Toulon – Leicester: La composition des Tigers de Leicester !

Toulon – Leicester: La composition des Tigers de Leicester !

5 avril 2013 - 14:33

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Le staff des Tigers a dévoilé ce vendredi la composition d’équipe qui affrontera le Rugby Club Toulonnais dimanche après-midi à Mayol dans le cadre du quart de finale Européen.

Voici la composition de Leicester:

15 Mathew Tait
14 Niall Morris
13 Manusamoa Tuilagi
12 Anthony Allen
11 Adam Thompstone
10 Toby Flood (c)
9 Ben Youngs
1 Marcos Ayerza
2 Tom Youngs
3 Dan Cole
4 Ed Slater
5 Geoff Parling
6 Tom Croft
7 Julian Salvi
8 Jordan Crane

Les remplaçants: 

16 Rob Hawkins
17 Logovi’i Mulipola
18 Martin Castrogiovanni
19 Graham Kitchener
20 Thomas Waldrom
21 Sam Harrison
22 George Ford
23 Matt Smith

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  1. Serge 5 avril 2013 at 14h

    C est un sacre morceau de rosbeef quand même

  2. loupapet 5 avril 2013 at 15h

    Va falloir prévoir la menthe pour faire digérer tout ça…..

  3. Beber83 5 avril 2013 at 15h

    Belle equipe, mais qui ne doit sa qualif qu aux conditions climatiques et a l echec de beauxis lors du dernier match. Pas du tout impressionnant en poule et on va voir sur terrain sec ce que ca va donner…

    • I Am Spartacus 5 avril 2013 at 16h

      Attention, il ne faut pas oublier qu’ils ont joué beaucoup de matchs sans Tuilagi qui s’était blessé avant le Tournoi et ça fait une ÉNORME différence !!! Il représente 30% du potentiel de cette équipe à lui tout seul !!!

      • Beber83 5 avril 2013 at 16h

        C est indeniable effectivement. Mais a mon avis y en a un qui l attend avec impatience chez les notres… 😀

  4. Sha1966 5 avril 2013 at 16h

    Ah bon?? Qui ca ?? 🙂

  5. Canard WC 5 avril 2013 at 16h

    THD aurait dit 28%… Tu déconnes Spartacus…
    je vais te la faire à sa manière.

    Savez vous que Spartacus était un esclave et gladiateur thrace aujourd’hui dans les Balkans. Il dirigea la Troisième Guerre servile en Italie du Sud entre -73 et -71.

    En tant que rebelle ayant fait trembler la puissance esclavagiste de Rome, Spartacus a été une référence du mouvement anti-esclavagiste à partir du xviiie siècle. Il a été

    ensuite célébré dans les pays communistes où de nombreux monuments, noms de rues ou de clubs sportifs (comme le fameux Spartak de Moscou) lui ont été consacrés.

    Au cinéma, son histoire est devenue célèbre pour le grand public grâce au film scénarisé par Dalton Trumbo commencé par Anthony Mann et terminé par Stanley Kubrick réalisé

    en 1960 ainsi qu’une série télévisée américaine de trois saisons qui relate son histoire.

    Les détails de cette révolte d’esclaves sont connus grâce à plusieurs auteurs antiques : un chapitre de l’historien romain Florus dans son Abrégé d’Histoire romaine, repris

    dans les Guerres civiles de l’historien grec Appien, quelques mentions dans la Vie de Crassus de Plutarque, des fragments des Histoires de Salluste avec de nombreux

    détails.

    Un autre historien romain, Eutrope, en a fait un bref résumé au IVe siècle dans son Abrégé d’histoire romaine.

    On ignore la date et le lieu précis de naissance de Spartacus, et même si c’était son nom d’origine (car il a pu être rebaptisé par Lentulus Batiatus). Selon Plutarque,

    c’était un Thrace de la tribu des Maedi, né libre aux environs de -100, installée dans le sud-ouest du pays, le long du fleuve Strymon. Selon Catherine Salles le

    nom de Spartacus peut correspondre à un patronyme thrace : « Spartokos » ou « Spardokos », et au nom d’une ville de Thrace, Spartakos ; on ignore aussi son statut social,

    de simple berger à prince (le fait qu’il combatte à cheval penche pour l’origine aristocratique), mais d’après Plutarque, sa femme, « originaire de la même tribu que lui »

    était une « devineresse sujette aux transports dionysiaques », « prêtresse de Dionysos » qui, restée libre, l’accompagna à Rome quand il fut vendu9, suggérant ainsi

    l’origine aristocratique de Spartacus.

    Appien, lui, indique sans grande précision que Spartacus a servi comme auxiliaire dans une légion, qu’il a été fait prisonnier de guerre puis vendu à Rome à un laniste

    (marchand et entraîneur de gladiateurs), Lentulus Batiatus, qui l’emmena dans son école à Capoue : si c’est exact, on peut penser que la légion mentionnée par Appien a

    combattu durant les guerres civiles romaines, vers 80 av. J.-C.-75 av. J.-C., peut-être pour Sertorius, ce qui aurait donné à Spartacus l’expérience militaire dont il fit

    preuve par la suite. Selon Florus, ne supportant plus la discipline militaire, il déserta, fut repris et vendu à Lentulus Batiatus.

    À l’été -73, 300 esclaves gladiateurs (le sort de ces esclaves combattants étant souvent moins enviable que celui de la domesticité mais plus enviable que celui de finir

    dans une mine de sel ou une carrière de pierre puisqu’ils pouvaient être affranchis4) de l’école de Lentulus Batiatus complotèrent pour retrouver la liberté, mais furent

    dénoncés. Prenant les devants, entre 70 et 78 gladiateurs réussirent à s’évader sans armes ni vivres. Après s’être emparés de chariots transportant un stock d’armes

    destinées à une autre école de Capoue et avoir défait la milice de Capoue, ils ne se dispersèrent pas, mais traversèrent la Campanie en direction de la baie de Naples, où

    ils furent rejoints par de nombreux travailleurs agricoles — esclaves fugitifs et hommes libres — des latifundia et se réfugièrent sur les pentes du Vésuve. Trois hommes

    furent élus chefs, Spartacus, Crixus et Œnomaüs. Spartacus, un parmularius (ou thrace) ou un mirmillon selon Florus, et ses compagnons parvinrent à vaincre les

    quelques gardes régionaux envoyées par la ville de Capoue et complétèrent ainsi leur réserve d’armes. Pour subvenir à ses besoins, la petite armée commença à organiser des

    razzias sur les exploitations agricoles de la Campanie. Spartacus ne cessait alors d’attirer non seulement des esclaves, mais aussi des petits paysans et des bergers,

    organisant ainsi une armée et révélant les faiblesses de Rome.

