Toulon signe son deuxième succès à l’extérieur
Toulon signe son deuxième succès à l’extérieur
Le dimanche 23 février 2014 à 19:42 par David Demri
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Grâce à cinq pénalités, Wilkinson a offert une précieuse victoire à Toulon dans une rencontre qui n’a pas atteint des sommets (9-15). L’Aviron reste sous pression.
La loi des séries a sévi sur la pelouse de Jean-Dauger. Bayonne, invaincu depuis six matchs à domicile, a finalement craqué contre Toulon (9-15), incapable de l’emporter à l’extérieur depuis le mois de septembre. Un succès précieux pour le champion d’Europe, qui relance enfin la machine hors de ses bases et s’offre surtout une remontée à la quatrième place. Bousculés par des Basques valeureux mais néanmoins trop limités au moment de conclure leurs actions, les hommes de Bernard Laporte font une belle opération dans la course aux phases finales. Bayonne reste lui sous pression avant un derby basque, la semaine prochaine, qui promet d’être vraiment chaud.
Sous l’impulsion d’un paquet d’avants parfaitement organisé, Bayonne entamait la rencontre en prenant rapidement l’avantage au score. Stephen Brett, d’abord irréprochable (9-0, 20e) touchait le poteau sur sa pénalité la plus simple (30e). Une occasion gâchée que les Basques regretteraient, comme ces nombreux ballons portés qui échouaient à quelques mètres de l’en-but toulonnais. Bougé, le RCT résistait et ne s’affolait pas. Comme si les coéquipiers de Steffon Armitage, omniprésent en défense, étaient sûrs de leur force.
Wilkinson ne tremble pas
Réduit deux fois en infériorité numérique au cours de la partie (notamment pour un plaquage haut sur Marvin O’Connor), Toulon faisait le dos rond. Attendant patiemment son heure. Malgré plusieurs opportunités de prendre les points, les Ciel et Blanc optaient pour la touche, certains d’aller aplatir après les belles occasions lors du premier acte. Des points précieux laissés en route qui coûtaient peut-être une victoire capitale. Jonny Wilkinson, lui, ne laissait pas passer l’aubaine.
Deux pénalités en fin de match offraient finalement la victoire au RCT (68e, 72e, 9-15). Et si le succès était impératif pour des Bayonnais à la lutte pour le maintien, il l’était tout autant pour des Toulonnais en quête d’une qualification pour les phases finales. Une deuxième victoire à l’extérieur qui permet de mettre fin à cette mauvaise série. Une deuxième victoire à l’extérieur qui enfonce Bayonne, encore un peu plus sous pression avant d’aller défier l’ennemi biarrot pour sauver sa peau.
Source: rugbyrama.fr
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Avec carbonara , sur les 2 derniers minutes tu perd le match , l’arbitre a eu des couilles de siffler contre BAYONNE sur ma dernière action !!!! ALLER TOULON
Très bon au niveau comptable pour le jeu on est encore loin derrière Clermont . Va falloir rattraper ça avant la fin de saison.
sauf que clermont a perdu à bayonne
Clermont par ci, Clermont par là. Ils sont beaux, forts, un beau rugby, un public hors pair ……………. mais à l’arrivée un titre volé en 2010.
:reallypissed: :reallypissed:
Certes Clermont a peut être un jeu un peu plus en place, mais ils peuvent très bien faire un match merdique la semaine prochaine, ça leur est déjà arrivé cette saison d’enchainer une prestation mauvaise après un très bon match. Encore plus cette année, la vérité d’un week-end n’est pas celle du week-end suivant, et quand on voit les résultats de ce week-end et bien tout reste encore possible pour pas mal d’équipes!
Un bon match a l’extérieur steffon Armitage comme un chien 🙁 ça fait plaisir quelques fautes mais la victoire est la comme je l’ai déjà dit peu importe la manière SEUL le résultat compte 😀 😀 😀
ALLEZ TOULON
Rugbyrama, toujours aussi bons. Dès la première phrase une erreur : ce n’est pas 5 pénalités du RCT mais 4 pénalités et un drop….
A Canal aussi, ils sont toujours aussi bons, avec le taré de Bayle en tête de gondole…. Parce qu’au delà des sifflets monstrueux et les broncas contre Jonny (ça siffle sur tous les terrains, on le sait tous sauf les petites pucelles de canal), ce qui m’a le plus scandalisé, c’est le SILENCE assourdissant de ce pignouf de Eric Bayle pendant ces sifflets et ces hurlements contre Jonny. Pas UN commentaire, pas UN mot, c’était incroyable et pourtant il ne se prive pas pour le faire dès que c’est à Mayol que ça siffle. Je hais ce type et je rêve de lui encastrer son micro dans le fion, sous les sifflets du public bien sûr.