Wilkinson: « un moment très spécial » (Rugby365)

Wilkinson: « un moment très spécial » (Rugby365)

Le dimanche 17 avril 2011 à 1:16 par David Demri

Publicité

Jonny Wilkinson, ouvreur de Toulon, se réjouit que son équipe ait conservé ses chances après sa victoire sur Toulouse (21-9). Il évoque aussi l’ambiance du Vélodrome et aborde l’homogénéité du Top 14.
Jonny Wilkinson, belle victoire de Toulon ce samedi contre Toulouse. Vous devez être ravi…
C’est un bon moment pour l’équipe. On a toujours l’opportunité de sa qualifier et c’est une bonne chose. On est très contents. On sait aussi qu’on doit travailler très dur jusqu’à la fin de la saison et chaque match sera comme une rencontre de phase finale pour nous. C’est un bon moment, contre une très belle équipe. Mais pour nous, j’espère que c’est le commencement de quelque chose de plus grand.
Malgré cinquante premières minutes difficiles, avez-vous pris du plaisir ?
Oui. C’est toujours la même situation contre une équipe comme ça, il faut travailler. On ne peut pas gagner sans efforts. Il faut gagner le droit de jouer et de prendre du plaisir. On ne peut pas juste arriver et essayer de gagner. Ça prend du temps, des efforts et de l’énergie, surtout contre une équipe comme Toulouse.
Y’avait-il de la tension avant le match ?
Oui, mais de la tension positive. Il faut l’optimiser pour trouver une énergie positive, un sens collectif pour bien jouer ensemble. On était prêt à jouer 85 minutes et à faire ce qui était nécessaire pour gagner.
« Ce n’est pas juste une équipe de 23 joueurs »
La défaite de la semaine dernière à Barcelone (ndlr, 29-25 contre Perpignan en quarts de finale de H Cup) vous a-t-elle servi ?
C’était vraiment une défaite difficile à digérer. On était vraiment déçu et on l’est peut-être encore parce qu’on sait que c’était une très bonne occasion d’être en demi-finales. Mais Perpignan a mérité sa qualification. On ne peut pas continuer d’être négatif. On doit utiliser ça.
Quand on voit 50 000 personnes derrière soi, ça donne encore plus envie de revenir pour les demi-finales, qui se disputeront ici…
Le but est toujours de faire le nécessaire pour la région, pour l’équipe et pour les supporters. C’est un moment très spécial de vivre ça. A chaque fois qu’on vient jouer au Vélodrome, c’est unique. C’est quelque chose que je vais prendre avec moi et ce sera un bon souvenir pour le reste de ma carrière et pour la fin de ma vie.
Ce soutien du public vous a-t-il aidé ?
C’est collectif et on gagne ensemble. Ce n’est pas juste une équipe de 23 joueurs, un effectif de 40 joueurs. Il y a aussi la région et tous les gens qui nous apportent leur soutien, qui sont là pour les matchs. On travaille ensemble, l’énergie est collective et on l’utilise pour les grands matchs.
Tous vos concurrents ont gagné. La semaine prochaine, vous recevrez Perpignan. Vous n’aurez pas le choix…
C’est un bon signe de la qualité du Top 14. On a vu La Rochelle-Agen hier soir (vendredi soir), le match était très chaud, très serré. Dans le championnat, il n’y a pas de match facile, pas de match gagné. Pour moi, c’est très bien mais pour les joueurs, c’est difficile. Il faut récupérer très vite car chaque week-end, il y a un grand match contre une équipe avec la capacité de gagner contre n’importe quelle autre.

Jonny Wilkinson, ouvreur de Toulon, se réjouit que son équipe ait conservé ses chances après sa victoire sur Toulouse (21-9). Il évoque aussi l’ambiance du Vélodrome et aborde l’homogénéité du Top 14.

Jonny Wilkinson, belle victoire de Toulon ce samedi contre Toulouse. Vous devez être ravi…

C’est un bon moment pour l’équipe. On a toujours l’opportunité de sa qualifier et c’est une bonne chose. On est très contents. On sait aussi qu’on doit travailler très dur jusqu’à la fin de la saison et chaque match sera comme une rencontre de phase finale pour nous. C’est un bon moment, contre une très belle équipe. Mais pour nous, j’espère que c’est le commencement de quelque chose de plus grand.

Malgré cinquante premières minutes difficiles, avez-vous pris du plaisir ?

Oui. C’est toujours la même situation contre une équipe comme ça, il faut travailler. On ne peut pas gagner sans efforts. Il faut gagner le droit de jouer et de prendre du plaisir. On ne peut pas juste arriver et essayer de gagner. Ça prend du temps, des efforts et de l’énergie, surtout contre une équipe comme Toulouse.

Y’avait-il de la tension avant le match ?

Oui, mais de la tension positive. Il faut l’optimiser pour trouver une énergie positive, un sens collectif pour bien jouer ensemble. On était prêt à jouer 85 minutes et à faire ce qui était nécessaire pour gagner.

« Ce n’est pas juste une équipe de 23 joueurs »

La défaite de la semaine dernière à Barcelone (ndlr, 29-25 contre Perpignan en quarts de finale de H Cup) vous a-t-elle servi ?

C’était vraiment une défaite difficile à digérer. On était vraiment déçu et on l’est peut-être encore parce qu’on sait que c’était une très bonne occasion d’être en demi-finales. Mais Perpignan a mérité sa qualification. On ne peut pas continuer d’être négatif. On doit utiliser ça.

Quand on voit 50 000 personnes derrière soi, ça donne encore plus envie de revenir pour les demi-finales, qui se disputeront ici…

Le but est toujours de faire le nécessaire pour la région, pour l’équipe et pour les supporters. C’est un moment très spécial de vivre ça. A chaque fois qu’on vient jouer au Vélodrome, c’est unique. C’est quelque chose que je vais prendre avec moi et ce sera un bon souvenir pour le reste de ma carrière et pour la fin de ma vie.

Ce soutien du public vous a-t-il aidé ?

C’est collectif et on gagne ensemble. Ce n’est pas juste une équipe de 23 joueurs, un effectif de 40 joueurs. Il y a aussi la région et tous les gens qui nous apportent leur soutien, qui sont là pour les matchs. On travaille ensemble, l’énergie est collective et on l’utilise pour les grands matchs.

Tous vos concurrents ont gagné. La semaine prochaine, vous recevrez Perpignan. Vous n’aurez pas le choix…

C’est un bon signe de la qualité du Top 14. On a vu La Rochelle-Agen hier soir (vendredi soir), le match était très chaud, très serré. Dans le championnat, il n’y a pas de match facile, pas de match gagné. Pour moi, c’est très bien mais pour les joueurs, c’est difficile. Il faut récupérer très vite car chaque week-end, il y a un grand match contre une équipe avec la capacité de gagner contre n’importe quelle autre.

Publicité