VIDEO – Thomas Ramos en larmes : « Je crois que je vais chialer ! »
VIDEO – Thomas Ramos en larmes : « Je crois que je vais chialer ! »
Le dimanche 29 juin 2025 à 10:25 par David Demri
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L’arrière du Stade-Toulousain, Thomas Ramos s’est confié au micro de Canal + à l’issue de la victoire remportée contre l’UBB, en finale du Top 14.
Très ému, le joueur Toulousain n’a pas réussi à retenir ses larmes.
A lire ci-dessous :
« Je crois que je vais chialer. On fait la meilleure semaine qu’on n’a jamais faite cette saison. Ils sont champions d’Europe, ce n’est pas pour rien. Bravo à eux pour ce qu’ils font depuis trois ans. C’est un gros match ce soir avec Lucu qui passe la pénalité et qui nous envoie en prolongation. Ca ne s’arrêtait jamais ! Ce soir ça tombe de notre côté sur la deuxième partie de la prolongation et ça aurait pu tomber de leur côté. Tout se joue sur des détails.
Je suis l’homme du match mais ça ne veut pas dire grand chose. Quand je vois le boulot fait par nos avants, en touche, en mêlée, la défense qu’on a eue, nos centres, nos ailiers… On a eu un état d’esprit comme on l’a rarement vu cette saison et c’est ce qui nous fait gagner. On finit premier, c’est mérité. Bordeaux aurait aussi mérité de gagner étant donné leur saison mais ça tombe de notre côté ce soir.
On réalise un triplé. On n’en parlait pas beaucoup mais on avait en tête de le faire. Avec cette défaillance totale que nous avons eu en demi-finale de Coupe d’Europe, on ne pouvait pas passer à côté. Ce soir, le Stade-Toulousain ne doute pas.
Ce n’est pas le plus beau match de Toulouse sur le plan offensif, mais on reste redoutable et c’est génial. »
Les larmes de Thomas Ramos, élu homme du match ce soir 🏆🏉#FinaleTop14 pic.twitter.com/gfSenXlGRc
— CANAL+ Rugby (@CanalplusRugby) June 28, 2025
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Ah ça , question jeu offensif c’était en face je te le fais pas dire !
C’est Lièvremont qui comprend pas tout, lui….. Explique-lui !
Mais être redoutable c’est la finalité, oui, il ne reste que les titres . Lui n’a jamais rien gagné ce pingouin qui donne des leçons.
Il a oublié la montée en pointe de Paul Sackey et l’humiliation à Paris face aux anglais.
Tellement son rugby était lisible.
Il perd 3 matchs en Coupe du monde 2011 dont il se gargarise alors que les joueurs avaient pris le jeu devant à leur compte, avec Papé-Nallet. Il avait été pris pour pas cher, vu que c’était chez les Blacks, lui qui n’avait jamais rien coaché que de la D2, la Fédé avait fait une croix sur la gagne…
Tu veux que je te parle de mon voisin qui faisait du vélo ?