    L’armée servile battit alors les cohortes de 3 000 auxiliaires romains commandés par le préteur Gaius Claudius Glaber, grâce à une ruse de Spartacus. En effet, la légende

    veut que ce dernier fuit le volcan où il était assiégé par un versant raide, et avec l’aide d’échelles faites avec des sarments de vignes, ses hommes surprirent les

    auxiliaires de Glaber par derrière. Dès lors, Spartacus rassembla de plus en plus de combattants. Rome ne le considérait pas comme une menace et le sous-estimait

    beaucoup. Les autorités romaines n’envoyèrent d’abord que deux nouvelles légions, dirigées par deux autres préteurs pour stopper la rébellion. Les autres légions étaient

    accaparées par la révolte de Sertorius, en Hispanie, et par le conflit avec Mithridate VI, en Orient.

    À ce moment, l’armée des esclaves se sépara, ce qui causa la perte de nombreux hommes. Environ 30 000 hommes (Gaulois et assimilés : Ibères, Celtibères) suivirent le

    gladiateur Crixus en Apulie tandis que le gros des troupes (Thraces et assimilés : Grecs et orientaux) monta vers le nord par les Apennins. Tandis que Crixus était tué et

    ses troupes massacrées lors d’un premier engagement près du Mont Gargano, Spartacus, dans le Picenum, vint à bout des légions que dirigeait contre lui le consul Lucius

    Gellius Publicola, mettant 16 000 Romains en déroute. Pour venger la mort de Crixus, Spartacus organisa des jeux funèbres dans la vallée des Abruzzes durant lesquels 300

    soldats romains faits prisonniers furent contraints de s’entretuer dans un combat de gladiateurs dans un grand cirque de bois construit à cet effet.

    Spartacus se dirigea ensuite en direction de Modène dans la plaine du Pô, vainquit les 90 000 hommes de l’armée du proconsul de Gaule cisalpine devant la ville puis fit

    demi-tour vers le sud de l’Italie. Il vainquit à nouveau les armées consulaires et s’installa dans le petit port de Thurii où selon plusieurs mythes il créa une république

    idéale4. De là, il commerçait avec les peuples de la Méditerranée, faisant des réserves d’armes, de bronze et de vivres. Il partit ensuit pour le Rhegium. Son objectif

    était de passer en Sicile pour lui permettre de rentrer dans son pays d’origine. Il espérait que les esclaves de cette ile déjà ravagée par la Deuxième Guerre servile de

    -100 lui fourniraient un appui. Mais les pirates ciliciens, avec qui Spartacus avait passé un accord, se laissèrent acheter par le propréteur de Sicile, Caius Licinus

    Verres. Trahi, Spartacus se trouva pris au piège à la pointe de l’Italie.

    Pendant ce temps, le Sénat romain conférait à Crassus, riche et ambitieux, le commandement d’une armée de quatre légions. Crassus, réclamant et obtenant l’imperium engagea

    les opérations, et finança une armée supplémentaire composée de six nouvelles légions de vétérans sur ses deniers personnels. Il ne cherchait pas à engager le combat avec

    l’armée de Spartacus, dont il se contentait de contrecarrer les raids pour l’empêcher de se ravitailler.

    Un de ses légats, désobéissant à ses ordres, attaqua une partie des troupes de Spartacus avec deux légions (8 000 hommes), et subit un désastre. Pour faire un exemple et

    impressionner les esprits, Crassus n’hésita pas à remettre en usage un châtiment qui n’était plus pratiqué : celui de la décimation. Un dixième des soldats du premier

    rang, principalement responsables de la déroute, furent ainsi fouettés puis mis à mort.

    Crassus entreprit de bloquer Spartacus dans le Rhegium par une ligne de retranchements de 55 km de long, 4 à 5 m de large et de profondeur, doublé d’un remblai palissadé

    pour barrer l’isthme devant Spartacus. Spartacus réussit à forcer le blocus par une nuit de neige en profitant du manque de visibilité. Mais il fut poursuivi par l’armée de

    Crassus et subit quelques petites défaites. Installé dans le Bruttium, il vainquit trois légions romaines. Ses hommes, échauffés par ces dernières victoires, voulaient

    battre définitivement l’armée de Crassus. L’affrontement final eut lieu sur le territoire actuel de Senerchia sur la rive droite du Sélé dans la haute vallée du Sélé, dans

    la région à la limite des communes d’Oliveto Citra et de Calabritto, près du village de Quaglietta, territoire qui à l’époque faisait partie de la Lucanie. À cet endroit

    on a découvert des armures et des épées romaines[réf. nécessaire]. Crassus battit définitivement les révoltés, tuant 60 000 insurgés et ne perdant que mille légionnaires.

    Avant la bataille, selon Plutarque, comme on lui amenait son cheval, Spartacus égorgea l’animal, disant : « Vainqueur, j’aurai beaucoup de beaux chevaux, ceux des ennemis ;

    vaincu, je n’en aurai pas besoin ». Puis il tenta de se porter contre Crassus, mais ne put l’atteindre et tua deux centurions qui l’attaquaient. Alors que ses compagnons

    prenaient la fuite, encerclé par de nombreux adversaires, Spartacus mourut les armes à la main en -71, diminué après avoir été atteint par une flèche à la cuisse. Son

    corps ne fut jamais formellement identifié.

    La répression fut sanglante : 6 000 esclaves furent crucifiés sur la Via Appia, entre Rome et Capoue. De plus, Pompée, entre-temps rappelé d’Espagne par le Sénat, massacra

    5 000 esclaves en fuite dans le nord de l’Italie. Cette victoire valut à Pompée des honneurs dont Crassus fut privé. Néanmoins, l’année suivante, les deux hommes furent

    promus consuls, alors même qu’ils n’avaient pas formellement parcouru le cursus honorum.

    Outre les qualités d’organisateur, de stratège et de meneur qu’Appien prête à Spartacus, plusieurs raisons matérielles peuvent expliquer le succès initial et la durée de sa

    révolte :

    l’insuffisance des premières forces romaines engagées contre lui, qui ne tinrent pas le choc contre ses troupes : au plus fort de ses batailles, l’armée de Spartacus

    aurait compté près de 120 000 combattants ;

    la situation politique (Rome intervenant sur d’autres fronts) qui freinait une mobilisation plus rapide des légions ;

    la situation sociale en Italie du Sud, région de grands latifundia (exploitations agricoles) exploitant durement des masses d’esclaves, qui purent se joindre à la

    révolte ;

    en revanche, Appien note l’isolement de Spartacus, aucune cité ne le soutenant, par crainte que la rébellion ne s’étendît à leurs esclaves.

    Ce n’est qu’à partir du XVIII siècle que Spartacus acquiert le statut de héros dans la littérature française. Bernard-Joseph Saurin est le premier en 1760 à donner une

    tragédie intitulée Spartacus. Le personnage de Spartacus y est un héros cornélien déchiré entre son rôle de libérateur et son amour pour la fille de Crassus. Si la

    pièce est appréciée du public, elle est en revanche vertement critiquée par Diderot pour ses invraisemblances et son manque de pathétique.

