Daniel Herrero rend hommage à Christophe Dominici avec son phrasé

Daniel Herrero rend hommage à Christophe Dominici avec son phrasé

Le samedi 5 décembre 2020 à 14:54 par David Demri

5 Commentaires

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Le mythique Daniel Herrero a rendu hommage à Christophe Dominici dans les colonnes du journal régional Var-matin de ce samedi.

L’ancien joueur du XV de la Rade était aux obsèques de Christophe Dominici, ce vendredi à Hyères.

Il s’est confié au sujet de l’international Français. Il indique qu’il aurait réellement aimé l’entrainer. Extrait:

« Il avait les attributs qui peuvent donner de la réussite à l’aventure sportive et des formes de bonheur aux gens. Avant ses flammes et ses feux de guiboles et de cœur, il avait l’attribut de l’extrême fidélité. Il avait le solidaire comme un trait de sa manière d’être au monde. En même temps il était mimétique.

À côté de lui, il faisait plutôt bon et chaud. Et s’il faisait froid, si c’était dur et pénible, il était de ces présences qui sont confortables. J’aurai beaucoup aimé l’entraîner. Je le sentais de ma balle et de mon pré. Il était authentiquement enfant de notre culture sportive toulonnaise où l’ont porte haut les choses du courage et du solidaire dont il était pétri à haute dose… »

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5 Commentaires

  1. Mayol 5 décembre 2020 at 17h- Répondre

    En clair Domi c’était un bon mec….

  2. Michel Fery . 5 décembre 2020 at 17h- Répondre

    J’adore !.. Vraiment classe Dany et surtout ce formidable écrit méritait pour notre Artiste Domi !.. Paix à son âme !..

  3. Fimagem 5 décembre 2020 at 21h- Répondre

    Monsieur Hererro vous êtes de la famille du rugby de haute volée verbale que l’on aime. Insaisissable, amoureux, tout en verve. Je vous ai croisé en 2007 pour une accréditation cdm vous m’avez appelé « minot » pour ça mais surtout pour le reste MERCI

  4. RCT Yoda 5 décembre 2020 at 21h- Répondre

    Bien écrit Dany!

  5. François dh. Casg76 5 décembre 2020 at 23h- Répondre

    Daniel,
    Merci pour ces beaux mots sur Domi, le rugby, la vie. Je t’ai croisé dans le tgv un soir de novembre 2012, je descendais enterrer mon père dans le sud, j’étais très triste et te l’ai confié. On ne se connaissait pas. L’échange fut court mais vrai, ta voix et ton regard m’ont réchauffé. J’aurais bien aimé t’avoir comme entraîneur, mais j’ai eu la chance d’avoir Michel Buton à Gerson, il avait un peu de toi.