Santiago Arata raconte sa fracture en plein entraînement : « Le plus con de tous, c’était Ryno Pieterse ! »

Santiago Arata raconte sa fracture en plein entraînement : « Le plus con de tous, c’était Ryno Pieterse ! »

Le mardi 16 septembre 2025 à 7:48 par David Demri

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Connu pour son talent mais aussi pour son tempérament chambreur, Santiago Arata a partagé une anecdote savoureuse lors de son passage dans l’émission Kick-Off Rugby. Le demi de mêlée uruguayen est revenu sur un épisode marquant de sa première saison avec le Castres Olympique… qui lui a coûté une côte fracturée !

Une langue bien pendue

À l’image de nombreux numéros 9, Arata n’a jamais été avare de mots pour taquiner ses coéquipiers, sur le terrain comme en dehors. Mais à ses débuts dans le Tarn, ses blagues incessantes ont fini par agacer certains avants castrais.

Une « vengeance » musclée à l’entraînement

Lors d’un entraînement, les coéquipiers du demi de mêlée auraient décidé de se venger de son humour parfois un peu trop piquant. Dans la bonne humeur générale, les « représailles » ont néanmoins eu des conséquences physiques pour Arata : une côte fracturée.

Un souvenir qui fait sourire

Aujourd’hui, l’international uruguayen en rigole volontiers.

Une anecdote que Santiago Arata raconte désormais avec le sourire :

« C’était ma première saison à Castres, en 2020 / 2021. Je ne me souviens plus mais Mathieu Babillot me disait toujours que je commençais à faire des blagues et à casser les bonbons à droite à gauche. Et quand on sort pour faire l’échauffement individuel, les avants s’étaient organisés pour me prendre par surprise. Ils essayaient de me taper. On parle de Wilfrid Hounkpatin, Babillot, Staniforth et le dernier, le plus con de tous, c’était Ryno Pieterse.

Il est venu et il a voulu me retourner et il est tombé sur moi. Tout de suite j’ai su que j’avais quelque chose de cassé. Je ne pouvais plus respirer. L’entraînement a été suspendu et je suis parti aux urgences avec Babillot. Après j’ai reçu des messages de la part de mecs qui m’ont félicité car l’entraînement avait été annulé. Je ne vais pas dire les noms. Donc ça n’a pas été que du malheur, il y a eu du bonheur aussi à la fin de l’entraînement. Et celui-là, c’est Levan Chilachava ! (rire). »

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