    Dès avant la Révolution, les partisans de l’abolition de l’esclavage produisent des œuvres dans lesquelles est mise en scène la figure d’un chef capable de conduire les

    esclaves à la liberté. L’abbé Raynal, dans l’Histoire des deux Indes, est le premier à établir une comparaison explicite entre ce chef noir potentiel et le Spartacus de

    l’Antiquité.

    « Il ne manque aux Nègres qu’un chef assez courageux pour les conduire à la vengeance et au carnage. Où est-il ce grand homme que la nature doit à ses enfants vexés,

    opprimés, tourmentés, où est-il ce Spartacus nouveau, qui ne trouvera point de Crassus ? N’en doutons pas, il se montrera, il lèvera l’étendard sacré de la liberté. »

    — Abbé Raynal, Histoire des deux Indes.

    Avec la Révolution française et la révolte des esclaves de Saint-Domingue en 1790-1791, menés par Toussaint Louverture, les anti-esclavagistes, dans la lignée de l’abbé de

    Raynal, donnent à Spartacus une nouvelle actualité. Mais son évocation se fait de manière ambiguë. Apparaissant comme un chef de bande chez Eschassériaux aîné par exemple,

    il peut apparaître à l’occasion comme la figure d’une menace potentielle pour la République. Ce sont toutefois les qualités de Spartacus qui sont mises en avant par

    Sonthonax lorsqu’il le compare en 1791, dans les Révolutions de Paris, à Vincent Ogé, mulâtre anti-esclavagiste, ou encore par William Wilberforce lorsqu’il oppose

    Toussaint Louverture au « général Buonaparté ». Si Spartacus sert de référence aux anti-esclavagistes en tant que chef des esclaves révoltés, en revanche il est quasi

    ignoré des révolutionnaires en tant que chef des opprimés, contrairement à d’autres personnages de l’Antiquité tels que Caton, Brutus ou Scaevola. La libération par la

    violence qu’il symbolise en fait un personnage trop extrême à leurs yeux.

    Après la Révolution française, la littérature anti-esclavagiste livre des œuvres dans lesquelles les chefs des esclaves noirs révoltés ont tous pour modèle implicite le

    héros de l’Antiquité. Cette mode pour les guerres d’esclaves est peut-être à l’origine de l’érection, sur la demande du roi Louis-Philippe, d’un Spartacus dans les jardins

    des Tuileries, statue due au sculpteur Denis Foyatier. Il faut toutefois attendre Lamartine et son Histoire des Girondins pour que Spartacus soit de nouveau explicitement

    évoqué dans la littérature : le député Ogé lui est là encore comparé. Lamartine évoque aussi Spartacus dans un discours du 25 mai 1836, et surtout dans sa pièce

    Toussaint-Louverture, dont la première a lieu au théâtre de la Porte Saint-Martin le 6 avril 1850. La pièce se déroule en 1802 et Spartacus y est le modèle qui pousse

    Toussaint Louverture à l’action.

    L’argumentation selon laquelle les esclaves sont inéluctablement amenés à recourir à la lutte armée, sous la direction d’un « Spartacus » (et Victor Schœlcher lui-même y a

    recourt) parcourt tous les textes anti-esclavagistes jusqu’à la révolution de 1848. Cette image d’un Spartacus effrayant va contribuer à l’abolition de l’esclavage lors de

    cette révolution.

    L’insistance sur la violence du personnage de Spartacus par les anti-esclavagiste dans leur combat pour l’abolition a sans doute conduit à sa récupération par la gauche

    révolutionnaire au cours de la seconde moitié du xixe siècle. Les prolétaires modernes sont assimilés aux esclaves de l’Antiquité. Ainsi le nom de Spartacus est cité dans

    les congrès de l’Association internationale des travailleurs.

    Durant la Première Guerre mondiale, l’aile gauche du Parti social-démocrate d’Allemagne, menée par Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg, fait paraître ses tracts clandestins,

    à partir de 1916 sous le nom de Spartakus, qui sert ensuite à désigner leur mouvement, la Ligue spartakiste. Rosa Luxemburg elle-même évoque un Spartacus mort sur la

    croix :

    « Parce qu’il [Spartacus] est celui qui exhorte les révolutionnaires à agir, parce qu’il est la conscience sociale de la révolution, il est haï, calomnié, persécuté par

    tous les ennemis secrets et avérés de la révolution et du prolétariat. Clouez-le sur la croix, vous les capitalistes, les petits-bourgeois… »

    — Rosa Luxemburg, Que veut la ligue spartakiste.

    À la suite de Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg, un culte a été rendu à Spartacus dans tous les pays socialistes. Les recherches historiques sur l’esclavage y ont connu un

    fort développement, contribuant à faire de Spartacus un mythe fondateur. De nombreuses œuvres lui ont rendu hommage, en particulier le ballet Spartacus de Khatchaturian,

    créé au théâtre Kirov de Léningrad en 1956. En appelant Spartakiades, à partir des années 1920, des manifestations sportives destinées à concurrencer les Jeux olympiques,

    ou Spartak une équipe de football de Moscou créée en 1926, ces mêmes pays leur donnent une dimension politique.

    Les mouvements de gauche dans les pays de l’Ouest se sont aussi référés à Spartacus. Des revues ou des maisons d’édition ont porté son nom. Mais c’est surtout à la

    littérature et au cinéma que le gladiateur doit sa célébrité. Plusieurs romans lui ont été consacrés : le Spartacus d’Arthur Koestler, celui de Howard Fast ou encore celui

    de Joël Schmidt. Au cinéma, le péplum s’est emparé du personnage. Le Spartacus de Riccardo Freda, réalisateur de films à grand spectacle, dénonce le fascisme, représenté

    par l’armée romaine. Celui de Stanley Kubrick est une fresque hollywoodienne au message politique sur les méfaits de la dictature. Un fils imaginaire permet à Sergio

    Corbucci de tourner en 1962 une suite, sous le titre Le Fils de Spartacus. La bande dessinée lui a aussi donné un fils, en 1975, avec un album de la série Alix.

    Les adaptations cinématographiques ont particulièrement mis en avant les qualités physiques des gladiateurs, donnant ainsi occasion à de multiples scènes de combat et de

    courage. Spartacus y apparaît semblable à d’autres héros de cinéma, tels Héraclès, Samson, ou Maciste. Par ailleurs la plupart de ces œuvres, qu’elles soient littéraires ou

    artistiques, font mourir Spartacus sur la croix, contrairement à la vérité historique, donnant ainsi au mythe une nouvelle dimension, celle d’une figure christique.

  6. Nyo83 5 avril 2013 at 16h

    Terrain sec, c’est vite dit! Il est annoncé une bonne journée de pluie demain.
    Alors même si Dimanche il devrait faire une belle journée, c’est pas dit que la pelouse ne soit pas bien grasse pour autant, let’s see!!!
    Et Parce que TOULON!!!!!!!! allez les minots on est tous chauuddss làà!!!

