international et maître à jouer du RCT nous parle avec enthousiasme des endroits de l’hémisphère sud qui l’ont marqué au cours de sa carrière, ainsi que des joueurs étrangers qu’il côtoie au RCT et envers lesquels il éprouve un profond respect.

    La fiche du joueur

    Nom complet : Jonathan Peter Wilkinson

    Date de naissance : 25 mai 1979

    Lieu de naissance : Frimley, Surrey, Angleterre

    Taille : 1,78 m

    Poids : 89 kg

    Position : demi d’ouverture

    Lycée : Lord Wandsworth College

    Club : RC Toulon (depuis 2009), Newcastle (1997-2009)

    Sélections avec l’Angleterre : 91 (1179 points inscrits dont 6 essais)

    Sélections avec les British & Irish Lions : 6 (67 points inscrits)

    L’interview de Jonny

    1 – Avec l’équipe d’Angleterre, vous avez joué dans beaucoup d’endroits différents sur la planète. Quelle ville de l’hémisphère sud préférez-vous, et pourquoi ?

    C’est vrai que j’ai joué dans pas mal d’endroits, mais je dois dire que ma ville préférée reste Sydney, évidemment en raison des souvenirs attachés à la victoire en finale de la Coupe du monde en 2003, mais aussi pour son atmosphère très vivante, très animée, combinée à un côté très relax, très « vacances ». Sans oublier bien sûr la très belle côte et le superbe climat.

    2 – Parmi tous les stades de l’hémisphère sud que vous connaissez, lequel a la meilleure atmosphère ?

    Pretoria, en Afrique du Sud, est un endroit fabuleux pour jouer, et les supporters qui viennent voir les matchs sont sérieusement passionnés. Sinon, le Cake Tin Stadium à Wellington, en Nouvelle-Zélande, est un endroit très difficile où jouer, mais la meilleure ambiance que j’ai connue était probablement celle du Gabba à Brisbane, où nous avions joué le premier Test avec les Lions en 2001.

    3 – Quel sont les matchs les plus durs que vous ayez disputé dans l’hémisphère sud ?

    Les matchs les plus durs que j’ai joués en bas de la planète étaient probablement ceux disputés lors du « Tour of Hell » en 1998 (les Anglais avaient notamment perdu 76-0 en Australie…) et lors de la Tournée des Lions britanniques et irlandais en irlandais en Nouvelle-Zélande en 2005.

    4 – Maintenant, vous jouez à Toulon, entouré d’autres joueurs au talent immense. Récemment, je vous ai entendu dire dans une interview à la radio que l’une de vos motivations, c’est de continuer à apprendre et à progresser. Donc, si vous deviez être plus spécifique, que pourriez-vous apprendre des stars de l’effectif du RCT qui viennent de l’hémisphère sud ? On va commencer par Matt Giteau : qu’est-ce que vous admirez le plus chez lui ?

    Matt Giteau est tout simplement un joueur fantastique, capable de tout faire. Il peut contrôler un match de façon brillante avec ses prises de décision et la précision de son jeu au pied, ou changer le cours d’un match avec un magnifique exploit personnel. Sa défense est l’une des plus solides que j’ai jamais rencontrées. Mais ce que j’admire le plus chez lui, c’est son flair en attaque et sa capacité à aller vraiment très vite.

    5 – Chris Masoe ? Qu’est-ce que vous admirez le plus chez lui ?

    Chris Masoe est un super mec en dehors du terrain, mais par contre, sur le terrain, c’est un vrai guerrier ! Il intimide ses adversaires rien que par sa présence et la férocité qu’il dégage. Sa défense est tout simplement énorme, et son activité pendant un match est quasiment impossible à égaler.

    6 – Joe Van Niekerk ? Qu’est-ce que vous admirez le plus chez lui ?

