Clément Poitrenaud évoque le recrutement du Rugby Club Toulonnais

Clément Poitrenaud évoque le recrutement du Rugby Club Toulonnais

23 février 2015 - 19:02

9 Commentaires

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clement-poitrenaud-et-toulouse-vont-rencontrer-biarritzInterrogé par « Le Journal du Rugby« , l’arrière du Stade-Toulousain, Clément Poitrenaud a évoqué le recrutement du Rugby Club Toulonnais avec notamment les arrivées de Napolioni Nalaga et le Néo-Zélandais Ma’a Nonu.

Selon lui, le RCT sera difficile à arrêter la saison prochaine avec tous ces talents réunis sous le maillot Toulonnais. Extrait:

« C’est tout simplement énorme sur le papier. Quand vous voyez la puissance de Ma’a Nonu au centre, celle de Bastareaud aussi et la dextérité de Nalaga pour finir les actions, ils vont être difficile à arrêter, ça c’est sûr. On peut imaginer aussi le banc des remplaçants qu’il y aura et les possibilités de changements qui s’offrent à l’entraîneur. Après, des noms sur un papier, ce n’est pas suffisant, le plus important, c’est le terrain. Mais quand ce sont des joueurs aussi talentueux en général il n’y a pas de soucis, c’est ce qu’on montré les Toulonnais ces-dernières saisons en tout cas. »

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9 Commentaires

  1. lolo1963 23 février 2015 at 19h- Répondre

    Une équipe de rugby c’est comme la mayonnaise si tu ne la fait pas monter à la température ambiante elle prend pas !!! tu peux y mettre de très bons ingrédients quand ça veut pas ça veut pas !!
    L’entraineur et Staff vont assurer SUR ..
    ALLEZ TOULON

    • loupapet 23 février 2015 at 19h- Répondre

      On voit avec Montpellier qui galère contrairement à l’UBB…
      L’accumulation ne fait pas tout.

      • Stef83220 23 février 2015 at 21h- Répondre

        En même temps Montpellier ils n accumulent pas grand chose!!!!
        Et leur recrue phare le RANGER a ete vire des blacks parce qu il ne savait pas defendre

      • figatellijean 23 février 2015 at 21h- Répondre

        Quel est le palmares de l ubb depuis 1991?

  2. Rugby Futé 23 février 2015 at 21h- Répondre

    Je me méfie de Toulouse pour cette fin de saison, ça tient le peloton, ça dit pas grand chose, j’ai comme l’impression qu’un prédateur est en train de se réveiller.
    Il parle bien des autres mais pas d’eux, les malins!

    • DédéLePremier 23 février 2015 at 22h- Répondre

      Oui, enfin, le prédateur me semble avec remis des dents de lait.

  3. viking83 23 février 2015 at 23h- Répondre

    Toutes les équipes ont des « coups de mou » – Toulouse est loin d’être mort – Ils reviennent de loin (relégable) – Ils feront partis des 6, et c’est tant mieux – J’aime les Toulon/Toulouse de phases finales ! :laugh:

  4. starlette 24 février 2015 at 10h- Répondre

    oui,attention à toulouse qui n’est plus que sur une seule compétition,le bouclier!
    il y a bien longtemps que cela ne lui était pas arrivé.

  5. CanardWC 24 février 2015 at 11h- Répondre

    HORS SUJET MAIS INTÉRESSANT :

    Par Romain Bonte

    Publié le 24/02/2015 | 10:56
    Le dopage touche tous les sports, et le rugby n’est pas épargné. Dans un livre à paraître début mars, le journaliste Pierre Ballester décrit des méthodes de dopage organisées au sein même de l’équipe de France, dans les années 1980 et 1990.

    « Rugby à Charges, l’enquête choc » risque de faire couler beaucoup d’encre alors que le Tournoi des Six Nations a débuté depuis quelques semaines. Dans des extraits publiés par L’Express, l’auteur relate notamment un entretien avec l’un des anciens médecins du XV de France (de 1975 à 1995), Jacques Monbet. Ce dernier rappelle qu’à l’époque, la lutte antidopage était totalement inexistante, et que de ce fait, il n’y avait pas d’interdiction particulière sur les produits dopants.

    « Comme (le dopage) était généralisé, je l’ai vu également en équipe de France. Ils avaient chacun leur pilule devant leur assiette lors du repas d’avant match. C’était comme ça à tous les matchs. Du Captagon surtout, du Maxiton parfois… », a notamment déclaré l’ancien médecin. Ce dernier se rappelle notamment du fameux match du 15 novembre 1986 face aux All Blacks. Battus (7-19) à Toulouse une semaine plus tôt, les Bleus dirigés à l’époque par « le petit Caporal » Jacques Fouroux étaient méconnaissables à Nantes pour prendre leur revanche 16-3.