  7. totorct 5 avril 2013 at 17h

    LA VICTOIRE NE SERA QUE PLUS BELLE E E E E E

  8. T-max 5 avril 2013 at 17h

    Dimanche, un seul mot d’ordre: « Sabre au clair, CHARGEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ »

  9. holly 5 avril 2013 at 18h

    loupapet:
    Va falloir prévoir la menthe pour faire digérer tout ça…..

    La menthe je te la laisse, je préfère le Get27.

  10. Arno 5 avril 2013 at 18h

    Canard WC:
    THD aurait dit 28%… Tu déconnes Spartacus…
    je vais te la faire à sa manière.

    Savez vous que Spartacus était un esclave et gladiateur thrace aujourd’hui dans les Balkans. Il dirigea la Troisième Guerre servile en Italie du Sud entre -73 et -71.

    En tant que rebelle ayant fait trembler la puissance esclavagiste de Rome, Spartacus a été une référence du mouvement anti-esclavagiste à partir du xviiie siècle. Il a été

    ensuite célébré dans les pays communistes où de nombreux monuments, noms de rues ou de clubs sportifs (comme le fameux Spartak de Moscou) lui ont été consacrés.

    Au cinéma, son histoire est devenue célèbre pour le grand public grâce au film scénarisé par Dalton Trumbo commencé par Anthony Mann et terminé par Stanley Kubrick réalisé

    en 1960 ainsi qu’une série télévisée américaine de trois saisons qui relate son histoire.

    Les détails de cette révolte d’esclaves sont connus grâce à plusieurs auteurs antiques : un chapitre de l’historien romain Florus dans son Abrégé d’Histoire romaine, repris

    dans les Guerres civiles de l’historien grec Appien, quelques mentions dans la Vie de Crassus de Plutarque, des fragments des Histoires de Salluste avec de nombreux

    détails.

    Un autre historien romain, Eutrope, en a fait un bref résumé au IVe siècle dans son Abrégé d’histoire romaine.

    On ignore la date et le lieu précis de naissance de Spartacus, et même si c’était son nom d’origine (car il a pu être rebaptisé par Lentulus Batiatus). Selon Plutarque,

    c’était un Thrace de la tribu des Maedi, né libre aux environs de -100, installée dans le sud-ouest du pays, le long du fleuve Strymon. Selon Catherine Salles le

    nom de Spartacus peut correspondre à un patronyme thrace : « Spartokos » ou « Spardokos », et au nom d’une ville de Thrace, Spartakos ; on ignore aussi son statut social,

    de simple berger à prince (le fait qu’il combatte à cheval penche pour l’origine aristocratique), mais d’après Plutarque, sa femme, « originaire de la même tribu que lui »

    était une « devineresse sujette aux transports dionysiaques », « prêtresse de Dionysos » qui, restée libre, l’accompagna à Rome quand il fut vendu9, suggérant ainsi

    l’origine aristocratique de Spartacus.

    Appien, lui, indique sans grande précision que Spartacus a servi comme auxiliaire dans une légion, qu’il a été fait prisonnier de guerre puis vendu à Rome à un laniste

    (marchand et entraîneur de gladiateurs), Lentulus Batiatus, qui l’emmena dans son école à Capoue : si c’est exact, on peut penser que la légion mentionnée par Appien a

    combattu durant les guerres civiles romaines, vers 80 av. J.-C.-75 av. J.-C., peut-être pour Sertorius, ce qui aurait donné à Spartacus l’expérience militaire dont il fit

    preuve par la suite. Selon Florus, ne supportant plus la discipline militaire, il déserta, fut repris et vendu à Lentulus Batiatus.

    À l’été -73, 300 esclaves gladiateurs (le sort de ces esclaves combattants étant souvent moins enviable que celui de la domesticité mais plus enviable que celui de finir

    dans une mine de sel ou une carrière de pierre puisqu’ils pouvaient être affranchis4) de l’école de Lentulus Batiatus complotèrent pour retrouver la liberté, mais furent

    dénoncés. Prenant les devants, entre 70 et 78 gladiateurs réussirent à s’évader sans armes ni vivres. Après s’être emparés de chariots transportant un stock d’armes

    destinées à une autre école de Capoue et avoir défait la milice de Capoue, ils ne se dispersèrent pas, mais traversèrent la Campanie en direction de la baie de Naples, où

    ils furent rejoints par de nombreux travailleurs agricoles — esclaves fugitifs et hommes libres — des latifundia et se réfugièrent sur les pentes du Vésuve. Trois hommes

    furent élus chefs, Spartacus, Crixus et Œnomaüs. Spartacus, un parmularius (ou thrace) ou un mirmillon selon Florus, et ses compagnons parvinrent à vaincre les

    quelques gardes régionaux envoyées par la ville de Capoue et complétèrent ainsi leur réserve d’armes. Pour subvenir à ses besoins, la petite armée commença à organiser des

    razzias sur les exploitations agricoles de la Campanie. Spartacus ne cessait alors d’attirer non seulement des esclaves, mais aussi des petits paysans et des bergers,

    organisant ainsi une armée et révélant les faiblesses de Rome.

    L’armée servile battit alors les cohortes de 3 000 auxiliaires romains commandés par le préteur Gaius Claudius Glaber, grâce à une ruse de Spartacus. En effet, la légende

    veut que ce dernier fuit le volcan où il était assiégé par un versant raide, et avec l’aide d’échelles faites avec des sarments de vignes, ses hommes surprirent les

    auxiliaires de Glaber par derrière. Dès lors, Spartacus rassembla de plus en plus de combattants. Rome ne le considérait pas comme une menace et le sous-estimait

    beaucoup. Les autorités romaines n’envoyèrent d’abord que deux nouvelles légions, dirigées par deux autres préteurs pour stopper la rébellion. Les autres légions étaient

    accaparées par la révolte de Sertorius, en Hispanie, et par le conflit avec Mithridate VI, en Orient.

    À ce moment, l’armée des esclaves se sépara, ce qui causa la perte de nombreux hommes. Environ 30 000 hommes (Gaulois et assimilés : Ibères, Celtibères) suivirent le

    gladiateur Crixus en Apulie tandis que le gros des troupes (Thraces et assimilés : Grecs et orientaux) monta vers le nord par les Apennins. Tandis que Crixus était tué et

    ses troupes massacrées lors d’un premier engagement près du Mont Gargano, Spartacus, dans le Picenum, vint à bout des légions que dirigeait contre lui le consul Lucius

    Gellius Publicola, mettant 16 000 Romains en déroute. Pour venger la mort de Crixus, Spartacus organisa des jeux funèbres dans la vallée des Abruzzes durant lesquels 300

    soldats romains faits prisonniers furent contraints de s’entretuer dans un combat de gladiateurs dans un grand cirque de bois construit à cet effet.

