Stuart Lancaster insiste et ne digère pas : « Moi j’étais debout à cinq heures du matin »

Stuart Lancaster insiste et ne digère pas : « Moi j’étais debout à cinq heures du matin »

Le lundi 4 août 2025 à 14:33 par David Demri

5 Commentaires

Publicité


Quelques mois après son départ du Racing 92, Stuart Lancaster est revenu sans détour sur son passage en Île-de-France. Dans le podcast Human Alchemy, l’ancien manager n’a pas caché sa frustration face à l’attitude de certains joueurs.

Recruté avec ambition à l’été 2024 pour insuffler une nouvelle dynamique au Racing 92, Stuart Lancaster n’aura finalement tenu qu’un an et demi à la tête du club francilien.

Remercié en février 2025 après une première moitié de saison poussive, il a depuis rebondi en Irlande, au Connacht. Mais l’Anglais n’a pas oublié son passage dans les Hauts-de-Seine, ni les frustrations qui l’ont accompagné.

Invité du podcast Human Alchemy, Lancaster a évoqué sans langue de bois ce qui a freiné, selon lui, son projet au Racing. Extrait :

« Sans divulguer de noms, il y avait un groupe de joueurs, des mecs bien payés, qui viennent, pointent, repartent. Contents de jouer, contents de ne pas jouer »

Le technicien britannique n’a pas remis en cause la qualité humaine de ses anciens joueurs, mais a regretté un manque criant d’ambition chez certains. Extrait :

« Ça me rendait dingue. Et ça a vraiment commencé à me peser, alors que moi j’étais debout à cinq heures du matin pour donner le meilleur. Il y avait un groupe de joueurs dans le même état d’esprit que moi, et un autre qui se contentait de ce qu’il avait. Ce n’étaient pas des fauteurs de troubles, de mauvais mecs – tous étaient de bons gars – mais ils n’avaient pas cette envie de devenir les meilleurs possibles. »

Remplacé depuis par Patrice Collazo, Lancaster n’aura pas réussi à imprimer sa méthode dans un club souvent tiraillé entre ambitions sportives et équilibres internes fragiles.

Ses propos, tenus des mois après son départ, sonnent comme un avertissement pour ceux qui rêveraient de construire sans exigence collective forte.

Publicité

5 Commentaires

  1. Pona 4 août 2025 at 16h- Répondre

    Blablabla !! Tu es nul tt simplement. A part faire jouer ton fils qui est pas terrible et prendre des tunes. Pauvre roosbeef. Même Patrice colazo a réussi à faire gagner le racing.

    J'aime 3
    J'aime pas 29
    • Blackworld 4 août 2025 at 17h- Répondre

      Il a juste été champion d’Angleterre , d Europe et a gagné la ligue celte … c est pas grand chose …
      Pour être plus sérieux , au Racing il a eu des bâtons dans les roues par ce charlot de travers et un groupe de joueurs qui n en voulait pas …
      Il s est fait savonner la planche …

      J'aime 21
      • m 4 août 2025 at 18h- Répondre

        Je pense que vous avez raison tous les deux. Il a un beau palmarès mais dans les faits avec le Racing, il a fait jouer son fiston alors qu’il n’avait pas le niveau.

        Je pense qu’il n’a pas accepté ce côté latin qui fait qu’on a des joueurs dilettantes qui sont meilleurs que ses joueurs besogneux. Donc il a fait joué son fils besogneux mais même travailleur, il n’avait pas le niveau.

        J'aime 4
        J'aime pas 14
        • Danslaverte 5 août 2025 at 08h- Répondre

          Les joueurs dilettante…Le côté latin… Tout ce qui fait en fait que la France ne gagne pas les compétitions majeures. S’entrainer dur on sait pas faire. On fait des datas, on parle premium, on joue les stars mais au final on regarde lever la coupe. Tous les étrangers passés par ici le disent

  2. Le gaulois 5 août 2025 at 06h- Répondre

    La langue n a pas d os pour certains de ce blog, Lancaster est un très bon entraîneur, rigoureux, les joueurs n ont qu à se sortir le doigt du c…l pour certains, c bien français ça de toujours massacrer les gens.

    J'aime 2
    J'aime pas 1