    Joe est né pour être un leader. Je pensais que personne n’avait autant envie de gagner que moi. A vrai dire, j’ai toujours considéré que c’était impossible, jusqu’à ce que je rencontre Joe. Il possède toutes les qualités requises, mais sa façon d’être en tant que capitaine et en tant que personne font de lui un joueur très, très spécial.

    7 – Juan Fernandez-Lobbe ? Qu’est-ce que vous admirez le plus chez lui ?

    Juan possède tout. Avec lui sur le terrain, je me sens plus à l’aise, tout simplement. Il lit le jeu mieux que toutes les personnes que je connais. Il se retrouve toujours au bon endroit, et sa palette technique et son professionnalisme signifient qu’il pourrait probablement jouer à n’importe quelle position dans une équipe au niveau international.

    8 – Carl Hayman ? Qu’est-ce que vous admirez le plus chez lui ?

    Carl est l’un des joueurs les plus solides qu’on pourrait rencontrer. Son poste (pilier droit) est, j’imagine, l’un des postes les plus difficiles où jouer, mais il le fait incroyablement bien. Le truc impressionnant, c’est qu’ensuite il se déplace et fait un tas d’autres choses que tu n’attendais pas de sa part. C’est souvent lui le meilleur plaqueur du match et l’un de ceux qui ont le plus porté le ballon. Ceci, après avoir tenu la mêlée et fait le boulot sur les touches. En plus de ça, c’est un gars adorable.

    9 – Bakkies Botha ? Qu’est-ce que vous admirez le plus chez lui ?

    Bakkies est un gars dur comme pas possible. Son jeu est un exemple pour tous ceux qui veulent voir comment le rugby doit être joué. Mentalement il est très fort, il n’a peur de rien, et son intégrité est incassable. Son enthousiasme et ses valeurs sont exactement ce que le rugby représente pour moi. Impressionnant.

    10 – Enfin, dernière question. Vous avez déjà été champion du monde, et vous détenez bon nombre de records individuels. Que pourriez-vous obtenir de plus en jouant au rugby ? Et à choisir, que préféreriez-vous entre un titre de H Cup et un Bouclier de Brennus avec le RC Toulon ?

    Je veux simplement continuer à progresser et à aider Toulon. Evidemment, j’aimerais gagner ces titres. C’est la raison pour laquelle nous jouons à ce jeu, mais je sais également que mon travail est un cheminement quotidien pour essayer de faire de mon mieux et de faire ressortir le meilleur des personnes autour de moi. J’aime toujours autant ce que je fais !

  10. Tho83 29 octobre 2012 at 14h

    Gilles Technique a tout dit.

    Faisons un beau chant pour Johnny et un grand tifo.

    Je sais que ce n'est pas dans nos traditions, mais ce monument mérite que l'on sorte de nos habitudes.

    Dans quelques années, nous nous souviendrons avec émotion et nostalgie de tout ce qu'il nous a apporté.

    N'attendons pas pour lui montrer qu'il a déjà une place à part dans l'histoire du club et que le public de Toulon est vraiment unique.

  11. Tho83 29 octobre 2012 at 14h

    A chaque fois qu'il enquille, sur l'air de "Toulonnais allez allez allez" :

    "WE ALL LOVE SIR JONNY WILKINSON!

    JONNY WILKINSON!

    JONNY WILKINSON!

    WE ALL LOVE SIR JONNY WILKINSON!

    JONNY WILKINSON!

    JONNY WILKINSON!"

    Des toulonnais qui chantent en anglais, ça aussi ça sera du jamais vu…

  12. guy 29 octobre 2012 at 16h

    🙁 Puta**, je hais déjà le jour où il quittera le club. Je l'aime tout simplement (c'est grave docteur),et je n'ai pourtant pas viré ma cuti,je le jure.

  13. loch ness 83130 29 octobre 2012 at 17h

    WILKO !! C'EST COMME QUESTION POUR UN CHAMPION A LA TELE : JE RESTE !!!!!!!!

    merci à toi !!!!

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