    Spartacus se dirigea ensuite en direction de Modène dans la plaine du Pô, vainquit les 90 000 hommes de l’armée du proconsul de Gaule cisalpine devant la ville puis fit

    demi-tour vers le sud de l’Italie. Il vainquit à nouveau les armées consulaires et s’installa dans le petit port de Thurii où selon plusieurs mythes il créa une république

    idéale4. De là, il commerçait avec les peuples de la Méditerranée, faisant des réserves d’armes, de bronze et de vivres. Il partit ensuit pour le Rhegium. Son objectif

    était de passer en Sicile pour lui permettre de rentrer dans son pays d’origine. Il espérait que les esclaves de cette ile déjà ravagée par la Deuxième Guerre servile de

    -100 lui fourniraient un appui. Mais les pirates ciliciens, avec qui Spartacus avait passé un accord, se laissèrent acheter par le propréteur de Sicile, Caius Licinus

    Verres. Trahi, Spartacus se trouva pris au piège à la pointe de l’Italie.

    Pendant ce temps, le Sénat romain conférait à Crassus, riche et ambitieux, le commandement d’une armée de quatre légions. Crassus, réclamant et obtenant l’imperium engagea

    les opérations, et finança une armée supplémentaire composée de six nouvelles légions de vétérans sur ses deniers personnels. Il ne cherchait pas à engager le combat avec

    l’armée de Spartacus, dont il se contentait de contrecarrer les raids pour l’empêcher de se ravitailler.

    Un de ses légats, désobéissant à ses ordres, attaqua une partie des troupes de Spartacus avec deux légions (8 000 hommes), et subit un désastre. Pour faire un exemple et

    impressionner les esprits, Crassus n’hésita pas à remettre en usage un châtiment qui n’était plus pratiqué : celui de la décimation. Un dixième des soldats du premier

    rang, principalement responsables de la déroute, furent ainsi fouettés puis mis à mort.

    Crassus entreprit de bloquer Spartacus dans le Rhegium par une ligne de retranchements de 55 km de long, 4 à 5 m de large et de profondeur, doublé d’un remblai palissadé

    pour barrer l’isthme devant Spartacus. Spartacus réussit à forcer le blocus par une nuit de neige en profitant du manque de visibilité. Mais il fut poursuivi par l’armée de

    Crassus et subit quelques petites défaites. Installé dans le Bruttium, il vainquit trois légions romaines. Ses hommes, échauffés par ces dernières victoires, voulaient

    battre définitivement l’armée de Crassus. L’affrontement final eut lieu sur le territoire actuel de Senerchia sur la rive droite du Sélé dans la haute vallée du Sélé, dans

    la région à la limite des communes d’Oliveto Citra et de Calabritto, près du village de Quaglietta, territoire qui à l’époque faisait partie de la Lucanie. À cet endroit

    on a découvert des armures et des épées romaines[réf. nécessaire]. Crassus battit définitivement les révoltés, tuant 60 000 insurgés et ne perdant que mille légionnaires.

    Avant la bataille, selon Plutarque, comme on lui amenait son cheval, Spartacus égorgea l’animal, disant : « Vainqueur, j’aurai beaucoup de beaux chevaux, ceux des ennemis ;

    vaincu, je n’en aurai pas besoin ». Puis il tenta de se porter contre Crassus, mais ne put l’atteindre et tua deux centurions qui l’attaquaient. Alors que ses compagnons

    prenaient la fuite, encerclé par de nombreux adversaires, Spartacus mourut les armes à la main en -71, diminué après avoir été atteint par une flèche à la cuisse. Son

    corps ne fut jamais formellement identifié.

    La répression fut sanglante : 6 000 esclaves furent crucifiés sur la Via Appia, entre Rome et Capoue. De plus, Pompée, entre-temps rappelé d’Espagne par le Sénat, massacra

    5 000 esclaves en fuite dans le nord de l’Italie. Cette victoire valut à Pompée des honneurs dont Crassus fut privé. Néanmoins, l’année suivante, les deux hommes furent

    promus consuls, alors même qu’ils n’avaient pas formellement parcouru le cursus honorum.

    Outre les qualités d’organisateur, de stratège et de meneur qu’Appien prête à Spartacus, plusieurs raisons matérielles peuvent expliquer le succès initial et la durée de sa

    révolte :

    l’insuffisance des premières forces romaines engagées contre lui, qui ne tinrent pas le choc contre ses troupes : au plus fort de ses batailles, l’armée de Spartacus

    aurait compté près de 120 000 combattants ;

    la situation politique (Rome intervenant sur d’autres fronts) qui freinait une mobilisation plus rapide des légions ;

    la situation sociale en Italie du Sud, région de grands latifundia (exploitations agricoles) exploitant durement des masses d’esclaves, qui purent se joindre à la

    révolte ;

    en revanche, Appien note l’isolement de Spartacus, aucune cité ne le soutenant, par crainte que la rébellion ne s’étendît à leurs esclaves.

    Ce n’est qu’à partir du XVIII siècle que Spartacus acquiert le statut de héros dans la littérature française. Bernard-Joseph Saurin est le premier en 1760 à donner une

    tragédie intitulée Spartacus. Le personnage de Spartacus y est un héros cornélien déchiré entre son rôle de libérateur et son amour pour la fille de Crassus. Si la

    pièce est appréciée du public, elle est en revanche vertement critiquée par Diderot pour ses invraisemblances et son manque de pathétique.

    Dès avant la Révolution, les partisans de l’abolition de l’esclavage produisent des œuvres dans lesquelles est mise en scène la figure d’un chef capable de conduire les

    esclaves à la liberté. L’abbé Raynal, dans l’Histoire des deux Indes, est le premier à établir une comparaison explicite entre ce chef noir potentiel et le Spartacus de

    l’Antiquité.

    « Il ne manque aux Nègres qu’un chef assez courageux pour les conduire à la vengeance et au carnage. Où est-il ce grand homme que la nature doit à ses enfants vexés,

    opprimés, tourmentés, où est-il ce Spartacus nouveau, qui ne trouvera point de Crassus ? N’en doutons pas, il se montrera, il lèvera l’étendard sacré de la liberté. »

    — Abbé Raynal, Histoire des deux Indes.

    Avec la Révolution française et la révolte des esclaves de Saint-Domingue en 1790-1791, menés par Toussaint Louverture, les anti-esclavagistes, dans la lignée de l’abbé de

    Raynal, donnent à Spartacus une nouvelle actualité. Mais son évocation se fait de manière ambiguë. Apparaissant comme un chef de bande chez Eschassériaux aîné par exemple,

    il peut apparaître à l’occasion comme la figure d’une menace potentielle pour la République. Ce sont toutefois les qualités de Spartacus qui sont mises en avant par

    Sonthonax lorsqu’il le compare en 1791, dans les Révolutions de Paris, à Vincent Ogé, mulâtre anti-esclavagiste, ou encore par William Wilberforce lorsqu’il oppose

    Toussaint Louverture au « général Buonaparté ». Si Spartacus sert de référence aux anti-esclavagistes en tant que chef des esclaves révoltés, en revanche il est quasi

    ignoré des révolutionnaires en tant que chef des opprimés, contrairement à d’autres personnages de l’Antiquité tels que Caton, Brutus ou Scaevola. La libération par la

    violence qu’il symbolise en fait un personnage trop extrême à leurs yeux.

