Hervé,

même avec toute la bonne volonté du monde, il ne sera jamais assez bon. Il n’a jamais retrouvé son niveau de 2011, l’année où il flambe. Et il n’est pas prêt de le retrouver, surtout derrière un pack moins dominateur que par le passé, dans un championnat aussi rude que le nôtre. Je ne le vois même pas faire l’effort d’apprendre la langue, à plus forte raison s’il n’est là que pour 18 mois, entrecoupés de tournois de 7. Moins, s’il accumule les frasques. Pensez d’ailleurs à planquer vos portables 😀 De toute façon, ce br****** a beau occuper un poste stratégique, intellectuellement il est plus limité que tous les 10 qui ont marqué leur époques : Larkham, sans doute le plus brillant de tous, Carter, Wilko qui parlait français à son arrivée, O’Gara le francophile, Mehrtens, etc. À sa 2e année, Sexton parlait un Français quasi-parfait.

On ne remplacera jamais Jonny certes, mais entre Wilko et un fantasque toxique dans un vestiaire, il y avait de la marge tout de même. Un Colin Slade (le meilleur « utility back » (9-15) du monde, juste devant Kurtley Beale) ou un Tom Taylor, par exemple, qui sont d’ailleurs plus proches de Jonny que de la diva australienne. Un excellent pédigrée, de l’instruction, une âme de leaders, de vie comme sur le terrain. Des mecs de 27 piges absents des réseaux sociaux (rendez-vous compte !) ne peuvent être mauvais. Ils sont dans le vrai