Une légende du rugby, de retour au Stade Toulousain après plus de 40 ans d’absence !
Une légende du rugby, de retour au Stade Toulousain après plus de 40 ans d’absence !
Le vendredi 16 mai 2025 à 15:43 par David Demri
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Le Stade Toulousain s’apprête à vivre un moment d’émotion et d’histoire ce samedi soir (21h05) à l’occasion de la réception du Racing 92, lors de la 24e journée du Top 14.
À l’invitation du club, Jean-Pierre Rives, figure emblématique du rugby français, foulera de nouveau la pelouse d’Ernest-Wallon, un stade qu’il n’avait plus visité depuis les années 1980.
Ancien troisième ligne et capitaine charismatique du XV de France (59 sélections), Jean-Pierre Rives avait quitté le club toulousain en 1981 pour rejoindre le Racing Club de France, futur Racing 92. Hormis une brève apparition quelques années plus tard pour un match face à Mont-de-Marsan, il n’était jamais revenu dans l’antre rouge et noire.
Ce week-end, le Stade Toulousain a décidé de rendre hommage à l’un de ses plus illustres anciens.
Jean-Pierre Rives passera une partie de la journée avec le groupe professionnel, partagera les préparatifs d’avant-match avec les joueurs et arrivera même au stade en car aux côtés de l’équipe. Il sera ensuite honoré publiquement avant le coup d’envoi, avant d’assister à la rencontre en tribune, aux côtés du président du club, Didier Lacroix.
Sculpteur reconnu depuis sa retraite sportive, Jean-Pierre Rives a également souhaité marquer son retour à Toulouse d’une empreinte artistique. Il a offert au club une sculpture monumentale en acier, haute de plusieurs mètres, qui sera inaugurée ce samedi à la mi-journée sur le parvis du stade Ernest-Wallon. L’œuvre restera exposée durant plusieurs mois, symbole du lien fort entre l’artiste et son club de cœur.
En retrouvant le club de ses débuts pour un match contre une autre de ses anciennes équipes, Jean-Pierre Rives sera au cœur d’une soirée empreinte d’émotion et de mémoire, à l’image de la passion indélébile qu’il a laissée dans l’histoire du rugby français.
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En 1975 j’étais à Twickenham pour sa première sélection et on avait mis une branlée aux anglais.
Ça ne te rajeunit pas tout ça !
Non mais c’est un bon souvenir on a fait une fête d’enfer avec des Basques.
Une autre époque où les joueurs n’avaient pas les francs dans les yeux et donnaient tout pour leur ville où leur club.