    Après la Révolution française, la littérature anti-esclavagiste livre des œuvres dans lesquelles les chefs des esclaves noirs révoltés ont tous pour modèle implicite le

    héros de l’Antiquité. Cette mode pour les guerres d’esclaves est peut-être à l’origine de l’érection, sur la demande du roi Louis-Philippe, d’un Spartacus dans les jardins

    des Tuileries, statue due au sculpteur Denis Foyatier. Il faut toutefois attendre Lamartine et son Histoire des Girondins pour que Spartacus soit de nouveau explicitement

    évoqué dans la littérature : le député Ogé lui est là encore comparé. Lamartine évoque aussi Spartacus dans un discours du 25 mai 1836, et surtout dans sa pièce

    Toussaint-Louverture, dont la première a lieu au théâtre de la Porte Saint-Martin le 6 avril 1850. La pièce se déroule en 1802 et Spartacus y est le modèle qui pousse

    Toussaint Louverture à l’action.

    L’argumentation selon laquelle les esclaves sont inéluctablement amenés à recourir à la lutte armée, sous la direction d’un « Spartacus » (et Victor Schœlcher lui-même y a

    recourt) parcourt tous les textes anti-esclavagistes jusqu’à la révolution de 1848. Cette image d’un Spartacus effrayant va contribuer à l’abolition de l’esclavage lors de

    cette révolution.

    L’insistance sur la violence du personnage de Spartacus par les anti-esclavagiste dans leur combat pour l’abolition a sans doute conduit à sa récupération par la gauche

    révolutionnaire au cours de la seconde moitié du xixe siècle. Les prolétaires modernes sont assimilés aux esclaves de l’Antiquité. Ainsi le nom de Spartacus est cité dans

    les congrès de l’Association internationale des travailleurs.

    Durant la Première Guerre mondiale, l’aile gauche du Parti social-démocrate d’Allemagne, menée par Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg, fait paraître ses tracts clandestins,

    à partir de 1916 sous le nom de Spartakus, qui sert ensuite à désigner leur mouvement, la Ligue spartakiste. Rosa Luxemburg elle-même évoque un Spartacus mort sur la

    croix :

    « Parce qu’il [Spartacus] est celui qui exhorte les révolutionnaires à agir, parce qu’il est la conscience sociale de la révolution, il est haï, calomnié, persécuté par

    tous les ennemis secrets et avérés de la révolution et du prolétariat. Clouez-le sur la croix, vous les capitalistes, les petits-bourgeois… »

    — Rosa Luxemburg, Que veut la ligue spartakiste.

    À la suite de Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg, un culte a été rendu à Spartacus dans tous les pays socialistes. Les recherches historiques sur l’esclavage y ont connu un

    fort développement, contribuant à faire de Spartacus un mythe fondateur. De nombreuses œuvres lui ont rendu hommage, en particulier le ballet Spartacus de Khatchaturian,

    créé au théâtre Kirov de Léningrad en 1956. En appelant Spartakiades, à partir des années 1920, des manifestations sportives destinées à concurrencer les Jeux olympiques,

    ou Spartak une équipe de football de Moscou créée en 1926, ces mêmes pays leur donnent une dimension politique.

    Les mouvements de gauche dans les pays de l’Ouest se sont aussi référés à Spartacus. Des revues ou des maisons d’édition ont porté son nom. Mais c’est surtout à la

    littérature et au cinéma que le gladiateur doit sa célébrité. Plusieurs romans lui ont été consacrés : le Spartacus d’Arthur Koestler, celui de Howard Fast ou encore celui

    de Joël Schmidt. Au cinéma, le péplum s’est emparé du personnage. Le Spartacus de Riccardo Freda, réalisateur de films à grand spectacle, dénonce le fascisme, représenté

    par l’armée romaine. Celui de Stanley Kubrick est une fresque hollywoodienne au message politique sur les méfaits de la dictature. Un fils imaginaire permet à Sergio

    Corbucci de tourner en 1962 une suite, sous le titre Le Fils de Spartacus. La bande dessinée lui a aussi donné un fils, en 1975, avec un album de la série Alix.

    Les adaptations cinématographiques ont particulièrement mis en avant les qualités physiques des gladiateurs, donnant ainsi occasion à de multiples scènes de combat et de

    courage. Spartacus y apparaît semblable à d’autres héros de cinéma, tels Héraclès, Samson, ou Maciste. Par ailleurs la plupart de ces œuvres, qu’elles soient littéraires ou

    artistiques, font mourir Spartacus sur la croix, contrairement à la vérité historique, donnant ainsi au mythe une nouvelle dimension, celle d’une figure christique.

    Toi t es un malade, mais un grave!! 😉

  11. Hayman Melville 5 avril 2013 at 19h

    Je vends une très bonne place (Bonnus C rang 15, place 27) à prix d’achat (65 euros). Dav ou Alexandre, si quelqu’un est intéressé, vous pouvez transmettre mon mel SVP ? Merci !

  12. holly 5 avril 2013 at 19h

    BBC : Cockerill n’a pas peur du test toulonnais :
    il dit avoir jouer dans des stades plus grand et plus impressionnant que Mayol. Il n’a pas peur de venir jouer chez les leaders du TOP 14
    http://www.bbc.co.uk/sport/0/rugby-union/22043899
    Il va être déçu

  13. Georges 5 avril 2013 at 20h

    holly:
    BBC : Cockerill n’a pas peur du test toulonnais :
    il dit avoir jouer dans des stades plus grand et plus impressionnant que Mayol. Il n’a pas peur de venir jouer chez les leaders du TOP 14
    http://www.bbc.co.uk/sport/0/rugby-union/22043899
    Il va être déçu

    </

    😉 💡 ❓ …pour qui il se prend cet Anglais …finalement DAV et ALEX et leur affiche ont bien fait de cogiter…" TOULON LEICESTER à Pâques on mange aussi du rosbeef…"…et notre subliminal Moumou d'en rajouter…" les Tigres de LEICESTER on va en faire des carpettes "……communion d'esprit…..et pis c'est tout…..ALLEZ TOULON.

  14. Georges 5 avril 2013 at 20h

    Arno: Toi t es un malade, mais un grave!!

    <

    😳 😳 :mrgreen: 💡 ….te le fait pas dire…de grands malades…avec leur " copier coller "….de grande érudition avec quelque " ELFE " isolé…." isole toi si tu veux mais jamais seul.."…c'était notre grand captain à notre lointaine époque qui nous disait ça…..

  15. Canard WC 5 avril 2013 at 20h

    Arno: Toi t es un malade, mais un grave!!

    Oui Arno, j’ai été contaminé par le virus « THD ».
    Si tu vois un post signé « THD » arriver sur le blog, ne lis surtout pas et passe au commentaire suivant, sinon, il va t’arriver ce qui m’arrive… 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  16. STEPHANE 5 avril 2013 at 20h

    🙄 😕 😉 …bonsoir Georges… mon post est hors-sujet (quoique…) et je sais que je vais faire hurler quelques coyotes:

    j’ai lu et diversement ressenti les commentaires récents… avec tout le respect dû aux nombreuses interventions, entre la passion (vous vous reconnaîtrez !), la naïveté, les mauvaises interprétations et le dénigrement systématique, je pense qu’il est temps de siffler la fin de la récréation. !!!…si le business a certes ses droits, ses codes (et ses travers !…), la création, l’innovation et l’humour sont inaliénables…mais ne sont en aucun cas droits à l’oubli !!!…

    Pour les plus honnêtes et qui ont de la mémoire… Mourad, à Toulon, on l’appelait – rappelez-vous ! – « l’Arabe en Ferrari !!!… » avec cet accent bizarre, pas encore toulonnais mais celui, certainement, de la sincérité… le surnom a fait long feu ( un Umaga, un Matfield, un Gregan et un George Smith plus tard !!!)… d’abord parce que Mourad Boudjellal sort sa Maserati au moins aussi souvent que sa Ferrari !… ensuite parce qu’un patron qui fait revivre le Rugby Club Toulonnais (je l’écris en toutes lettres pour les sponsors !!!), qui lui offre les meilleurs joueurs du monde et va peut être lui ouvrir à nouveau les portes du Top 14 !!!… même à Toulon, on dit respect !…. on dit bravo et on lui donne du « Monsieur Boudjellal » (attendez la suite avant de m’accuser de mouradophilie… je suis tout sauf naïf !)… puis il s’est trouvé un nouveau défi : propulser le RCT – la fierté déchue des Toulonnais – vers les sommets du rugby européen !!!… il est comme ça, le Mourad… homme de gros coups, de paris insensés et parfois réussis, d’excès, de bluff, de polémiques aussi stériles que jouissives !!!… du Max Guazzini pour le sens marketing, du J.M Aulas pour la mauvaise foi et la surexposition médiatique, du PSG dans sa volonté de taper haut et fort à grands coups de chéquier… le tout enveloppé dans une faconde de petit morveux en Smalto, « tête à claque » et provocateur qui fait les délices des journaux locaux et nationaux !!!… (vous les connaissez… vous les jetez en l’air à Mayol !)… le personnage fascine, énerve, exaspère…la haine alors se déchaîne sur les blogs et forums… les fans toulonnais s’enflamment en retour, la fierté chevillée au corps avec ce sentiment d’écorchés vifs pensant que la terre entière leur en veut !!!… ça vit, ça débat, ça castagne, ça remplit les stades et les colonnes des canards… ça fait parler du Rugby comme jamais auparavant !!!… et pendant ce temps, le staff travaille, l’équipe se soude, tranquille !… on peut être les censeurs des uns, avocats des autres…mais cette humeur n’est que l’expression d’un moment donné, d’une incompréhension passagère, humaine et foutrement méridionale en sorte… celle d’un peuple toulonnais rêvant de « l’inaccessible étoile » et qui ne pense pas la mériter… bref, celle d’un peuple qui à la trouille !!!… la bonne, la seule, l’unique… celle de réussir !!!…mais il faut passer outre…la boudjellisation rugbystique peut effrayer ; elle est toutefois nécessaire, régénératrice ( à + ou – 100 kms !) même elle ne procure aucun blanc-seing et que nul ne connait les secrets des Dieux de l’Ovalie… alors, profitons de l’instant présent avec les pépites du Top 14… le temps des regrets arrivera assez vite lorsque le soufflé médiatique sera retombé et que les affaires de pseudo-dopages reviendront nous pourrir la vie – merci Laurent Bénézech ! – mais pour ce Dimanche et la suite du « Money Time », de grâce, accueillez les uns, supportez les autres… mais ne doutez pas !!!…la loi du sport décidera… si elle est toulonnaise, nous boufferons du Tigre à pleines dents !!!… et nous serons alors les plus heureux des Tartarins du monde !!!… Allez Toulon.

    « Qui chérit à l’excès sait haïr à l’excès !… » – Aristote – philosophe.

    « Qui haït à l’excès sait chérir à l’excès !… » – Mayol – stade…

  17. holly 5 avril 2013 at 20h

    Les bookmaker donne toulon vainqueur à 3 contre 1.

    Cockerill est content d’être outsider et Flood est content de jouer contre Sir Johnny. Ca va le motiver :
    http://www.premiershiprugby.com/news/23939.php#.UV8bRUr1h1A
    Ce Floud n’est qu’un manant finalement. Georges va lui jeter son Figaro.

  18. rctrop 5 avril 2013 at 21h

    Eh bé STÉPHANE !!
    Laimejok lienbé lavrobrem:D

  19. Georges 5 avril 2013 at 21h

    STEPHANE:
    …bonsoir Georges… mon post est hors-sujet (quoique…) et je sais que je vais faire hurler quelques coyotes:

    j’ai lu et diversement ressenti les commentaires récents… avec tout le respect dû aux nombreuses interventions, entre la passion (vous vous reconnaîtrez !), la naïveté, les mauvaises interprétations et le dénigrement systématique, je pense qu’il est temps de siffler la fin de la récréation. !!!…si le business a certes ses droits, ses codes(et ses travers !…), la création, l’innovation et l’humour sont inaliénables…mais ne sont en aucun cas droits à l’oubli !!!…

    Pour les plus honnêtes et qui ont de la mémoire… Mourad, à Toulon, on l’appelait – rappelez-vous ! –«l’Arabe en Ferrari !!!… »aveccet accent bizarre, pas encore toulonnais mais celui, certainement, de la sincérité…le surnom a fait long feu ( un Umaga, un Matfield, un Gregan et un George Smith plus tard !!!)… d’abord parce que Mourad Boudjellal sort sa Maseratiau moins aussi souvent que sa Ferrari !… ensuite parce qu’un patron qui fait revivre le Rugby Club Toulonnais (je l’écris en toutes lettres pour les sponsors!!!), qui lui offre les meilleurs joueurs du monde et va peut être lui ouvrir à nouveau les portes du Top 14 !!!…même à Toulon, on dit respect !…. on dit bravo et on lui donne du « Monsieur Boudjellal » (attendez la suite avant de m’accuser de mouradophilie… je suis tout sauf naïf !)… puis il s’est trouvé un nouveau défi : propulser le RCT – la fierté déchue des Toulonnais –vers les sommets du rugby européen !!!… il est comme ça, le Mourad… homme de gros coups, de paris insensés et parfois réussis, d’excès, de bluff, de polémiques aussi stériles que jouissives !!!… du Max Guazzini pour le sens marketing, du J.M Aulas pour la mauvaise foi et la surexposition médiatique, du PSG dans sa volonté de taper haut et fort à grands coups de chéquier… le tout enveloppé dans une faconde de petit morveux en Smalto, «tête à claque » etprovocateur qui fait les délices des journaux locaux et nationaux !!!… (vous les connaissez… vous les jetez en l’air à Mayol !)… le personnage fascine, énerve, exaspère…la haine alors se déchaîne sur les blogs et forums… les fans toulonnais s’enflamment en retour, la fierté chevillée au corps avec ce sentiment d’écorchés vifs pensant que la terre entière leur en veut !!!… ça vit, ça débat, ça castagne, ça remplit les stades et les colonnes des canards… ça fait parler du Rugby comme jamais auparavant !!!… et pendant ce temps, le staff travaille, l’équipe se soude, tranquille !… on peut être les censeurs des uns, avocats des autres…mais cette humeur n’est que l’expression d’un moment donné, d’une incompréhension passagère, humaine et foutrement méridionale en sorte… celle d’un peuple toulonnais rêvant de « l’inaccessible étoile » et qui ne pense pas la mériter… bref, celle d’un peuple qui à la trouille !!!… la bonne, la seule, l’unique… celle de réussir !!!…mais il faut passer outre…la boudjellisationrugbystique peut effrayer ;elle est toutefois nécessaire, régénératrice ( à + ou – 100 kms !) même elle ne procure aucun blanc-seing et que nul ne connaitles secrets des Dieux de l’Ovalie…alors, profitons de l’instant présent avec les pépites du Top 14…letemps des regrets arrivera assez vite lorsque le soufflé médiatique sera retombé et que les affaires de pseudo-dopages reviendront nous pourrir la vie – merci Laurent Bénézech ! – mais pour ce Dimanche et la suite du « Money Time », de grâce,accueillez les uns, supportez les autres… mais ne doutez pas !!!…la loi du sport décidera… si elle est toulonnaise, nous boufferons du Tigre à pleines dents !!!… et nous serons alors les plus heureux des Tartarins du monde !!!… Allez Toulon.

    « Qui chérit à l’excès sait haïr à l’excès !… » – Aristote – philosophe.

    « Qui haït à l’excès sait chérir à l’excès !… » – Mayol – stade…

    </

    😆 😀 😉 💡 …STEF…je te verdis….le pire…finalement est l'ami de l'excès….j'adore ton style plein de…points de suspension…Ah..comme disait l'autre si les points de suspensions pouvaient parler..ils en diraient des choses et des choses..!!!……pour l'adoration pour notre Club..sauf pour Moumou qui est vomi de plusieurs…merci d'avoir rappelé son itinéraire…faut mettre cela sur le compte de LA PASSION…et en conserver cet esprit Cartésien qui pensait que les passions sont toutes très bonnes et qu'il fallait simplement en éviter leur mauvais usage ou leurs…excès…et pour en citer CHAMFORT..à vérifier…les passions sont exagérées car en définitive elles ne sont des passions que parce qu’elles exagèrent….bon match pour Dimanche…je serais en LAFONTAN…avec les NANTIS…qu'est ce qu'ils prennent sur la gueule en ce moment…et on lancera nos Figaros……et pis c'est tout…ALLEZ TOULON.

  20. Georges 5 avril 2013 at 21h

    rctrop:
    Eh bé STÉPHANE !!
    Laimejok lienbé lavrobem

    🙄 😉 😉 …T’as vu..LE TROP…j’ai une fille à Paris….agrégé de philo….c’est son style..comme son père…me demande si ce n’est pas elle qui nous interpelle…ça nous change de CERTAIN …l’agrégé de l’ IDGBM te salue…USDAP / STADE TOULOUSAIN en ce moment sur FRANCE 4 !!!!!! allez TOULON. PS : IDGBM..Institut des Grands Buveurs de Mousses…..

  21. chris83 5 avril 2013 at 21h

    intervention de BL au Moscato Show

    RMC : 05/04 – Moscato Show – 19h-20h

    http://www.rmcsport.fr/podcast/podcast.php?id=131#lien1

  22. Matt 5 avril 2013 at 22h

    Il est saoul le commentateur de France 4 ??? Il dit que des conneries le bougre

  23. PHIL 5 avril 2013 at 22h

    Quel bonheur !!
    J’ ai eu la patience de faire travailler la souris et zapper les  » copiés collés  » …………
    Bonheur ; OUI Merci Stéphane pour un des meilleurs commentaires postés depuis bien longtemps sur ce blog !!

    Georges je suis moi aussi avec les nantis de lafontan …..
    J’ apprécie tes envolées !! Une petite mousse ce dimanche ? Serais sur Mayol avant midi ……………….

  24. ipac83 5 avril 2013 at 22h

    Matt ouai le commentateur a un probleme moussique on dirait :mrgreen:

    « Le balonessssse » un fou ce commentateur x’))

  25. Corsair 5 avril 2013 at 23h

    surtout très fatigué apparemment… sinon c bon ça Toulouse qui sort du challenge, maintenant leur reste plus que le Top14 et vont surement aller + que chatouiller l’ASM, si on arrive à les battre au Vélodrome…

  26. Georges 5 avril 2013 at 23h

    😳 :oops:…Oh…pitin..et en plus…le Grand STADE qui se fait pourrir par une équipe Catalane réduite en plus à quatorze….30/19…avec un FICKOU…l’idole des foules…transparent..et plaquant aux cheveux….ces gens là si on devait les croiser sur notre route….on devrait les bouffer….et pis c’est tout….ALLEZ TOULON.

  27. holly 5 avril 2013 at 23h

    Héroïque ces catalans, dommage qu’ils perdent Mas sinon la mêlée toulousaine n’avait pas besoin de bus pour retourner au stadium.

  28. Georges 5 avril 2013 at 23h

    PHIL:
    Quelbonheur !!
    J’ ai eu la patiencedefairetravaillerlasouriset zapperles »copiés collés »…………
    Bonheur ;OUIMerci Stéphanepourun des meilleurscommentaires postésdepuis bien longtemps surce blog !!

    Georges jesuismoiaussiavecles nantis de lafontan…..
    J’ apprécietesenvolées !! Unepetitemoussecedimanche ? SeraissurMayolavantmidi……………….

    <

    😳 😳 …et les…"copier-coller"…dénoncent et…témoignent de l'inintelligence et de la suffisance de quelque " ELFE "…et pis c'est tout…..ALLEZ TOULON.

  29. david 5 avril 2013 at 23h

    ipac83:
    Matt ouai le commentateur a un probleme moussique on dirait
    « Le balonessssse » un fou ce commentateur x’))

    Cazalbou l’a même un peu envoyé chier 2-3 fois , comme sur le coup sur

    « et donc,comme je disais qu’en pensez vous de Kakovin? »
     » éh , je l’ai déjà dis en première mi temps ,je vais pas le répéter  »

    mais le coup du strap , c’était le must

  30. holly 6 avril 2013 at 01h

    Superbe article sur la joie de jouer au rugby de Steffon Armitage, avec de très belles photos :
    http://www.dailymail.co.uk/sport/rugbyunion/article-2304735/Steffon-Armitage-exclusive-interview-Chris-Foy.html

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